Fantasque Time Line

[John92]

...
Toutefois, les Français ont prévenu – et l’aviation a confirmé – que l’ennemi a sabordé des navires dans l’estuaire de la Gironde (comme les Français (ces derniers ? ) l’avaient fait en juillet 1940).
...
Dans le cadre des bombardements préparatoire (préparatoires ? ) au débarquement en Normandie, le Sqn 617 (peut-être préciser que le 617 est le « Dambuster » pour la « couleur »-simple suggestion – et vérifier dambuster, c’est de mémoire)du Bomber Command rend visite au port de La Pallice. L’objectif principal est la base sous-marine. L’épaisseur de sa toiture justifie l’emploi de la nouvelle bombe Tallboy de 6 tonnes, dont c’est la première utilisation. Hélas, contrairement aux espoirs des planificateurs des opérations aériennes, les bombes (celles ?) qui touchent l’ouvrage ne font que l’écorner.
Par contre, les installations portuaires alentours sont dévastées. Dans les bassins, plusieurs petits bâtiments (navires/bateaux ?) de servitude ou de la Hafenschutzflottille sont coulés. Le Zerstörer Z-20 Karl-Galster, seul bâtiment important présent dans le port ce jour-là, est encadré par deux bombes (à ignorer si la correction précédente – celles – est adoptée ). L’une frappe le quai à hauteur du bloc passerelle. Les éclats de maçonnerie et de métal lapident les superstructures du bâtiment, causant de nombreux dégâts à l’armement et aux embarcations, perforant en plusieurs endroits coque (superstructure ? –voir infra, car la coque est en grande partie immergée donc peu de chance que des éclats de maçonnerie parviennent à la percé – faut traverser l’eau d’abord, perte d’énergie) et cheminées et coupant des circuits électriques, des canalisations diverses et même les carters des turbines. La seconde bombe (à supprimer – pour éviter la répétition ? ) explose dans l’eau à hauteur de la chaufferie arrière. Sous l’effet de l’onde de choc, la coque ( si superstructure –ou autre- validé, à ignorer) est enfoncée et l’eau s’engouffre dans le bâtiment. Les marins, du moins ceux qui n’ont pas été fauchés par les éclats de la première bombe), parviennent, non à empêcher le destroyer de sombrer, mais à faire en sorte qu’il coule droit.
...
Tous s’accordent pour dire que les chantiers avancent trop lentement car certains matériaux manquent (font défaut ? pénurie... ), mais aussi à cause du manque d’entrain des ouvriers français (2) ou des prisonniers soviétiques et des incessantes attaques aériennes alliées .
On craint à présent qu’une nouvelle opération amphibie des Alliés) ne soit imminente, mais sans pouvoir préciser exactement ni quand elle se produira, ni si elle tombera sur la 7. Armee ou sur la 15. Armee, qui veille du Havre à la Hollande.
...
2 mai (seconde partie
...
L’attaque se produit en deux vagues distinctes, l’une, constituée de 128 Lancaster du 5th Group, arrive par l’est sous le couvert des nuages. L’autre, composée des Halifax du 4th Group, arrive par l’ouest une demi-heure après le passage des Lancaster. Une organisation surprenante, où il semble que les changements météorologiques par rapport aux prévisions aient joué un grand rôle.
Car l’arrivée et l’attaque des Lancaster ont incité toute la chasse de nuit allemande disponible à prendre l’air.
...
Pas moins de 15 Halifax des Sqn 10, 76, 158 et 640 sont abattus sur un total de 105 ayant décollé d’Angleterre, plus un (1 ? – simple suggestion -)un Lancaster pathfinder du Sqn 405 (RCAF). Nuit tragique pour le Bomber Command, d’autant plus que les photos vont révéler une dispersion des cratères de bombes à l’est de la cible. Seule consolation : vu leur nombre (une bonne centaine), les aviateurs ayant pu sauter en parachute (se parachuter – simple suggestion- ) parviennent pour la plupart à échapper aux poursuites, la soldatesque germanique ne sachant plus où donner de la tête.
………
Région parisienne – Les gares de triage d’Achères, Juvisy et Massy-Palaiseau sont les objectifs de la 9th AF. Temps beau et clair, peu de vent, ce qui n’empêche pas les bombes de s’égailler et de faire des dégâts en dehors des cibles , malgré une altitude de largage plus faible que sur les cibles (celles ? ) situées en Allemagne. Il est vrai aussi que la Flak est de plus en plus concentrée autour des installations ferroviaires, et les Allemands n’oublient certainement pas celles qui n’ont pas encore fait l’objet des attentions des Alliés. Un seul B-17 est perdu, explosant en vol après le début de son évacuation par l'équipage. Trois aviateurs parviennent à s’en tirer, mais ils sont très vite capturés, les Allemands les ont vu descendre.
...
_________________
Ne pas confondre facilité et simplicité

