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Avril 1944, version complète
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 10:54    Sujet du message: Répondre en citant

Avril 1944
8 – En France occupée
Bavures…


1er au 22 avril


23 avril

Exécution sommaire
Prison de la Santé (Paris)
« 346-486 ! Par ici. Tu es demandé. »
Le ton lugubre du gardien qui vient le chercher en pleine promenade ne dérange pas 346-486, qui se permet un sourire : il en a fallu du temps ! La veille, quand Otto Abetz en personne était venu lui rendre visite, il avait cru voir la fin de la petite plaisanterie. Hélas, il n’en avait rien été. Le Préfet Chiappe en personne avait, paraît-il, donné des ordres pour que tout soit parfaitement en règle avant de procéder à la libération du prisonnier, et bien sûr, des paperasses administratives avaient réussi à faire rebrousser chemin à l’ambassadeur du Reich ! Satané Chiappe ! Finalement, la gauche avait peut-être eu raison de le virer, en 34 ! « Quand je pense, songe Bucard, que j’ai été manifester pour lui à l’époque, quel ingrat ! » Bon, en plus, apparemment, ses camarades arrêtés en même temps que lui ne vont pas être libérés, il va falloir qu’il y travaille dès sa sortie.
Tout en remuant ces pensées, le ministre (car il l’est toujours, pour autant qu’il le sache) ne se rend compte qu’au dernier moment qu’on l’emmène, non au parloir ou vers la sortie, mais… dans la bibliothèque ? Normalement déserte à l’heure de la promenade, bien sûr. Soudain, il se retrouve face à trois prisonniers, armés de lames artisanales – les deux gardiens ont disparu en verrouillant la porte derrière eux. « Qui vive ? France ! » hurle Bucard en guise d’appel à l’aide. Mais le cri de ralliement du Francisme lancé par le vétéran du Chemin des Dames n’a aucun effet.
Un quart d’heure plus tard, on le retrouvera agonisant dans une mare de sang – déjà presque inconscient, il râle en récitant des vers latins. Il mourra de ses blessures à l’infirmerie de la prison quelques minutes après y avoir été transporté.


