Fantasque Time Line

[Casus Frankie]

Bon, histoire de laisser souffler un peu Demo Dan, si nous revenions au front Beneluxo-germano-français… grâce à HEORL - encore merci à lui !

1er juillet
Libération et Libérateurs
Les Festungen de Bretagne
Brest – Après une infiltration difficile, la 82nd Airborne All American s’empare du fort de Keranroux, ce qui force les dernières troupes allemandes occupant des positions autour du champ de tir naval à se replier sur la Festung elle-même. Une bruine assez dense masque leurs mouvements mais les rend difficiles, sur une terre marécageuse gonflée d’eau.
Dans la foulée, le point fort de l’église Saint-Pierre tombe, ouvrant la voie à un assaut en règle contre l’Ecole Navale… et la base sous-marine. Las, l’artillerie n’en peut mais : les rares obus tombant sur les abris de béton armé ne font qu’égratigner l’immense bâtiment sans le rendre hors d’usage.
Dans la Penfeld, à la suite de l’explosion de l’abri Sadi-Carnot la veille, les observateurs sont les spectateurs d’un sinistre spectacle : ébranlé par l’explosion, le pont National s’incline peu à peu sur son axe tournant avant de s’effondrer dans une grande gerbe d’eau, condamnant l’estuaire. En dehors des pontons, il ne reste désormais que le pont transbordeur de l’hôpital naval pour permettre les mouvements des troupes allemandes à l’intérieur de la Festung.
Dans Kerfautras, on se bat bloc par bloc, jusqu’à l’église Saint-Martin, désormais en ruines – mais les Allemands retranchés autour du marché couvert tiennent toujours ! Une tentative de les tourner par la place de la Paix s’achève dans le sang, les troupes tenant l’hôpital civil et militaire ayant tendu une embuscade. A deux kilomètres à peine, le cimetière de Keruscun est le théâtre de violents accrochages parmi les tombes, tandis que l’asile Delcour-Ponchelet est conquis de haute lutte.
En fin de journée, les Allemands se voient obligés de concéder l’essentiel des faubourgs et de se replier sur la rue d’Abboville, l’abattoir municipal et l’hôpital civil et militaire, quand ce ne sont pas carrément sur les vieux remparts de la ville, comme plus au nord. Le progrès est évident, mais le noyau de la Festung est intact. Et, sous la bruine, les obus continuent à pleuvoir sans cesse sur Brest…

Les Festungen du Nord – Après Undergo
Pas-de-Calais – D’un commun accord, et pour prévoir quand même la possibilité d’en finir avec les forteresses de la Manche, au cas où le GQG changerait de position, Foulkes et Keller préparent un rapport sur l’état des défenses des deux Festungen – tout en espérant bien confier sous peu leur garde à quelqu’un d’autre.
Pour Dunkerque, Foulkes note que le fort des Dunes est complètement isolé, mal défendu et que sa prise permettrait d’approcher au plus près des remparts. Or, l’essentiel des défenses sont orientées vers la ville, Saint-Pol et la plage. Même la zone du fort Castelnau, pourtant censé être le pivot de la défense de la Festung, semble prenable.
Pour Boulogne, cependant, le verdict de Keller est sans appel : bordée de tous côtés par des collines manifestement préparées, la ville est inattaquable sans une forte préparation d’artillerie… qui sera certainement refusée. Equihen et le mont Lambert ont été largement fortifiés, et il n’est guère que l’Herquelingue qui puisse être utilisé pour approcher. Cette appréciation est en fait… bien plus pessimiste que la réalité : les positions allemandes sont peut-être solides, mais les soldats qui les occupent sont las, démoralisés et ne tiendraient sans doute pas face à un assaut bien conçu, sans qu’un déluge d’obus soit nécessaire.
Enfin, dans la soirée, les deux généraux canadiens apprennent qu’ils vont recevoir le soutien d’éléments français. Il s’agit d’une force d’officiellement 8 000 hommes, enrégimentés sous la forme des 51e, 57e, 110e et 170e RI plus ou moins ressuscités. Plus ou moins, car ce sont des assemblages de bataillons temporaires, dont les effectifs ont fondu de moitié depuis la Libération du territoire : les hommes sont retournés qui à l’usine, qui à son champ ! Ces unités doivent achever leur formation tout en aidant les Canadiens à assurer le “gardiennage” des forteresses. Rien d’autre : l’exemple de Calais n’incite personne à Paris à forcer la décision.

