Fantasque Time Line

[Casus Frankie]

25 février
Pologne
Les affaires continuent
Kremlin (Moscou) – Le Petit Père des Peuples n’a évidemment pas tardé à prendre connaissance du rapport de Son Excellence Gusev – lequel a fait diligence sur ce sujet très épineux, tout en fournissant le plus possible de détails.
Pour Staline – d’accord avec Molotov, mais aussi avec Béria – il n’y a absolument pas lieu de s’affoler. Les Polonais bluffent, c’est certain. Et vu que les Fascistes ne peuvent plus gagner du temps pour eux (quelle ironie tout de même, quand on y pense – ces réactionnaires, tous les mêmes !), les pro-capitalistes tentent de forcer le destin avec leur ridicule insurrection, qui ne débouchera évidemment sur rien, sinon sur davantage encore de misère et toujours plus de morts.
Car l’URSS connait bien la fureur allemande – au moins autant que les Polonais. Et ce n’est pas une minable poignée de passéistes embusqués qui vont dicter le rythme des opérations de l’Armée Rouge des Ouvriers et Paysans. Le « gouvernement légal de la République polonaise » propose une « loyale collaboration militaire » ? Parfait – l’Union Soviétique lui répond qu’elle est disposée à collaborer avec ses forces, pour peu qu’elles se placent effectivement et dès à présent sous son commandement. On verra bien si ces politiciens rétrogrades osent rejeter cette proposition…
Molotov précise la pensée de son chef : « S’ils acceptent, ils conviennent de fait avoir perdu leur soi-disant légitimité à décider seuls de l’avenir de leur pays. La formation d’un gouvernement sous notre égide en sera facilitée. S’ils refusent, ils prennent la responsabilité des massacres à venir, et passeront pour ce qu’ils sont : des opportunistes préoccupés avant tout de leur pouvoir, et aucunement de leur peuple. »
– C’est cela, mon cher Viatcheslav Mikhaïlovitch. Alors que notre glorieuse armée a déjà la générosité de venir à leur secours et d’éviter à leur peuple de nouvelles atrocités ! Au fait, Lavrentiy Pavlovich, où en sommes-nous à ce sujet ?
Béria : « Nos équipes travaillent jour et nuit pour documenter les multiples découvertes que nous faisons au fil de notre progression fulgurante. Bientôt, le monde saura ce dont les Fascistes sont capables – et de quelles horreurs nous venons sauver le prolétariat européen."
Molotov : « Cependant, le camarade Gusev nous indique que ses visiteurs ont insisté lourdement sur les soutiens étrangers dont ils disposent et sur les aides qu’ils s’apprêtent à recevoir. Aides dont la nature et les voies ne sont absolument pas claires, d’ailleurs. »
– C’est parce que ce sont des foutaises ! Les Français sont loin et ont d’autres soucis, les Américains s’en moquent – quant aux Anglais, ils ne feront rien d’important, même depuis la Serbie. Je puis vous l’assurer ! Nous allons donc poursuivre comme nous l’avons déjà fait avec succès en Ukraine et en Lituanie. Rapidement, pour prendre de vitesse la Réaction et assister ces malheureuses populations avant leur massacre complet – mais en laissant toutefois le temps aux nervis des exploiteurs de payer le prix de leurs erreurs. Nous allons agir comme ils veulent agir. Ils espèrent se servir de nous, nous nous servirons d’eux ! Ainsi, nous allons définitivement couper le peuple polonais de ses soi-disant dirigeants en tranchant les liens du cœur, les uns après les autres. »
C’est à la fois lucide, cynique… et parfaitement clair. Molotov risque toutefois une ultime réserve : « Brillant, camarade maréchal. Mais sommes-nous sûr qu’ils ne recevront aucune aide ? »
– Allons, allons. Même si nos amis capitalistes le voulaient, il leur est impossible d’envoyer quoi que ce soit de significatif en Pologne, y compris depuis la Yougoslavie !
Quoi que ce soit de militairement significatif, sans doute. Mais il est des symboles très significatifs – surtout pour un peuple aussi désespérément nationaliste que celui que Staline prétend manipuler.

