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Le destin de Chypre en FTL
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Paul



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 12:37    Sujet du message: Le destin de Chypre en FTL Répondre en citant

En OTL, il y eut en Grèce dans les années 60 un coup d'état contre le Royaume et la Dictature des Colonels fut mise en place. De ce fait, cela a engendré aussi un coup d'état à Chypre 10 ans plus tard contre Makarios pour justement réunir l'île à la Grèce, qui est soutenu par les colonels grecs. Puis la Turquie est intervenue pour occuper le nord de l'île pour soit disant au nom de la minorité turque.

Or, FTL, la Grèce ne connaîtra sans doute jamais de coup d'état et restera probablement un royaume. Par conséquent, un éventuel coup d'état à Chypre ne sera sans doute jamais soutenu, et par effets papillons, la Turquie n'interviendra jamais sur l'île et celle-ci ne sera jamais divisée en 2, les communautés existantes continuant de ce fait de cohabiter ensemble.

De ce fait, la destinée de Chypre FTL sera-t-elle meilleure qu'OTL ou sera-t-elle toujours la même?
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ciders



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 12:44    Sujet du message: Re: Le destin de Chypre en FTL Répondre en citant

Paul a écrit:
Or, FTL, la Grèce ne connaîtra sans doute jamais de coup d'état et restera probablement un royaume. Par conséquent, un éventuel coup d'état à Chypre ne sera sans doute jamais soutenu, et par effets papillons, la Turquie n'interviendra jamais sur l'île et celle-ci ne sera jamais divisée en 2, les communautés existantes continuant de ce fait de cohabiter ensemble.


Comment en être sûr justement ? La Turquie pourrait trouver un plus grand intérêt à regarder vers le sud si ses frontières orientales sont gardées par des pays plus solides. Les méandres de la politique grecque pourraient amener à des conflits. L'envie d'une unification Chypre-Grèce ne disparaîtra pas non plus de même que la rivalité séculaire entre la Grèce et la Turquie.

Franchement, je me demande. Je ne vois pas une Chypre plus solide qu'aujourd'hui (on conserverait le même profil géographique et économique) mais dans un environnement toujours instable.
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demolitiondan



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 12:47    Sujet du message: Répondre en citant

Sinon y a personne qui a lu mon Enosis de mars avril 1944 ?
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Capitaine caverne



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 12:49    Sujet du message: Répondre en citant

Il faut faire attention aux textes régulièrement publiés. La Grèce fraichement libéré annexe Chypre au printemps 1944 FTL.
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Paul



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 12:52    Sujet du message: Répondre en citant

demolitiondan a écrit:
Sinon y a personne qui a lu mon Enosis de mars avril 1944 ?


Capitaine caverne a écrit:
Il faut faire attention aux textes régulièrement publiés. La Grèce fraichement libéré annexe Chypre au printemps 1944 FTL.


Oups... Pardon, désolé, cela me dit quelquechose en effet, il me semblait l'avoir lu, mais , désolé, je ne m'en rappelais plus. Mais, cependant, malgré, que l'île devienne grecque, quid des minorités turques et la GB conservera-t-elle toujours des bases sur l'île?
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demolitiondan



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 12:57    Sujet du message: Répondre en citant

Au 9 avril cher ami - je n'aime guère me citer mais je suis fier de mon ouvrage. Vivement le retour des Balkans !

