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1940 - La France continue la guerre
 
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Europe occupée - Mai 1944
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Anaxagore



Inscrit le: 02 Aoû 2010
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MessagePosté le: Dim Juil 09, 2023 16:14    Sujet du message: Répondre en citant

La France a effectivement prit le train en marche pour la révolution de la vapeur, le premier matériel (et les termes qui vont àavec) ont donc été importé d'outre-manche. Les Américains ont aussi commencé à importer du matériel anglais avant de produire le leur.
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Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Lun Juil 10, 2023 11:20    Sujet du message: Répondre en citant

18 mai
Pour Paris
Un vrai Préfet pour la capitale
Hôtel de la Monnaie, Paris
– Il avait été le premier préfet nommé par la France Combattante pour administrer la Corse miraculeusement revenue dans le giron de la République lors du basculement italien fin 1942, et il avait démontré ses grandes capacités dans une situation difficile. Celui qui est aujourd’hui Président du Conseil ne l’a pas oublié et c’est ainsi qu’au petit matin, après avoir été déposé par un avion léger dans un champ du côté de Versailles, Charles Luizet, nommé Préfet de Paris par le gouvernement De Gaulle, arrive dans la capitale. Il entend apporter un cadre légal et légitime à l’insurrection qui couve… tout en s’efforçant de la contrôler.
Il n’aurait pu arriver plus à point : après des mois d’Occupation, des semaines de privations, plusieurs jours de grève dorénavant générale et devant la débandade doriotiste et la retraite allemande, Paris est vraiment en colère ! Une grande partie de la ville échappe déjà à la botte des Allemands et un soulèvement dépassant toutes les attentes mais aussi tout contrôle se prépare visiblement…
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John92



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MessagePosté le: Lun Juil 10, 2023 11:30    Sujet du message: Répondre en citant

Rien à signaler de mon côté.
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Ne pas confondre facilité et simplicité
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Casus Frankie
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Messages: 13822
Localisation: Paris

MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 17:39    Sujet du message: Répondre en citant

19 mai
Pour Paris
Un préfet de police chasse l’autre
Boulevard Saint-Germain
– Plusieurs individus tambourinent à sa porte du logement de fonction de Pierre Bonny. C’est Yves Bayet, son directeur de cabinet à la Préfecture de Police. Mais sitôt la porte ouverte par un domestique effaré, une demi-douzaine de policiers et de civils en armes, arborant un brassard FFI envahissent l'appartement.
En réalité, Bayet dirige la section parisienne du Service de Noyautage des Administrations Publiques (créé à Alger, bien sûr). Il est à l’origine de la grève de la police et depuis ce matin, s’il est toujours directeur de cabinet du Préfet de Paris, ce dernier s’appelle Charles Luizet.
Bayet et son escorte doivent constater que le très provisoire Préfet Bonny s’est évaporé depuis deux jours. L’Histoire retiendra que son dernier ordre appelait à « obéir sans défaillance ». Ceci alors même qu'il organisait son départ… Tant pis pour lui ! On espérait qu’il serait capable de s’entremettre auprès de Kittel, d’autant qu’en ces temps troublés, insurgés comme Occupants surestiment sans doute les capacités de nuisance de leurs adversaires. Las, son absence vient s’ajouter à la liste des mauvais choix qu’il a faits depuis le début de la guerre et scelle définitivement le sort de l’ex « Premier Flic de France »… Pierre Bonny sera plus tard débusqué dans sa ferme de Bazoches.
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Anaxagore



Inscrit le: 02 Aoû 2010
Messages: 10099

MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 17:44    Sujet du message: Répondre en citant

Les guillotines ne vont pas chômer...
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John92



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Messages: 1033
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MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 18:11    Sujet du message: Répondre en citant

Plusieurs individus tambourinent à sa (la?) porte du logement de fonction de Pierre Bonny.
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Ne pas confondre facilité et simplicité
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Hendryk



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MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 19:38    Sujet du message: Répondre en citant

Casus Frankie a écrit:
En réalité, Bayet dirige la section parisienne du Service de Noyautage des Administrations Publiques (créé à Alger, bien sûr).