Chez les Belges : le miroir aux Marouettes
Bruxelles – Les militaires sont censés savoir qu’un plan ne survit jamais au premier coup de feu. Des impondérables – dits, en jargon professionnel, « cas non conformes » – dérangent immanquablement la réalisation des belles manœuvres dessinées sur les cartes.
Pour Marouette, nous ne sommes pas encore au premier coup de feu, et les ennuis commencent déjà ! En effet, le gouvernement belge, tout juste revenu de son exil, estime avoir son mot à dire sur l’utilisation de ses soldats.
Quant aux Néerlandais – toujours en exil – ils ont eux aussi un vœu ardent : il serait très heureux que Marouette permette au gouvernement de Sa Majesté la reine Wilhelmine de remettre les pieds dans sa métropole. Et le plus tôt possible serait encore mieux – s’il vous plaît. Le politique a ses raisons, après tout ! Mais les Hollandais savent déjà qu’ils risquent d’avoir du mal à faire exaucer leur souhait : leurs effectifs sur le terrain en Europe sont bien maigres, et l’héroïsme de leurs marins comme de leurs forces coloniales sur le théâtre Pacifique pourrait bien ne pas suffire à faire oublier le piteux début de guerre de leur gouvernement.

Chez les Britanniques : tout en Nuance
Trouée d’Aix-la-Chapelle – Le VIIth Corps finit de se mettre en place sur le flanc des Belges. Sa double tâche – maintenir le lien avec les Belges tout en participant à la poussée vers Aix – n’est véritablement possible qu’en raison de l’état tout à fait lamentable des forces allemandes qui lui font face. Esseulées, décimées, mal regroupées et souvent mal équipées et/ou mal commandées, celles-ci ne pourront assurément pas faire le poids.
Sur sa droite, le VIIIth Corps achève son redéploiement. La liaison avec les Américains est assurée, le nettoyage de l’arrière-pays wallon va bon train et le premier coup de Nuance pourra sans doute être frappé sous peu.

FUSAG – La bataille pour Metz
IVth US Corps, Ardennes – Il est toujours impossible de franchir le barrage de fer et de feu dressé par le I. SS-PzK. Mais on s’approche de la frontière : déjà, les positions ennemies organisées autour d’Arlon sont tombées et la 36th Infantry Texas a dépassé les marais de la Semois, à six kilomètres de la ville. Le hameau de Freylange est pratiquement détruit par les combats en cours, mais la Das Reich s’y accroche : c’est en effet le dernier point de résistance avant Arlon même.

VIIIth US Corps, Ardennes – La 2nd Armored Hell on Wheels dépasse les arrières du IVth Corps et se rapproche de Bastogne, apparemment faiblement défendue. L’ennemi n’a manifestement pas eu le temps de s’y installer, et les blindés enlèvent prestement la ville – qui, heureusement pour elle sans doute, ne laissera guère de trace dans l’histoire du conflit. Le 82nd Cavalry Recon Btn, porté en avant, pivote à droite et devient le premier à entrer au Luxembourg. Au soir, il est à Esch-sur-Sûre.
Dans cette ville, le sous-lieutenant Hyman Josefson est le premier soldat américain à perdre la vie sur le territoire du Grand-Duché. Son véhicule blindé de reconnaissance M-8 Greyhound est mis hors de combat par un canon antichar allemand camouflé [Le Greyhound, aujourd’hui restauré, est devenu un mémorial.].
A 21h00, l’état-major de Sepp Dietrich est informé de l’arrivée des Américains. La conséquence ne se fait pas attendre : devant le risque d’être tourné, Dietrich dépêche le 101. SS-schw. Pz Abt à Ettelbruck pour cueillir les blindés ennemis à la sortie des Ardennes luxembourgeoises. Il ordonne également un retrait progressif de la Leibstandarte de Longwy, dont les Amis semblent se désintéresser, vers Esch-sur-Alzette, afin de garder la route entre Trèves et Metz ouverte le plus longtemps possible.