Citation:
« Tout comme celui de l’Epire du Nord, le sort final de Chypre fit dès février 1945 l’objet d’âpres discussions entre les différentes parties prenantes au dossier – et tout comme l’Epire du Nord, le résultat était joué d’avance. Les troubles du mois de mars 1944 avaient fait 1 120 victimes : 751 grecs et 317 turcs, auxquels il faut hélas ajouter 52 dépouilles enterrées dans la montagne autour de Klirou, découvertes bien plus tard et jamais vraiment identifiées. Les blessés se comptaient par milliers, les dégâts matériels étaient substantiels – surtout pour un si petit territoire.
La Turquie, puissance tierce des discussions en cours, n’hésita pas à jouer son va-tout, comme jadis sur les mers, pour tenter d’arracher le maximum de concessions : menace de fermeture des Détroits, menace de révision des contrats commerciaux conclus en 1943 entre Ankara et Athènes (outrageusement favorables la Turquie, mais dont la Grèce avait encore grand besoin…), incidents “techniques” à répétition dans la traversée des Dardanelles… en vain. Face à elle, le Royaume-Uni et le Royaume de Grèce – vainqueurs respectés du conflit mondial et liés par le nouveau traité de l’Atlantique Nord – poussèrent sans hésitation leurs pions, avec la certitude que plus rien ne pouvait changer.
C’était vrai. Mais la minorité turque obtint toutefois trois clauses garanties par Londres : la liberté de culte, l’absence d’expropriation et le droit de commercer avec la Turquie avec un régime douanier particulièrement favorable. On comprend que, dans ces conditions, les appels d’Ankara à un embargo des échanges avec l’île n’aient été suivis par personne – il n’arrangeait même pas ceux qu’il prétendait défendre. Chypre devint officiellement grecque lors d’un référendum organisé deux ans plus tard, pour la Pâque orthodoxe, le 21 avril 1946. Le score du scrutin (84,7 % de Oui) fut certifié exact par les organismes de surveillance internationaux – il ne faisait que refléter la démographie de l’île. La monarchie grecque en fut bien sûr très satisfaite – le régent Paul jouait sur ce sujet une partie de l’avenir de sa dynastie.
Pour faire passer la pilule auprès d’Ankara, Londres se hâta de débloquer une importante aide au développement (on parle de 100 millions de Livres Sterling) destinée à financer les installations portuaires d’Istanbul et les futures grandes routes d’Anatolie. C’était moins que l’aide apportée par les Américains… L’opposition nationaliste turque ne se priva pas de qualifier ce subside de « salaire du déshonneur » sous les huées d’un Parti républicain du Peuple fragilisé et du nouveau Parti démocrate de Celâl Bayar –avant tout mercantiliste, mais qui ferait finalement chuter İsmet İnönü en 1950.
La vie politique turque continua donc, sous le nouveau multipartisme instauré fin 1944, animée par l’opposition entre les nationalistes accrochés à leurs sièges et les partis religieux tentant de revenir sur le devant de la scène. Dans ce tumulte, Chypre devint un mythe, une terre perdue digne de la Transylvanie du régime Horthy dont tous parlaient sans rien en savoir – elle était d’autant plus fantasmée que bien peu pouvaient prétendre y être allé ! Burhan Nalbantoğlu et Daniş Karabelen rejoignirent ainsi peu à peu, à leurs modestes niveaux, des héros nationaux tels que le grand Mustapha Kemal et Enver Bey, ou encore d’obscurs militaires d’Asie centrale comme Timur Chevket. Le cinéma – toujours outrancièrement cocardier – parla longtemps d’eux, sous une forme ou une autre (voir à ce propos Tout pour la patrie, 1972, ou Önce Vatan, 1974, de Duygu Sagiroglu).
Chypre était donc bel et bien désormais détachée de la Turquie, dans les faits sinon dans l’esprit. Abandonnée par la mère patrie, la communauté turque de l’île oscilla longtemps entre résistance et résignation, au rythme des attentats de la Kara Çete. Toutefois, l’arrangement de 1945 tint un moment dans la forme, les bases britanniques garantissant la protection des musulmans. Cependant, victimes d’un très net ostracisme de la société grecque, la jeunesse se vit peu à peu contrainte à l’exil pour chercher du travail en Europe, en Afrique et bien sûr en Turquie. La communauté turque se vidait ainsi de ses forces vives, à l’ombre de l’Union Jack. Le transfert des escadrons de la RAF vers Akrotiri (au sud de l’île) dès 1950 et la fermeture de la base de Nicosie en 1956 accélérèrent cet exode. Au début des années 1990, on ne comptait plus que 8 000 musulmans sur l’île – les autres étaient morts ou avaient émigré. Soudée par l’adversité comme par son identité, cette population connait un regain de dynamisme depuis 1998 et la normalisation définitive des relations Ankara-Athènes – il faut bien des commerçants, et pour cela, les relations interpersonnelles, dont on sait l’importance traditionnelle en Orient, s’avèrent incontournables.
Finalement et pour élargir un peu le sujet, que retenir de cette improbable confrontation entre un croiseur de bataille allemand accompagné par des destroyers italiens (de classe Freccia) et des cargos américains escortés par des destroyers tout aussi italiens (de classe Dardo) ? Sans doute que, constatant son isolement sur la scène internationale, mais persistant malgré tout à maintenir une politique « de stricte défense de ses intérêts » analogue à celle de l’Argentine, la Turquie ressentit le besoin de se trouver de nouveaux alliés. Ce ne pouvait être l’URSS – qui tenta néanmoins de très nombreuses ouvertures. Quant au mouvement des Non-Alignés, il était mené par un royaume baroque, avec un roi orthodoxe allié à la monarchie grecque… Ce fut donc les Etats-Unis et (un peu) la France, sous l’impulsion du regretté René Massigli, lequel permit de maintenir une forte influence française à Ankara. La politique au Moyen-Orient du Général trouva peut-être là ses prémisses.
Aujourd’hui cependant, cet équilibre est complètement remis en question : la dislocation de l’URSS a fait renaître une forme de panturquisme d’Asie centrale qui regrouperait volontiers Turquie, Turkménistan, Kazakhstan, Azerbaïdjan et Ouzbékistan dans une grande “union des peuples” – les démons nationalistes et religieux, ne sont jamais loin des rivages turcs. » (Evelyne Roussel, De la Résistance à l’Union – La Grèce de l941 à 1948, La Fabrique, 1987, édition complétée 1997)