[Capu Rossu]

Bonjour Demolitiondan,

Pour rendre la Gironde navigable à hauteur de Lagrange, il n'y a que deux possibilités.

- 1) le découpage des épaves en tronçons pour les faire enlever par un ponton-grue. Pour ça, il faut : - a) des scaphandriers de haut niveau pour travailler dans l'obscurité la plus complète, le fleuve étant très limoneux et donc la visibilité nulle. Sur ce plan là, les Allemands ont du personnel civil ou militaire dispo. - 2) un ponton-grue de moyenne puissance. Et c'est là où sa coince ! A Bordeaux, lors du GD, on a sabordé tout ce qui n'est pas parti dont les pontons grues présents. Il faut alors en faire venir un de plus au nord (France, Belgique, Pays bas ou Allemagne) et çà se complique car ces engins là sont peu marins au possible, doivent être partiellement démontés (un partie de la mâture est alors déposé sur le pont) et nécessite plusieurs remorqueurs. Et en plus les aléas de la navigation en temps de guerre, intervention de l'ennemi ou présence de champs de mines plus ou moins bien connus.
- 2) faire intervenir une drague pour creuser un chenal contournant l'obstacle.

Puisque les Allemands y ont basé des forceurs de blocus, des sous-marins et des navires de guerre, c'est qu'ils ont fait le nécessaire pour dégager tout ou en partie le passage.

Si c'est tout, il faut recommencer et vu le nombre de cargos isolés à Bordeaux, ils peuvent faire un double barrage comme OTL.

Si c'est en partie, on rebouche le "trou" et on accentue le barrage avec une nouvelle ligne ou deux de bâtiments.

@+
Capu
_________________
Aux Postes de Propreté - Mouillé, c'est lavé ! Lavé, c'est propre ! - Rompre des Postes de Propreté

[demolitiondan]

Je suis d'accord Capu mais question idiote : FTL, le port de Bordeaux (largement détruit lors du GD, obstrué et redondant avec ceux de la côte vendéenne/bretonne saisie intacte) a-t'il servi tant que cela ?
Je m'imagine volontiers un draguage partiel seulement.
_________________
Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[loic]

[solarien]

De plus, on parle de gros port, on peut supposer qu'une partie de la livraison pourrait se faire par des petits ports ou par des systèmes D.

Je pense par exemple aux carburants, ou en installant une plateforme avec des pompes dans la baie de Gironde et un Pipe-line vers le port de Bordeaux, on pourrait permettre à des tanker de livrer le carburant.