VIth US Corps, Meurthe-et-Moselle – La 1st Armored Old Ironsides enlève Florange à la 541. VGD, mais, ce faisant, elle se retrouve de nouveau sous le feu du fort de Guentrange. Là, le 2e Btn du 1073. Grenadier Rgt, qui a réussi à rassembler assez de convalescents et d’administratifs pour armer grossièrement le fort, est en train de s’en dégager.
Le reste du VIth Corps doit se contenter d’observer les attaques des P-51 de deux des FG du 67th Fighter Wing, qui ne donnent pas trop de résultats. Puis viennent les multimoteurs, en nombre limité : l’emploi de Bomber Wings a été débattu en état-major, et il a été décidé de n’utiliser que le 41st BW. Les résultats sont mitigés : les forts isolés, qui n’étaient que très partiellement couverts par la flak de Metz, ont bien encaissé et semblent durement amochés, mais les positions plus proches de la ceinture intérieure se sont révélées bien plus difficiles à atteindre, car ladite flak y est bien plus efficace. Et les troupes en première ligne se sont plaintes que les “volants” ne savaient pas viser : un certain nombre de bombes sont tombées du mauvais côté du front… Sans parler des Français, qui ont réclamé le droit d’examiner les résultats des reconnaissances du 20th Fighter Group afin d’estimer les dégâts dans Metz même.

XIXth US Corps, Moselle – Le fort de Verny doit se taire en raison du bombardement américain, mais Middleton se doute qu’il n’est pas neutralisé. Cependant, les bombes lâchées par les B-17 provoquent un écran de fumée dont on aurait tort de ne pas profiter, et la 8th Infantry Golden Arrow lance un assaut improvisé. Celui-ci est sèchement repoussé lorsque les canons de 100 mm recommencent à donner de la voix, et l’enveloppement est impossible par l’est tant qu’une brèche n’aura pas été ouverte parmi les ouvrages.
L’impréparation de l’assaut ordonné et les lourdes pertes subies par le 28th Infantry Rgt sont les derniers arguments dont avait besoin Middleton. MacMahon est sur-le-champ relevé de ses fonctions et remplacé par Donald A. Stroh, récupéré à la 9th Infantry Varsity, qui est actuellement en repos. Stroh, très bon organisateur, saura sans doute mieux faire que MacMahon. Une chose encourageante tout de même : deux ouvrages au nord-est du fort de Verny sont sous le feu du 119th Artillery Group. En quelques jours, ils devraient se rendre… enfin, on l’espère.

QG de la Festung Metz, fort de Plappeville – Que les Américains fassent appel aux bombardiers, c’était couru d’avance. Mais que leurs résultats aillent du médiocre au nul, ça, c’est heureux. Et Felix Schwalbe de penser que, tout compte fait, il est sans doute mieux ici que devant Verdun.

1ère Armée française – Sarrebruck
IIe Corps d’Armée polonais (Sarre) – La 334. ID est en passe d’être chassée de Sarrebruck après un combat urbain d’autant plus éprouvant pour la 3e DI qu’elle commence à être à bout de souffle. Le vieux pont de la ville est sécurisé, les 2e et 3e Bataillons de la 1re Brigade de Fusiliers des Carpates se battent pour s’emparer du Rathaus et de la basilique. En face, les Landsers s’accrochent avec la dernière énergie, mais doivent concéder dans la soirée les bâtiments en ruines.
Un incendie se déclenche alors dans le Rathaus, le ravage et s’étend aux alentours. On compte plusieurs dizaines de morts parmi les civils. La 334. ID ne tient plus que le quartier de la gare et les faubourgs est de la ville, mais elle s’y est bien retranchée.

IIIe Corps d’Armée (Moselle) – La 14e DI fait jonction avec la 2e DB à Saint-Dié, alors que la 91. Luftlande, qui s’est effacée dans les collines, tente de se retirer vers le nord. En effet, Klosterkemper a réparti ce qui reste de sa division en plusieurs groupements indépendants qui vont tenter de gagner Phalsbourg en profitant de la faible densité des troupes françaises dans le coin. C’est à tout le moins osé… mais il est au pied du mur et ne peut rejoindre Gérardmer : il n’a donc pas d’autre choix, sinon se rendre ou mourir sans aucune chance de peser sur les combats à venir.

