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demolitiondan

Inscrit le: 19 Sep 2016 Messages: 5877 Localisation: Salon-de-Provence - Grenoble - Paris
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Posté le: Ven Mai 13, 2022 20:37 Sujet du message: |
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Bon ... j'ai fini de trier les 117 pages de mon brouillon/Carnet de notes pour en extraire 82 pages jusqu'à fin juin.
Y a plus qu'à... 3 Ans nom d'un chien, ca me met la pression ...
 _________________ Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste |
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Kirishima
Inscrit le: 10 Nov 2013 Messages: 159
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Posté le: Sam Mai 14, 2022 09:05 Sujet du message: |
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Casus Frankie a écrit: | L’orgueil d’un amiral
7- Contrairement à l’armée de terre impériale, qui disposait de régiments de même appartenance linguistique avec des officiers “locaux”, la marine conserva jusqu’au bout une tendance centralisatrice. La langue de commandement, celle de la majorité des officiers, resta donc l’allemand. Horthy lui-même s’y plia, et de bonne grâce. Signalons à ce propos que l’Ecole navale de Fiume avait été fondée en 1797 à peine, après la paix de Campoformio – c’est dire si c’était une priorité de l’empire ! | Je rattrape mon retard de lecture avec un commentaire sur la situation linguistique de l'armée impériale.
Dans tous les régiments, hors ceux de "l'armée" du royaume de Hongrie (Honvéd), la "langue de commandement" (Kommandosprache) et celle "de service" (Dienstsprache) était l'allemand.
Venait ensuite les "langues régimentaires"(Regimentsprache) qui comprenaient toutes celles parlées par au moins 20% du régiment. Le recrutement étant ce qu'il est plus de la moitié des unités de l'armée avait au moins deux langues régimentaires, certaines atteignant 5.
Et il est important de noter que les officiers assignés à ces régiments devaient en maitriser (à des degrés divers) toutes les langues. Une situation difficile mais possible en temps de paix mais qui deviendra impossible à tenir avec les pertes massives encaissées dès les premiers mois de guerre en 1914, notamment dans le corps des officiers qui, adepte de l'offensive à outrance, menait la charge sabre au clair contre l'artillerie russe. |
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