[Casus Frankie]

26 février
Pologne
Surenchères
Siège du gouvernement polonais en exil (Eaton Place, Londres) – Le gouvernement de Stanisław Mikołajczyk accueille avec un fatalisme blasé la réponse soviétique à sa proposition, que les Polonais considèrent pourtant à la fois généreuse pour Moscou et humiliante pour eux. L’Armée Secrète a certes émis aujourd’hui son ordre n°126, autorisant à soutenir l’Armée Rouge « en fonction de nos forces et des intérêts de l'État »… mais ses chefs savent déjà qu’il n’y a décidément rien à attendre des Soviétiques en fait de collaboration, même avec le soutien symbolique des puissances occidentales. Et vu que leur soutien effectif tarde à se concrétiser, la stratégie “dure” du clan entourant le général Marian Kukiel se trouve légitimée : il ne sert décidément à rien de louvoyer avec les Rouges !
Certes… Mais pour que la stratégie de Kukiel débouche sur quelque chose d’utile, encore faut-il que l’insurrection perdure ! Or, pour l’instant, en dépit de ses quelques succès initiaux, force est de constater que c’est mal parti – le général Tadeusz Bór-Komorowski est parfaitement lucide là-dessus. Et chacun sait qu’il va falloir plus que la sympathie de la presse occidentale pour tenir face à la Wehrmacht.
Les Français ont promis une aide logistique ainsi que, dans une certaine mesure, un appui aérien. Leur 1ère Armée Aérienne – qui compte par bonheur dans ses rangs plusieurs formations polonaises ! – ira de temps en temps faire un tour au-dessus du territoire national (secteur vers lequel les NA-102 de la 10e EC Poniatowski ont déjà tendance à s’égarer…).
Les Américains… Son Excellence Jan-Maria Włodzimierz Ciechanowski, ambassadeur à Washington, a personnellement remis au général McNarney – réputé sympathisant de la cause – une lettre urgente du président Władysław Raczkiewicz le suppliant de faire envoyer des approvisionnements à Varsovie, soit par air à partir de la Méditerranée, soit même à partir de l’URSS, qui ne saurait refuser aux Polonais d’utiliser des armements allemands capturés ! On se chargera sur place de trouver des munitions… Pour l’heure, point de réponse.
Quant aux Britanniques, ils ont dans un premier temps fait mine de revenir sur leur parole, en invoquant le mauvais temps, ou encore la nécessité de ravitailler les maquis yougoslaves – excuse tout à la fois inacceptable et inintelligible pour les Polonais. Finalement, encore une fois, les choses se feront entre les gens concernés : le N° 1586 Special Duty Flight (Polish), basé à Brindisi et équipé de Halifax, parachutera en Pologne tout le matériel qu’on voudra bien lui fournir. Les Occidentaux aussi ont capturé pas mal d’armes allemandes !
On le comprend, devant tant de mauvaise volonté, les responsables polonais de l’opération Comet sont tendus à l’extrême… C’est pourquoi, dans ces conditions, le gouvernement polonais ne voit pas l’intérêt d’informer officiellement l’Union Soviétique du déploiement prochain de la brigade Sosabowski, comme il s’y était pourtant formellement engagé auprès de Londres. Charge aux intéressés de le faire – s’ils y pensent, évidemment…