Ier Corps d’Armée (Vosges) – La poche de Gérardmer est difficilement prenable d’assaut depuis les positions du Ier CA. Les Allemands ont plus ou moins préparé la défense des rares itinéraires possibles et Alphonse Juin ne peut que se rendre à l’évidence : il faudra du temps avant de les déloger. La tourbière des Charmes empêche toute attaque massive et les deux principaux accès au cœur de la poche sont la vallée du Travexin et celle de la Moselotte, où l’ennemi s’est massé. Le col de Xiard, à première vue abandonné, est en fait relativement bien défendu et la forêt des alentours est aussi traître que mal cartographiée.
Juin demande alors à Alfred Montagne l’appui de la 13e BACA, qui lui est confiée. Le temps que l’artillerie lourde soit en place pour faire sauter les bouchons ennemis, il faudra bien quelques jours. En attendant, mener des reconnaissances agressives, extraire le plus possible de renseignements des quelques prisonniers réalisés par la 10th Mountain Climb to Glory, mettre les positions fixes ennemies sous le feu d’un maximum de canons : bref, la routine de la guerre de position.

IVe Corps d’Armée (Alsace) – A l’exception de la 9e DIC, dont les éclaireurs commencent à sonder les positions de la 41. ID, l’épuisement des troupes oblige tout le IVe CA à passer en défense.
La ligne logistique est incapable d’aller plus loin, de toute manière, et des difficultés survenues sur le canal Rhin-Rhône ont bloqué le trafic des péniches de fret entre Thoraise et Besançon. En effet, les tunnels fluviaux ont été piégés par les Allemands. La première péniche à s’aventurer sous la citadelle de Besançon a sauté – heureusement, la cargaison ne comptait pas d’explosifs. Mais ce n’était pas le cas à Thoraise, où une péniche a explosé dans le bassin de retournement, dispersant des munitions dans le lit du Doubs et aux alentours. Il faudra bien une semaine pour rendre le fleuve à nouveau navigable, et avec un trafic réduit, en raison des nombreux écueils de l’unique boucle praticable.

[Casus Frankie]

Et un coloriage belge qui va bien ! Merci Wil Coyote !

1er juillet
Préparatifs
Base aérienne de Manston – Depuis plusieurs jours, les Mosquito PR du Squadron 346 survolent Walcheren. Chaque mètre carré (et même chaque pouce carré, disent les Britanniques) est analysé et toutes les cibles sont repérées. Demain, les Typhoon des Sqn 347 et 348 commenceront leurs attaques, pendant que les Mosquito FB du 346 tâcheront de s’occuper des infrastructures. Quant aux Beaumont et Mitchell belges, ils se préparent pour les prochains jours : ils devront s’occuper des bunkers et retranchements.
– On devra être très précis, commente Groot Luc, du Waroom Niet ? Ce n’est pas parce qu’on va bombarder chez les Oranje qu’on va faire n’importe quoi ! 1830, c’est du passé !
– Au fait, tu as vu que les Hollandais du 320 et du 321 vont être avec nous.
– Il n’y a plus qu’à espérer qu’ils parlent anglais, le néerlandais est incompréhensible !
– Ah ? s’étonne Hernould (qui est passé capitaine depuis peu). Mais tu viens bien d’Ekloo, non ?
– Ah oui, mais le flamand, ce n’est pas le néerlandais ! s'insurge Groote Luc.
– Bon bon, te vexe pas ! sourit Albert, le co-pilote. Tiens, il y a des Flamands du 337 qui se demandent pourquoi on a un sous-marin sur nos insignes de victoire, tu vas pouvoir leur expliquer !
– Ah mais je vais me faire une joie de leur raconter le 31 juillet de l’an dernier !

Interférences
Bruxelles – Le général Pire, nouveau chef d’état-major général belge, relit la note qu’il a devant lui… Il se doutait que cela arriverait, Maurice [Keyaerts] l’avait prévenu : « Tu verras, dès que notre gouvernement sera de retour dans ses murs, ils voudront se mêler des opérations ! ».
Il soupire avant de téléphoner au ministre Delfosse : « Monsieur le ministre, je vous appelle à propos… à propos de votre demande vis-à-vis de nos alliés et concernant l’utilisation de nos troupes… ».
– Ah oui, je vois… Eh bien, le gouvernement trouverait normal qu’on lui demande son avis sur ces sujets. C’est logique, non ?
– Certes, certes Monsieur le ministre. Mais, voyez vous, si le 21e Groupe d’Armées doit passer par le Prime Minister, Churchill bien sûr, puisque le 21e GA est sous commandement britannique… Et si Churchill doit ensuite demander son accord à notre Premier… Eh bien…
– Eh bien ?
– Eh bien, les Allemands pourront tranquillement reculer ou se retrancher comme il faut, Monsieur le ministre. Nous sommes toujours en guerre, savez-vous ?
– Je vois… Hum… Mais enfin, ce sont des troupes belges, quand même !
– Pas exactement, Monsieur le ministre. Pour le moment, ce sont des troupes alliées. Lorsque nous ne seront plus sur pied de guerre, il va de soi que le gouvernement retrouvera pleinement ses prérogatives, Monsieur le ministre. Pensez vous que le général Bradley demande au Président Roosevelt l’autorisation d’utiliser les GI pour telle ou telle opération, ou que le général Frère demande l’avis de De Gaulle en pareil cas ?
– Hum… Non, en effet… Je comprends…
En raccrochant, Pire marmonne : « Bon, à présent, c’est à toi de l’expliquer au reste du gouvernement ! ».