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Paul



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 13:10    Sujet du message: Répondre en citant

Merci DemoDan, mais je doute en effet que la Turquie veuille accepter cela. Confused
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demolitiondan



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 13:20    Sujet du message: Répondre en citant

Et quelle choix elle a ? Lis l'Enosis - ils font une tentative ...elle est arrêté par la RN. Pour Londres en 44 FTL, la Grèce et les Balkans sont plus importants que la Turquie.

http://www.1940lafrancecontinue.org/forum/viewtopic.php?t=3249
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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 13:40    Sujet du message: Répondre en citant

Je vais déplacer de sujet.
On peut aussi ajouter que l'alliance France-GB étant plus solide en FTL (cf. affaire d'Irak), elle va faire davantage les gros yeux à la Turquie qui ne respecte pas le traité de 1939 (c'est d'ailleurs un de mes regrets pour la FTL, je pense que nous avons un peu vite décidé de rester sur la même ligne qu'OTL). Par ailleurs, l'URSS apparaissant plus menaçante également aux yeux d'Ankara (n'étant jamais passée à deux doigts de disparaître comme il a pu sembler OTL), la Turquie va sans doute s'arrimer un peu plus à l'ouest pour assurer sa sécurité.

Détails du traité :
Citation:
Traité anglo-franco-turc de 1939

un pacte d'assistance mutuelle conclu à Ankara le 19 octobre ; il a élaboré les déclarations anglo-turque et franco-turque signées respectivement le 12 mai et le 23 juin 1939. Le traité prévoyait une assistance britannique et française à la Turquie en cas d'agression contre cette dernière et prévoyait également une aide turque en cas "d'acte d'agression, commis par une puissance européenne et conduisant à une guerre en Méditerranée impliquant la France et le Royaume-Uni". La Turquie était également tenue de prêter assistance à la Grèce et à la Roumanie au cas où la Grande-Bretagne et la France seraient entraînées dans la guerre, conformément aux garanties britanniques et françaises données à ces États par des déclarations du 13 avril 1939. Le traité devait être en vigueur pendant 15 ans. Le protocole n° 2 annexé au traité déclarait que "les obligations contractées par la Turquie en vertu dudit traité ne peuvent l'obliger à prendre des mesures dont le résultat ou la conséquence serait de l'entraîner dans un conflit armé avec l'URSS". Le traité n'avait aucune valeur pratique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, 1939-45, non seulement le gouvernement turc n'a pas aidé les alliés, mais le 18 juin 1941, il a signé un traité d'amitié avec l'Allemagne. La Turquie a fourni à l'Allemagne des matières premières stratégiques jusqu'au début de 1944.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 14:28    Sujet du message: Répondre en citant

Plus ça va, plus j'ai l'impression que la FTL survalorise l'axe Londres-Paris dans tous les domaines. Ne prenez pas ça comme une critique mais depuis quelques temps, que ce soit pour la décolonisation ou la résistance aux menées américaines et soviétiques, on a vraiment cette idée générale qui se dégage d'un "Paris + Londres" uni sans réserve et capable de résister à tout.