Les Balkans compliqués
Difficile rapprochement de points de vue
Belgrade – Comme on pouvait s’y attendre, et bien qu’il ait mis quelque temps à le confirmer officiellement, le gouvernement royal notifie une « fin de non-recevoir catégorique » aux propositions de la mission d’Ivan Šubašić. Le palais précise même : « En l’état, les demandes de l’AVNOJ ne sont nullement de nature à maintenir l’unité du peuple yougoslave, et ne tiennent pas compte des efforts immenses consentis par l’armée royale pour libérer le royaume. Ces derniers, qu’il ne s’agit évidemment pas de comparer avec les souffrances et les exploits des armées patriotes de l’Intérieur, nécessitent qu’on leur rende justice par une solution politique équilibrée garantissant la représentation exhaustive de la Nation, selon les contre-propositions que nous présenterons sous peu. »
Cette sentence peut paraitre de courtoisie purement politicienne, et n’engageant à rien. Ce serait ignorer qu’elle est le fruit des plus vives pressions exercées par Français et Britanniques sur le ministre des Affaires étrangères Milan Grol – qui n’a pu que les faire remonter au cabinet royal. Lequel a décidé de céder sur la forme, ne serait-ce que pour conserver l’appui de la logistique alliée et ne pas laisser à d’autres le soin de libérer le reste du Royaume. Alors que l’état-major yougoslave prépare avec soin l’opération Grenade, le soutien allié mérite bien quelques aménagements de façade… Car bien sûr, ni Pierre II, ni le tandem Ninčić – Živković n’envisagent de vraies concessions. Il s’agit simplement de gagner du temps, en attendant une évolution que l’on sait par avance favorable.
Mais vu de l’extérieur, ou même des niveaux inférieurs de l’appareil d’état yougoslave, cela n’en reste pas moins une inflexion significative – de celles qui sont l’amorce d’un changement… Ne dit-on pas que “dès qu’on commence à négocier, on est prêt à céder quelque chose” ?

Le NEF rappelle ses ambassadeurs
Cetinje (Monténégro) – Fait assez rare pour un notable du NEF ces derniers temps, Jean Goy, ambassadeur de Matignon auprès du Monténégro, trépasse de mort naturelle. Quelques jours plus tard, son corps sera rapatrié au Perreux-sur-Marne, commune dont il a été désigné maire durant l’Occupation ; il sera inhumé au cimetière municipal.
Le Monténégro est un territoire au statut flou, mi-royaume sans roi, mi-gouvernorat du royaume d’Italie mais fidèle au régime de Mussolini, administré directement par les forces allemandes dans les Balkans et qui passera vraisemblablement bientôt sous la coupe croate. Il en a d’autant moins d’importance. Le maigre personnel de la représentation française est incorporé à la LVF, sans passage par la case France occupée.
………
Zagreb (Croatie) – Jacques Chevalier, ambassadeur en Serbie, ayant été enlevé par des Partisans quelques mois auparavant, le dernier diplomate nommé par Matignon, Max Bonnafous, est rapatrié en France dans les semaines qui suivent. L’amant de la fameuse actrice Gaby Morlaix saisissait d’ailleurs tous les prétextes possibles pour passer de fréquents séjours à Paris. Le personnel de sa légation est renvoyé en France et incorporé à la PSE. Bonnafous, condamné à la Libération, verra sa peine annulée pour services rendus à la Résistance et se retirera de la vie politique jusqu’à sa mort en 1975.

[Archibald]

Le piège se referme... Staline, l'appui aérien Français, quelques Mustangs, des promesses Américaines, et des transports britanniques. Et un raton laveur**, tant qu'on y est - ça leur fait une belle jambe, aux polonais.

(** il se reconnaitra j'en suis sur !)

[loic]

[demolitiondan]

Les polonais ne relèvent pas du CA polonais mais de la 1ère armée aérienne donc du 18th GAA. Lequel déploie ses avions dans la vallée de Serbie et jusqu'à Salonique, éventuellement par le biais de terrain avancée. Soit 700 km Aller.
Je n'ai jamais parlé Cracovie - et encore moins de s'égarer pour le plaisir. Par contre, c'est une réalité que les pilotes polonais vont naturellement avoir tendance à aller au Nord.
Enfin, du reste, moi j'ai dans mes sources 2600 km AR avec des réservoirs.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[loic]

Si les Polonais veulent montrer les couleurs au-dessus de leur pays, pourquoi pas. Mais il faudrait être plus précis : s'agit-il de missions de bombardement d'objectifs précis, de chasse libre, de train-busting, ...
Je citais Cracovie et Varsovie pour fixer les distances.

Je lis aussi dans l'appendice d'avril 44 que les NA-102 équipent les groupes concernés à partir de fin mars. Donc les Polonais en février sont encore sur NA-89, qui a moins d'autonomie.

On n'a pas fait le point des terrains (sans doute ex-allemands) dans les Balkans. La 1ère armée aérienne, ça fait un paquet de groupes. Sans oublier les Anglais.