[Etienne]

[Casus Frankie]

Ben, c'est la Bretagne… Le temps y est vivifiant, et ce jour-là, le temps est particulièrement vivifiant.
Donc, "marécageuse gonflée d'eau", c'est une redondance cicéronienne.
(Vous remarquerez que je reste dans les références antiques)
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Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)

[loic]

Pas d'utilisation comme OTL de bombes Tallboy contre la base sous-marine de Brest ? OTL, deux bombes ont traversé le toit de 5 mètres d'épaisseur.

Quid des batteries Graf Spee et des Rospects ? https://www.lieux-insolites.fr/cicatrice/mur/grafspee/grafspee.htm
_________________
On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...

[Casus Frankie]

La batterie Graf Spee a été prise le 27 juin après une belle résistance, suivie par la batterie des Rospects. (Désolé, je sais que le récit a été interrompu un bon bout de temps)

Quant aux Tall Boys, leur utilisation n'apparaît pas nécessaire ici - d'autant que les Français ne seraient pas d'accord pour larguer de pareils monstres sur une ville française sans exigence militaire impérative.
_________________
Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)

[loic]

[Anaxagore]

J'y pense, j'ai dans mes papiers le récit de la bataille de Singing (1) (près de Sarregumines). L'affrontement OTL entre 4th Armored division et la 11. Panzer-Division.
Cette bataille de blindé est une des dernières victoire allemande de la 2ème GM. Il y a un équivalent en FTL?

(1) La bataille a le charmant surnom de 'Nid de Guêpe'.
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Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.

[Etienne]

[Etienne]

[Casus Frankie]

[Colonel Gaunt]

Et celle ci ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d%27Arracourt

Mais j'attends surtout l'équivalent FTL de Dompaire
_________________
Les guerres de religion consistent à se battre pour savoir qui a le meilleur ami imaginaire
Citation vue sur le net

[Wings]

[John92]

1er juillet[/b]–
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Chez les Britanniques : tout en Nuance
Trouée d’Aix-la-Chapelle –
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Esseulées, décimées, mal regroupées et souvent mal équipées et/ou mal (à supprimer ?) commandées, celles-ci ne pourront assurément pas faire le poids.
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VIth US Corps, Meurthe-et-Moselle –
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Les résultats sont mitigés : les forts isolés, qui n’étaient que très partiellement couverts par la flak de Metz, ont bien encaissé (formulation litigieuse: un boxeur qui encaisse bien les coups - ont bien dégusté ? ) et semblent durement amochés, ...
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IVe Corps d’Armée (Alsace) –
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La première péniche à s’aventurer sous la citadelle de Besançon a sauté – heureusement, la cargaison ne comptait pas d’explosifs. Mais ce n’était pas le cas à Thoraise, où une péniche (autre ?) a explosé dans le bassin de retournement, ...
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1er juillet
Préparatifs
Base aérienne de Manston[/b] –
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Demain, les Typhoon des Sqn 347 et 348 commenceront leurs attaques, pendant que les Mosquito FB du 346 tâcheront de s’occuper des infrastructures. Quant aux Beaumont et Mitchell belges, ils se préparent pour les prochains jours : ils devront s’occuper des (traiter les/s'en prendre aux ?) bunkers et retranchements. ...
Interférences
Bruxelles –
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Lorsque nous ne seront plus sur le (à ajouter ?) pied de guerre, ...
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Ne pas confondre facilité et simplicité

[ChtiJef]