[John92]

Je ne veux pas faire mon poil à gratter
mais vu la grosse opération qui va bientôt arrivée
et qui sera couronnée de succès (je l'espère FTL)
n'y aurait-il pas mal de ports qui vont être libérés
Bon à échéance de quelques semaines/mois, mais les logisticiens alliées n'étant pas des branques, ils ont sans doute anticipé
Du coup Bordeaux ... pas la priorité, non?
_________________
Ne pas confondre facilité et simplicité

[loic]

[Capu Rossu]

Bonjour,

Lors du récit sur le débarquement en Normandie, peut-on citer ce village en parlant d'une des unités anglaises qui est présente le D-day, unité style aéroportée ou SAS ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tyneham

@+
Alain
_________________
Aux Postes de Propreté - Mouillé, c'est lavé ! Lavé, c'est propre ! - Rompre des Postes de Propreté

[Casus Frankie]

3 mai
Après Cobra
Pendant la pause, les redéploiements continuent
Lyon – La 3e DIM traverse une ville où la vie reprend doucement son cours, malgré la crainte toujours présente d’un possible retour des Allemands. La division doit se positionner dans les Monts du Lyonnais entre les unités belges qui tiennent la vallée de la Loire et la 3e DB qui fait face à la 14. SS Panzergrenadier sur la rive droite de la Saône.
Dans le camp d’en face, on ne reste pas inactif. La 14. SS-Panzergrenadier poursuit sa remise en condition, avec l’intégration des matériels et d’une partie des hommes des 2. Panzer et 21. Panzer. Encore loin à l’arrière, la 16. Panzer poursuit laborieusement sa route vers le sud, se déplaçant uniquement de nuit pour tenter de préserver au maximum ses Leopard et ses Panzer IV de l’aviation alliée. Entre les deux, la HitlerJugend et la Panzer Lehr commencent à se déployer pour passer à l’attaque – mais au compte-goutte, bataillon après bataillon, au fur à mesure que ceux-ci arrivent sur le front, et en général de nuit. Plus à l’ouest, la 16. Luftwaffen-Feld-Division et les canons automoteurs du 1. Luftwaffen StuG Abt remontent le cours de la Loire vers la région de Roanne pour finir de combler le « gouffre » du Massif Central.
Dans la même région, chez les Américains, la 10th Mountain Division permute à nouveau avec sa voisine, cette fois-ci la 3e DI-US. Les montagnards seront en effet bien plus à l’aise que le GI moyen sur le terrain très accidenté au sud-ouest du Puy de Sancy, à des altitudes dépassant largement les 1 000 mètres.

Sanction
QG de l’OB West (Saint-Germain-en-Laye) – La chute de Toulouse et celle, prévisible, de Bordeaux, ne pouvaient guère rester sans conséquences. Après plusieurs jours de tergiversations, le général Joachim Lemelsen est démis de ses fonctions à la tête de la 1. Armee. À Berlin, on n’a pas du tout apprécié ses reculs de l’hiver, ni ses récents ordres de retraite et plus globalement un manque de combativité, alors qu’il n’a en face de lui « que des Américains inexpérimentés ». Ce dernier argument sent à présent nettement le réchauffé, mais cela ne console pas Lemelsen, qui a le sentiment de servir de bouc émissaire commode.
Son successeur est le général Hans von Obstfelder, qui laisse son LXXXVI. AK à Felix Schwalbe, qui commandait la 344. ID (division renvoyée en Allemagne pour reconstitution) et qui passe à cette occasion General der Infanterie.
Dès qu’il apprend sa nomination, Obstfelder se demande si sa promotion n’est pas un cadeau empoisonné. Certes, la 1. Armee tient à présent un front cohérent et a priori solide, avec des lignes de ravitaillement raccourcies. Toutefois, il est douloureusement conscient qu’une percée ennemie dans les plaines de l’ouest de la France serait difficilement contenue et mettrait en danger les bases sous-marines de la façade atlantique, ce qu’on ne lui pardonnerait pas en haut lieu. Or, avec une seule division blindée – certes bien regonflée – contre trois américaines, il sait que la balance ne penche pas en sa faveur. Mais inutile d’en espérer davantage, car en haut lieu on ne veut pas dégarnir davantage la réserve blindée de l’OB West, déjà très amaigrie (elle ne compte plus à ce moment qu’une Panzerdivision, une Panzergrenadierdivision et une Fallschirmjägerdivision). Du moins ne va-t-on pas lui demander de contre-attaquer !
En revanche, la 19. Armee de von Schweppenburg, qui a remplacé Mackensen, va bientôt disposer de quatre divisions de panzers ou panzergrenadiers au nord de Lyon (14. SS-Panzergrenadier, déjà là, 16. SS-Panzer et Panzer Lehr, qui achèvent d’arriver, et 16. Panzer, dont les premiers éléments approchent). Largement de quoi bloquer toute velléité ennemie et lancer la contre-attaque qui repoussera les Français comme Friedericus II a repoussé les Rouges. On verra ce que donne cette opération, déjà baptisée Lüttich, mais von Obstfelder est soulagé de ne pas avoir à assumer cette obligation.
Lüttich pourrait peut-être, cependant, soulager son aile gauche. En effet, dans le Massif Central, à la jonction entre les deux armées, le relief est un atout, mais à condition de ne le céder qu’avec parcimonie. En cas de recul trop important, la grande mobilité de l’ennemi, qui n’a rien à envier à celle des meilleures unités de la Wehrmacht au début de la guerre, lui permettrait, une fois sorti du terrain accidenté, de créer une situation extrêmement dangereuse. En se rabattant vers l’ouest, il priverait de nombreuses divisions de toute possibilité de repli et s’il se dirigeait vers l’est, il ferait s’effondrer la défense en vallée du Rhône. La réussite de Lüttich supprimerait ces menaces
Mais en fait, ce que redoute vraiment von Obstfelder, c’est ce fameux débarquement au nord, que tout le monde attend. S’il est pris entre le marteau et l’enclume, il n’y aura rien à faire, malgré toute la bonne volonté du monde…