Envoie moi ta source stp sur l'autonomie du P-51.
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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...

[demolitiondan]

Soyons logiques. Les alliés ne vont rien baser en Albanie. Logistique inexistante, population agitée, montagnes et terrain venteux... Bref. Pour moi, le plus simple est le plus évident : lourds et moyens à Athènes et Salonique, Légers et chasseurs par roulement dans la vallée de Serbie jusqu'à Belgrade.
Double intéret : rapidité d'intervention, augmentation du rayon d'action. Dans les deux cas, nous ne sommes pas à plus de 500 km de la frontière Sud.
Au risque de me répeter, le sujet n'est pas d'aller jusqu'à Varsovie, du moins pas pour l'instant. Sans parler d'imposer même une présence constante. Juste de montrer de temps en temps les couleurs (ca leur fait plaisir, et ils le feront tout seul au pire).
Ce qui ne veut pas dire que je n'ai rien prévu en particulier. J'ai des idées, qui iront dans la chrono de mars (tiens, pile pour le réequipement), je ne l'ai même pas fait exprés. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne se passe rien en attendant - juste rien de significatif. Et la chrono est déjà assez touffue comme cela.
Sauf si quelqu'un veut bosser particulièrement sur ce sujet, auquel cas il est bienvenu pour colorier.

Data from Erection and Maintenance Manual for P-51D and P-51K,[141] P-51 Tactical Planning Characteristics & Performance Chart,[142] The Great Book of Fighters,[143] and Quest for Performance[144]

General characteristics

Crew: 1
Length: 32 ft 3 in (9.83 m)
Wingspan: 37 ft (11 m)
Height: 13 ft 4.5 in (4.077 m) tail wheel on ground, vertical propeller blade
Wing area: 235 sq ft (21.8 m2)
Aspect ratio: 5.83
Airfoil: NAA/NACA 45–100 / NAA/NACA 45–100
Empty weight: 7,635 lb (3,463 kg)
Gross weight: 9,200 lb (4,173 kg)
Max takeoff weight: 12,100 lb (5,488 kg) 5,490
Fuel capacity: 269 US gal (224 imp gal; 1,020 l)
Zero-lift drag coefficient: 0.0163
Drag area: 3.80 sqft (0.35 m²)
Powerplant: 1 × Packard (Rolls Royce) V-1650-7 Merlin 12-cylinder liquid cooled engine, 1,490 hp (1,110 kW) at 3,000 rpm;[145] 1,720 hp (1,280 kW) at WEP
Propellers: 4-bladed Hamilton Standard constant-speed, variable-pitch, 11 ft 2 in (3.40 m) diameter
Performance

Maximum speed: 440 mph (710 km/h, 383 kn)
Cruise speed: 362 mph (583 km/h, 315 kn)
Stall speed: 100 mph (160 km/h, 87 kn)
Range: 1,650 mi (2,660 km, 1,434 nmi) with external tanks
Service ceiling: 41,900 ft (12,800 m)
Rate of climb: 3,200 ft/min (16 m/s)
Lift-to-drag: 14.6
Wing loading: 39 lb/sq ft (190 kg/m2)
Power/mass: 0.18 hp/lb (300 W/kg)
Recommended Mach limit 0.8
Armament
Guns: 6 × 0.50 caliber (12.7mm) AN/M2 Browning machine guns with 1,840 total rounds (380 rounds for each on the inboard pair and 270 rounds for each of the outer two pair)
Rockets: 6 or 10 × 5.0 in (127 mm) T64 HVAR rockets (P-51D-25, P-51K-10 on)[nb 8]
Bombs: 1 × 100 lb (45 kg) or 250 lb (110 kg) bomb or 500 lb (230 kg) bomb on hardpoint under each wing[146
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[demolitiondan]