Le SNAP, ça sonne bien.
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demolitiondan



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MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 20:53    Sujet du message: Répondre en citant

La mort des traitres : le peloton. Et remercions ici Casus de sa compréhension, quant à une fin de Bonny qu'il a bien voulu modifier car pas du tout raccord avec ce que j'avais compris du personnage et déjà écrit.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste
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Le Chat



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Messages: 274

MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 21:02    Sujet du message: Répondre en citant

Hendryk a écrit:
Casus Frankie a écrit:
En réalité, Bayet dirige la section parisienne du Service de Noyautage des Administrations Publiques (créé à Alger, bien sûr).

Le SNAP, ça sonne bien.

Et encore, on aurait pu avoir le Service de Noyautage des Administrations Publiques Chargé du Harcèlement de l’Allemand et de ses Thuriféraires…. Ok, je Arrow
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"Tout fout le camp, je vous dis : la preuve : Shakespeare a réussi à écrire Henri VIII. Stallone, lui, n'est pas allé au delà de Rocky VI". (Le Chat, P. Geluck)
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FREGATON



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Messages: 4074
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MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 21:10    Sujet du message: Répondre en citant

Le Chat a écrit:
Hendryk a écrit:
Casus Frankie a écrit:
En réalité, Bayet dirige la section parisienne du Service de Noyautage des Administrations Publiques (créé à Alger, bien sûr).

Le SNAP, ça sonne bien.

Et encore, on aurait pu avoir le Service de Noyautage des Administrations Publiques Chargé du Harcèlement de l’Allemand et de ses Thuriféraires…. Ok, je Arrow

Je me disais bien qu'un félin allait forcément réagir à cette tentation... Laughing Laughing
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La guerre virtuelle est une affaire trop sérieuse pour la laisser aux civils.
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Volkmar



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MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 21:36    Sujet du message: Répondre en citant

Casus Frankie a écrit:
19 mai
Pour Paris
Un préfet de police chasse l’autre
Boulevard Saint-Germain
Plusieurs individus tambourinent à sa porte du logement de fonction de Pierre Bonny. C’est Yves Bayet, son directeur de cabinet à la Préfecture de Police. Mais sitôt la porte ouverte par un domestique effaré, une demi-douzaine de policiers et de civils en armes, arborant un brassard FFI envahissent l'appartement.


Y a un problème d'accord du nombre
Ils sont plusieurs à la porte, mais visiblement seul Yves Bayet tambourine.
Sinon c'est pas clair du tout
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Casus Frankie
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Messages: 13822
Localisation: Paris

MessagePosté le: Mer Juil 12, 2023 21:44    Sujet du message: Répondre en citant

Tu as raison - tout ça à cause des deux destins de Bonny et des corrections subséquentes.
On tambourine violemment à la porte………
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Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)
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houps



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Messages: 1856
Localisation: Dans le Sud, peuchère !

MessagePosté le: Jeu Juil 13, 2023 13:42    Sujet du message: Répondre en citant

Tambourinons, Tambourinoeud, pour ceux qui connaissent.
Et pour les moins de 40 ans :

https://www.youtube.com/watch?v=oecX_1pqxk0
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Timeo danaos et dona ferentes.
Quand un PDG fait naufrage, on peut crier "La grosse légume s'échoue".
Une presbyte a mauvaise vue, pas forcément mauvaise vie.
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Casus Frankie
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Localisation: Paris

MessagePosté le: Jeu Juil 13, 2023 16:40    Sujet du message: Répondre en citant

Oui je sais, ces derniers jours, je commence par poster la campagne de France… Bon, il faut changer de temps en temps…
Ah, ce qui suit est de Tyler, très en forme sur ce coup, je trouve.