Avant Lüttich
Avertissement très utile
GQG du 15e Groupe d’Armées Allié (Avignon) – Le général Aubert Frère relit pour la seconde fois le message que sa chef du service Transmissions (une femme – une des nombreuses choses qui ont changé dans l’Armée française ces dernières années) vient de décoder en personne et de lui remettre, de la main à la main. Il sourit. Bien entendu, il s’attendait à une contre-attaque allemande – depuis quatre ans, les habitudes de la Wehrmacht et ses “tics” opérationnels sont bien connus. Il restait une incertitude majeure : allait-elle frapper les Français ou les Américains ? Depuis quelques jours, les informations de la Résistance et les reconnaissances aériennes, guère gênées par une Luftwaffe aux abois, ont indiqué que le Schwerpunkt se trouverait très probablement du côté de la 1ère Armée commandée par Alfred Montagne. Et ce matin, pour couronner le tout, voici les quelques lignes de ce message très, très secret des Anglais … Inutile de se demander d’où ils ont pu tirer ces renseignements : la source “Ultra”, à coup sûr. Mais ce qu’est “Ultra”, même le patron de son 2e Bureau n’en sait rien, sinon que c’est très, très fiable. Bref ! Le coup, porté par trois ou quatre Panzerdivisions, va tomber au nord du Rhône, dans 24 heures minimum, quatre jours maximum.
Certes, la situation logistique de la 1ère Armée s’est un peu compliquée au fil de l’avance le long de la vallée du Rhône et ses troupes ont souffert pendant Cobra. Mais les hommes sont prêts et affûtés comme des rasoirs. Le spectacle de Lyon en feu a encore accru leur rage de vaincre, si possible. Et les ordres que Frère va leur envoyer vont encore améliorer leur préparation.
Le général décroche son téléphone : « Demandez au général Montagne de passer me voir. Immédiatement. (…) Oui, mon petit, je sais que vous allez transmettre immédiatement, mais cet “immédiatement” vaut aussi pour le général Montagne. (…) Parfait. » Il raccroche en souriant à nouveau. Il y a à présent des femmes à tous les échelons des Transmissions du GQG…
………
– Alors, ils se sont décidés ?
– Hé oui. Demain, ou sinon d’ici le 8. Mais nous sommes prêts, n’est-ce pas ?
– Archi-prêts. Et… D’ici le 8 ? Alors si… au nord… c’est bien ce qu’on peut espérer…
– Oui. Ce serait idéal. La majeure partie des réserves allemandes seront attirées et fixées de notre côté – fixées et usées, j’espère !
Frère respire profondément avant de reprendre : « Vous vous souvenez, il y a quatre ans, presque jour pour jour ? »
– … Heu… trop bien… Mais pourquoi ?…
– Parce que je sais à présent ce que Manstein et les autres ont dû penser en apprenant que Gamelin envoyait en Belgique tout son monde – toutes nos réserves, le meilleur de nos armées. Et pour compléter le tableau, Roger Pennes m’a garanti que cette fois, le ciel serait de notre côté. Quand ils ont lancé leur Nordwind, on ne s’y attendait pas vraiment, pas à ce moment – le talent de Herr Rommel, j’imagine, pour s’assurer la surprise… Et la météo était atroce. Aujourd’hui, c’est tout le contraire, nous sommes prêts et le mois de mai s’annonce superbe, avec juste un ou deux jours de pluie dans la semaine qui vient !
– Un beau mois de mai. Comme il y a quatre ans…
– Oui. Comme il y a quatre ans.
– Vous m’excuserez, mon général, j’ai… quelques ordres à donner.
– Bien sûr… Mais… Alfred…
Aubert Frère tend la main à son subordonné, qui la serre longuement. La bataille qui s’annonce ne sera pas la dernière de la guerre – mais pour les forces françaises, ce sera peut-être le dernier grand affrontement de la Seconde Campagne de France, avant la campagne qui n’a pas été conduite en ‘18… la campagne d'Allemagne.