Model P-51B / P-51C
Production 1988 / 1750
Length 32.25
Height 13.67
Wingspan 37.04
Weight - empty 6985
Weight - normal T.O. 9,800
Weight - max G.W. 11,800
Powerplant Packard (Rolls Royce) V-1650-3, -7
Horsepower 1380, 1490
Propeller - Hamilton Standard 11'2" 4-blade
Max Speed 439 mph at 25k feet
Service Ceiling 41,800
Fuel Capacity 180, 269
Drop Tanks 2x 75 or 2x 108
Range 1,180 and 1,900 w/DT
Armament 4x .50 cal. - 1260 rounds
(2) 1,000 lb bombs or rockets
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[loic]

Sur les terrains disponibles en Yougoslavie, voir http://www.ww2.dk/Airfields%20-%20Yugoslavia.pdf
Comme OTL, le débarquement en Sicile puis Italie pousse les Allemands à développer certains terrains.

Je vais revérifier pour le Mustang.

Ceci dit, nous sommes d'accord, c'est un point mineur.
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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...

[demolitiondan]

Bonne source, je l'utilise déjà pour l'URSS et la Grèce. Le débarquement allié surtout - je m'attend à voir fleurir les bases PSD autour de Salonique et dans toute la vallée jusqu'à Belgrade (le long de la ligne de chemin de fer) OTL, les alliés ont beaucoup eu recours à cela, et notamment en France.
Tiens détail - c'est quoi le camouflage et les insignes de la 10e EC ? Et c'est quoi comme cocardes ?
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[ciders]

C'est moi qui avait fourni la source en question et il me semble que quelqu'un ici avait déjà réalisé une liste de tous les terrains d'aviation utilisables en Grèce et en Albanie pour l'aviation alliée.
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- "I'm sorry. You're a hero... and you have to leave." (Fallout)

[Etienne]

Grèce seulement, pour ma part.
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"Arrêtez-les: Ils sont devenus fous!"

[loic]

[patzekiller]

pour la HG, je me souviens d'avoir écrit un passage en italie ou je note son départ pour la front russe.
_________________
www.strategikon.info
www.frogofwar.org

[Casus Frankie]

Note – les fichiers Février définitifs sont encore sur mon ordinateur (et sur mes sauvegardes, pas fou !).


6 février
La campagne d’Italie
L’Ostheer appelle à l’aide !
Berlin – La situation sur le Front de l’Est empirant et les généraux de la 14. Armee ayant fait remonter à l’OKW des rapports très rassurants sur leurs capacités à conserver « l’Italie utile » (ou ce qui en reste), le retrait d’Italie de la division blindée Hermann-Göring est décidé – alors même que ces maladroits de Yankees s’agitent encore du côté de Gombitellli. L’est du front italien est de toutes façons, à part une mince bande côtière, impropre aux opérations blindées. La 15. SS-Panzergrenadier Division ReichsFührer SS prendra le relais dans le rôle de réserve mobile et blindée… dès qu’elle en aura fini avec les Partisans d’Italie du Nord. Dès que possible, la 24. Panzer viendra remplacer la Hermann-Göring. Celle-ci devrait être affectée au GA Sud-Ukraine.

8 février
Faisant reprendre point par point l’ordre de bataille de la Wehrmacht, Hitler ordonne d’accélérer le transfert de la 60. PzGr et de la 11. Panzer depuis l’Allemagne, et d’envoyer d’Italie au HG NordUkraine (et non au SudUkraine) la PanzerDivision Hermann Göring.

25 février
Bien informé des événements en cours à Varsovie, Joseph Dietrich n’envisage pas de s’engager dans la ville – il se méfie d’un terrain urbain grouillant de sous-hommes où il pourrait facilement se faire piéger et perdre du monde pour rien. Non – il va plutôt contourner la ville par le sud, en direction de Nałęczów, où la Hermann-Göring de Paul Conrath vient d’arriver en train d’Italie pour se joindre à la fête. La Luftwaffe, en retard comme d’habitude !

Le chef : Conrath a commandé l'unité de juin 40 à avril 44. Göring (le Gros) devait disposer d'un vivier d'officiers tankistes plus restreint que la Heer.

L'appellation 1 - C'était une PzGr, devenue Panzer (comme par exemple la Wiking).

L'appellation 2 - Ah oui, Fallschirm Panzer… je trouve toujours cette appellation typiquement Göringienne. Et historique, en plus !!!