20 mai
Pour Paris
Scène de guerre civile
Lycée Saint-Louis (Paris, VIe arrondissement), à l’aube
– Pourquoi sont-ils restés alors que tant d’autres ont fui depuis maintenant plusieurs jours ? Pourquoi donc s’accrochent-ils à un corps politique qui se dissout inexorablement et sans grand bruit ? L’idéal qu’ils servent pour de mauvaises ou de moins mauvaises raisons a déjà été renié par de nombreux camarades. D’autres, encore plus nombreux, ont quitté la ville, voire même le pays, soi-disant pour continuer à le servir, mais surtout parce qu’ils redoutent d’avoir à se justifier. Il ne reste plus qu’eux.
Qui sont-ils ? Des idéalistes en rupture de ban, des provinciaux dont la ville natale est tombée aux mains de ce qu’on nomme ici « l’Ennemi », des candides qui ont cru que c’était une marque de confiance de recevoir l’ordre de rester à Paris pour encadrer d’autres camarades, des prétentieux qui pensent qu’à un contre mille, ils réussiront à inverser le cours de la guerre. Il y a bien une soixantaine de raisons pour expliquer la présence dans l’enceinte de ce lycée parisien qui leur sert de caserne de cette soixantaine de miliciens de toutes les tendances et polices du NEF. Ils attendent. Ils spéculent. Ils rêvent.
Pendant ce temps…
………
Ils sont quelques centaines. De tous âges. Hommes, femmes, adolescents. Habitants du quartier, passants, voyageurs qui se sont retrouvés coincés dans la poudrière parisienne quand elle a commencé à exploser. Par eux, la rumeur s’est répandue comme une traînée de poudre. Les Allemands projettent de faire sauter la tour Eiffel, le voisin le sait de source sûre par un cousin qui travaille à la Kommandantur mais pour le compte de la Résistance. Il aurait entendu dire que… De bouche à oreilles la rumeur est devenue certitude. Alors, il faut bien faire quelque chose. Mais quoi ? Attaquer l’hôtel Meurice ? On y a bien pensé mais… Alors, s’en prendre à des patrouilles ? Pas très satisfaisant.
Mais il paraît qu’il y aurait des doriotistes qui n’auraient pas fui et qui se terreraient dans le coin ! Au lycée Saint-Louis ! Exactement. Ils pourraient tenter de rejoindre ce Doriot, ce Déat, tous ces Collabos de malheur qui ont pris la route de l’Est… Alors, la veille, une idée s’est répandue, trouvant son origine dans des discussions de bout de nuit. Demain dès l’aube, nous irons nettoyer des Collabos…
Bien vite, le groupe a grossi. Venus de tous les horizons, ses membres incarnent tout ce que la Métropole a dû subir depuis bientôt quatre ans. Quatre années de privations, de malheurs. Combien de pères, de fils, d’oncles et de neveux, de frères et d’amis, morts, blessés, disparus ou bien prisonniers en Allemagne ? Combien de nouvelles fatales, arrivées des semaines et des mois après l’événement, en provenance de Sardaigne, de Grèce, d’Italie ou même d’Indochine ? Combien d’absence de nouvelles pendant toutes ces années ? Combien, pendant ce temps, de vieux parents tombés gravement malades ou décédés ? Combien de femmes et d’enfants emportés par le ridicule hasard des prises d’otages, des rafles, des bombardements ? Quatre années à écouter les nouvelles des défaites, puis des victoires d’un gouvernement, qui au loin, avait décidé de continuer à incarner la grandeur de la France. Quatre années à subir le morne quotidien d’une guerre qui n’en finissait pas et les privations imposées par un gouvernement illégal, mais bien présent. Quatre années de pénitence, une pénitence qui semblait réservée aux Français, même si la guerre enflammait maintenant la planète entière.
Et voilà que les Alliés arrivent. Ils sont tout près, plus près chaque jour, chaque heure. La vie va reprendre son cours. On finira par savoir ce qu’il est advenu de ce père, de ce fils, de de fiancé, de cet oncle, de ce cousin, de ce frère, de cet ami, de ce voisin. Mais qui paiera pour ces quatre années ? Il faut bien un coupable. Mais qui ? Les Allemands évacuent. Doriot et Laval se sont enfuis. Radio Paris n’émet même plus. Bientôt, il ne restera plus rien de ces quatre années. Il faut faire quelque chose. Mais, des coupables… Il y en a justement une poignée, là au coin de la rue…
………
Les portes du lycée sont closes quand la foule arrive. Devant, bien sûr, aucun garde ne se risque à faire la sentinelle dans une rue de ce Paris qui commence à bouillir comme aux plus belles heures du siècle dernier. On cogne, on menace d’enfoncer la porte. Encore et encore. Dans son plus bel uniforme noir, un homme de la PSE qui s’est plus ou moins autoproclamé chef du groupe rassemblé dans l’établissement vient tâcher d’intimider ces gêneurs, entouré de deux de ses hommes les plus imposants (dans deux autres uniformes, cela fait moins chic, mais tant pis). Mais les gêneurs ne se laissent pas intimider, ils réclament des comptes. L’homme de la PSE leur livrerait bien quelques boucs émissaires, mais lesquels ? Il tente d’expliquer, pathétique, qu’il y a là des partisans de Doriot, de Laval, de feu Bucard ou même des nostalgiques des miracles qu’aurait sûrement fait « le Maréchal ». Tous se déchirent depuis des jours sur des questions politiques et militaires…
Mais la foule n’en a cure. Elle est là pour une chose. Se venger. Se venger des privations et des humiliations. L’homme de la PSE ne voit pas venir le premier coup, lui et ses acolytes se défendent, l’un d’eux a sorti un pistolet, mais en face, il y a des armes aussi, de toutes sortes – des couteaux de cuisine aux fusils de chasse, en passant par des armes introduites dans Paris par la Résistance et par des pistolets d’ordonnance surgis de l’Autre Guerre, celle où l’on ne se battait que sur le front.
Le premier milicien succombe, et la suite est inévitable : la foule ne peut plus reculer, les miliciens n’ont plus d’autre refuge dans la ville et peut-être même dans le pays tout entier, alors on se bat, à coups de pistolet, de couteau, de pied et de poing. Dans une guerre civile, s’entretuer est souvent ce qu’on sait faire de mieux. Au bout de longues minutes, d’aucuns diront près d’une heure, les plus timides, restés à l’extérieur, donnent l’alerte : les Boches arrivent. Et quand le détachement de l’Abteilung P-III arrive (ces administratifs armés ne se sont pas trop pressés), un silence assourdissant règne dans le lycée Saint-Louis. Les Allemands ne peuvent que ramasser les blessés et compter les morts, souvent sans pouvoir distinguer les miliciens en civil des insurgés.
Au loin gronde le tumulte de l’insurrection parisienne. On décide de transporter au plus vite la quarantaine de corps à la morgue, après quoi les hommes du P-III se hâtent de rentrer dans leur retranchement, où les miliciens survivants seront (momentanément) à l’abri. Qui sait, il y a peut-être encore des trains qui partent vers l’est…
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Anaxagore



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MessagePosté le: Jeu Juil 13, 2023 16:57    Sujet du message: Répondre en citant

Excellent texte et... absolument horrible.
Je trouve cette situation certes excusable, explicable, difficilement condamnable, et parfaitement compréhensible (aurais-je agi différement, moi? Probablement pas... et je n'en suis pas fier). Mais qu'est-ce que cette attaque sur des miliciens? ... de la vengeance, le goût des foules pour le lynchage, cette lâcheté collective qui devient une forme courage quand à la 23ème heure 3/4, la foule découvre des gamins peu armés alors que l'on est rassemblé en groupe important.

Odi profanum vulgus et arceo
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