[John92]

Arf, Casus tu publies tard (aucun reproche)
Pour moi, demain, grosse journée
donc
relecture pour Mardi après-midi, sans faute.
Cdlt
John
_________________
Ne pas confondre facilité et simplicité

[demolitiondan]

[houps]

Sanction
QG de l’OB West (Saint-Germain-en-Laye) –
" ... Toutefois, il est douloureusement conscient qu’une percée ennemie dans les plaines de l’ouest de la France serait difficilement contenue et mettrait en danger les bases sous-marines de la façade atlantique, ce qu’on ne lui pardonnerait pas en haut lieu. Or, avec une seule division blindée – certes bien regonflée – contre trois américaines, il sait que la balance ne penche pas en sa faveur. Mais inutile d’en espérer davantage, car en haut lieu on ne veut pas dégarnir davantage la réserve blindée de l’OB West, déjà très amaigrie (elle ne compte plus à ce moment qu’une Panzerdivision, une Panzergrenadierdivision et une Fallschirmjägerdivision). Du moins ne va-t-on pas lui demander de contre-attaquer !"

Au lieu de supprimer la répétition - solution de facilité manquant d'élégance, comme Abel - je suggère de la renforcer :
"Mais inutile d’en espérer davantage, car le même haut lieu ne veut pas dégarnir..."
_________________
Timeo danaos et dona ferentes.
Quand un PDG fait naufrage, on peut crier "La grosse légume s'échoue".
Une presbyte a mauvaise vue, pas forcément mauvaise vie.

[Tyler]

Mais... C'est qu'il est prenant cet échange entre Frère et Montagne! Bravo à l'auteur!

[Casus Frankie]

@ Demo Dan - à l'époque, la chef. Par ailleurs, il est amusant de tenter de féminiser en cheffe un mot qui n'est autre que la version masculine d'un mot féminin : la tête.
Un peu comme si on essayait de masculiniser "Monsieur Untel est la tête pensante de l'équipe".

@ Tyler : Merci
_________________
Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)

[demolitiondan]

C'est bien pour ca que j'ai dit Je cède à la mode féminine sans savoir si c'est justifié.

_________________
Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste