Fantasque Time Line

[Colonel Gaunt]

Un autre film sur la guerre en ukraine, enfin celle de 2014
https://www.youtube.com/watch?v=W_cCXmw2GQM&ab_channel=AuCin%C3%A9
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Les guerres de religion consistent à se battre pour savoir qui a le meilleur ami imaginaire
Citation vue sur le net

[Hendryk]

[houps]

Ce soir (10 mai) sur FR 3 " La France de l'après-guerre". De quoi aller (re)faire un tour sur "Situation civile française" rubrique "discussions 1944". Sujet loin d'être clos.
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Timeo danaos et dona ferentes.
Quand un PDG fait naufrage, on peut crier "La grosse légume s'échoue".
Une presbyte a mauvaise vue, pas forcément mauvaise vie.

[Merlock]

Pas un film, mais l'évocation d'un film d'il y a 40 ans...
https://www.youtube.com/watch?v=CGJUR76QLBQ
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"Le journalisme moderne... justifie son existence grâce au grand principe darwinien de la survivance du plus vulgaire." (Oscar Wilde).

[Imberator]

[demolitiondan]

J'ai une estime et un respect infini pour Kenneth Branagh - lequel restera toujours, pour moi, l'Hamlet de légende donnant la réplique à Derek Jacobi dans Hamlet, ou face à Kate Winsley (comme dans Songe d'une nuit d'été et beaucoup de bruit pour rien).
Ca fait maintenant plusieurs années que Sir Branagh s'est engagé dans une reprise/modernisation des pièces d'Agatha Christie. Gageure ! Après Suchet et Ustinov. Et pourtant … il s'y colle avec un amour du matériel, une énergie (et une absence de prise de risque - sa carrière n'a plus rien à prouver …) qui font plaisir à voir.
Et puis, quoi de mieux que les huit-clos d'Agatha Christie pour un acteur de théâtre. Malheureusement, les deux premières tentatives - l'Orient-Express et Mort sur le Nil - n'ont pas du tout eu le succès escompté. Relatifs échecs commerciaux, souffrant lourdement la comparaison avec leurs ainés (on y reviendra ...), et pour partie sortis en pleins COVID, ils sont néanmoins rentrés sans gloire dans leurs frais. Ils n'ont pas non plus couté trop cher à produire - et puis c'était couru d'avance, quand on choisit les deux romans les plus connus dans une série de 66 ...
Bref ! Branagh récidive avec Mystère à Venise - loosely based (comme on dit) sur Hallowe'en Party, qui est transposée ici à Venise - non ? Sans blague ? - dans une ambiance poisseuse, gothique et triste à souhait. Nous sommes en 1947, l'Italie est sous occupation, la sérénissime est bien grise, les palais ternes et ruinés ... c'est ce décor de (non)-carte postale qui servira de base à l'intrigue que je ne vais pas spoiler ici.
Qu'il me soit simplement permis d'écrire deux choses ici : Branagh ne fait du Suchet ou du Ustinov. Il ne raconte même pas la même chose : son Poirot n'est pas un homme du monde infaillible et vaguement maniéré - c'est un homme usé, inadapté, un "nuage gris qui passe en amenant la mort'. L'enjeu ici n'est pas de décrire une époque, ou de passer un bon moment entre le dessert et le thé. Ce sont les psychés, les personnages, les ambiances qui intéressent Branagh, en bon acteur de théâtre. Avec plus ou moins de succès - ce qui nous amène d'ailleurs à mon deuxième point : l'ambiance gothique de ce volet. Clairement, il peut rebuter. Et j'ai même eu peur de décrocher - heureusement, la tonalité reste somme toute légère, et sans agressivité. Un peu dans la (modeste) veine de ce que je tente d'écrire, parfois pour vous distraire.
Bref ! Comme ses deux prédécesseurs, Mystère à Venise est il le film de l'année ? Clairement non. Mérite-t'il l'opprobre et les gémonies des paroissiens des glorieux ainés ? Pas davantage. C'est un bon film, avec de bonnes qualités visuelles, d'excellents acteurs et un bon scénario. Au surplus, il a pour lui de continuer dans l'effort engagés depuis 5 ans de tenter de faire quelque chose de nouveau avec Agatha Christie, dont il reste encore tant à dire, sans pour autant verser dans la camomille. Ca mérite bien un peu de bienveillance, non ? Alors, je dis : allez le voir, si le sujet vous intéresse.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[Heorl]

[demolitiondan]

Oui l'absence de surprise. Et le fait que ce n'est pas Ustinov - donc ce n'est ni ce qu'on escomptait, donc c'est moins bien .En fait, c'est différent. Mais je maintiens que commencer par cet épisode était une cornerie.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[Imberator]

Branagh est en général excellent. Cependant il ne m'a pas franchement convaincu dans Wild Wild West. Peut-être son personnage manquait de profondeur. Mais faut bien manger.
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Point ne feras de machine à l'esprit de l'homme semblable !

[demolitiondan]

Oui enfin Christopher Lee a eu une période de cachetonnage sans vergogne, lui aussi. Hurlement II ... Il s'en est carrément excusé auprès de Peter Jackson plus tard.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[Imberator]

[demolitiondan]

Ah ca !
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C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[Deltafan]

[Moshe]

[demolitiondan]

Avis partagés de mes connaissances sur le sujet Deltafan. Mais à essayer;
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