C'est une ombre qui se pose sur ma perception de la crédibilité de la FTL et cela m'attriste beaucoup.
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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 14:53    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne sais pas si on surestime les choses, mais n'oublions pas qu'en 1939 la France est censée avoir la meilleure armée du monde et la GB la première marine du monde.
Evidemment, la défaite de 1940 même en FTL va faire descendre la France de son piédestal, mais elle se bat encore.

Le traité anglo-franco-turc de 1939 est largement méconnu. La Turquie, qui a pris cette garantie car elle craignait les ambitions italiennes (et soviétiques, mais ça c'est une habitude), a utilisé la défaite française pour s'en affranchir, l'Allemagne s'engouffrant fort prenant opportunément dans la brèche , surtout après son irruption dans les Balkans ; la GB seule n'avait pas les moyens de rétablir les choses.
FTL, avec la prise du Dodécanèse dès l'automne 1940, l'affaire d'Irak promptement réglée en mai 1941 et des Alliés qui ne cèdent rien en Mer Egée puis passant à l'offensive dans la région à partir de 1942, la Turquie devrait être nettement plus accommodante. N'oublions pas qu'elle a signé ces traités pour avoir l'aide des deux alliés pour moderniser ses forces et compter sur une alliance en cas d'agression. Elle est aussi censée aider les Alliés et on aurait pu théoriquement faire intervenir la Turquie lors de l'invasion de la Grèce. Sans aller jusqu'à ce best-case (les forces armées turques n'ayant pu être modernisées, elles n'auraient pas pesé lourd face à la Wehrmacht), on peut quand même estimer que la Turquie est plus proche des Alliés qu'elle ne le fut OTL (jusque fort tard dans le conflit).
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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 16:26    Sujet du message: Répondre en citant

Et ici le destin de Chypre est beaucoup plus trivial. Churchill souhaite stabiliser la Grèce dans le camp capitaliste-occidental-britannique en lui facilitant un peu la vie - et notamment au régime royal. Quoi de mieux que des irrédentismes pour cela ? En face, les Chypriotes sont pour, le monde s'en fiche et les turcs ... ben on leur fait remarquer qu'ils avaient possibilité de se mettre du bon côté de la barrière et que maintenant c'est un peu tard ...
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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 16:43    Sujet du message: Répondre en citant

Il n'en reste pas moins que rien ne semble entraver les volontés franco-britanniques sur bien des points. D'où ma crainte de plus en plus grande du best case et du "tout est bien qui finit bien malgré l'énorme pile de 1940".

Juste attention à ne pas aller d'un extrême à l'autre. La France et le Royaume-Uni ne sont pas des superpuissances. Après... je ne rédige pas et je suis éloigné de la FTL pour le moment. Mais je m'inquiète.
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Etienne



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 16:48    Sujet du message: Répondre en citant

Euh OTL, les Anglais s'en sont bien tirés.

Avec des Français allant dans le même sens, ça ne peut être que mieux, quand même.
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ciders



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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2020 16:52    Sujet du message: Répondre en citant

Etienne a écrit:
Euh OTL, les Anglais s'en sont bien tirés.

Avec des Français allant dans le même sens, ça ne peut être que mieux, quand même.


Financièrement asséchés, les Indes quittant le navire dès 1947, passant au second plan sur la scène diplomatique dès les années 1950. Et absolument pas en mesure de faire prévaloir leur voix très rapidement aussi.

Mais ce n'est pas le sujet de ce sujet, Loïc va faire une crise d'apoplexie après l'affaire de l’hôpital d'Evreux. Wink
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