24 avril
Arrière-pensées
Préfecture de Police de Paris (rue de la Cité, IVe)
– Touvier, Barthelemy, Oberg et Abetz forment un curieux arc de cercle devant le bureau de Jean Chiappe. Tous posent la même question (même si leurs raisons de la poser sont différentes) : que compte faire la Police parisienne pour retrouver les assassins de Marcel Bucard, leader du Francisme et ministre des Anciens Combattants du Nouvel Etat Français ? La dernière fois qu’on a vu Bucard vivant, il était accompagné de deux gardiens qui se sont évaporés depuis – à leurs domiciles, plus personne, évidemment. Depuis, les fouilles et enquêtes effectuées par tout ce que Paris compte de gestapistes et de policiers de tout poil, allemands ou français, n’ont rien donné : les deux individus ont filé à l’anglaise (au propre, qui sait !) et, d’après le voisinage, il y a plusieurs jours que leurs familles sont parties visiter des parents « en province ».
Victor Barthelemy se trouve là en tant que ministre de l’Intérieur – à ce poste, il ne fait en général que représenter Doriot, mais cette fois, le président du Conseil du NEF a laissé les coudées franches à celui qu’il laisse aussi diriger le PPF. A moins de quarante ans, Barthelemy pourrait être fier de son ascension, mais il a parfois du mal à s’y faire : se battre pour ses idées, manifester, préparer « le Grand Soir » (Barthelemy, comme d’autres, a été au PCF et même au Komintern dans sa jeunesse) ou « la Révolution Nationale », c’est une chose. Gouverner, gérer, administrer, c’en est une autre. Surtout quand le territoire administré est peuplé de citoyens de moins en moins docile et rétrécit chaque jour un peu plus, tandis que l’autorité occupante prend de moins en moins de gants pour imposer ses moindres volontés… Ce qu’il ne faut pas faire pour la Nouvelle Europe ! Même en faisant fi de ses états d’âme, il a un peu l’impression qu’on l’a fichu au beau milieu de quelque chose qui le dépasse et que Doriot s’est mis volontairement en retrait sur la question, quitte à le laisser seul face à cet emm… de Chiappe, dont on n’arrive jamais à savoir ce qu’il pense.
Paul Touvier, directeur de la Police Secrète d’Etat, veut permettre à “sa” Police de faire la nique aux autres institutions du NEF pour de se faire bien voir du Chef… Et dans le même temps, il se demande si les renseignements qu’il va glaner pourraient être utiles à… disons à ses homologues du côté d’Alger, ou de Marseille peut-être, à présent. Et quels Résistants il pourrait faire discrètement libérer, enfin à quels fauteurs de troubles il pourrait permettre de s’échapper, pour crédibiliser son personnage de partisan de cœur de la légalité républicaine… Car le vent a tourné et Touvier l’a bien senti.
L’Obergruppenführer Carl Oberg, chef de la SS et des polices allemandes en France, repense à la liste des principaux suspects et de leurs proches – il est évident que l’assassinat a été organisé grâce à de nombreuses complicités au sein même des organes gouvernementaux du NEF et que les deux assassins de Bucard sont déjà loin, mais il y faudra bien que quelqu’un paye pour ce crime odieux défiant les Autorités d’Occupation et le National-Socialisme. C’est à ce défi qu’il faut répondre, avec la plus grande énergie, en appliquant aux familles des deux gardiens (et pourquoi pas à celles de leurs supérieurs) la règle qu’il a lui-même édictée l’année précédente pour mettre un terme aux assassinats de soldats allemands isolés [Selon l’ordonnance d’Oberg de 1942, la règle de représailles est la suivante : tous les proches parents masculins, les beaux-frères et les cousins des fauteurs de troubles seront fusillés s’ils ont plus de 18 ans. Toutes les femmes parentes au même degré et du même âge seront condamnées aux travaux forcés. Les enfants âgés de moins de dix-huit ans de toutes ces personnes seront emprisonnés en maison de redressement.].
Otto Abetz, l’ambassadeur d’Allemagne, affiche une mine attristée. Il avait tout de même embrassé publiquement à plusieurs reprises l’homme qu’on vient de retrouver exsangue et, depuis des années, il ne lui avait pas ménagé son soutien. Il n’a aucune envie d’être rappelé en Allemagne après cette énième “accident” touchant un de ses protégés… Quel dommage ! Marcel Bucard faisait un si bon contrepoids à l’influence de Doriot dans la construction d’une France acquise aux vertus du national-socialisme… Sur qui miser à présent ? Déat a eu sa chance mais ne l’a pas saisie, Laval est grillé, les amiraux Platon et Laborde sont mort ou aux abonnés absents et n’ont pas l’aura qu’aurait pu avoir un homme comme le maréchal Pétain, Darnand n’est pas un vrai politique et semble avoir retrouvé une seconde jeunesse en jouant le nettoyeur de tranchées avec la Charlemagne à l’Est. De Brinon ? Il fut l’un des premiers Français à accorder du crédit au Führer dans les années 30 et il n’était pas trop mauvais quand il gérait le Comité France-Allemagne… A creuser… Où en est la conversation ? Ah oui ! Que compte faire la Police parisienne, etc. Dans le fond, Abetz s’en fiche profondément, mais en diplomate, il juge qu’il est temps de troquer sa mine attristée pour un regard inquisiteur assorti à celui des deux gestapistes présents (l’Allemand et le Français).
Jean Chiappe sait encaisser. Depuis plusieurs minutes, il se contente de renvoyer la balle avec des phrases courtes pour jauger ses quatre interlocuteurs sans rien dévoiler du fond de sa pensée. Les temps sont difficiles. L’heure est grave. Les excès deviennent la règle. Mais le meurtre de deux représentants de l’ordre ne devait pas rester impuni. Et si M. Bucard a été saigné comme un porc de façon artisanale et non par la droite et inflexible guillotine républicaine, ma foi… Il faut maintenir l’équilibre pour que la Police, “sa” Police, ne penche ni d’un côté ni de l’autre. Si l’on veut éviter qu’elle cède aux sirènes de ces Résistants manipulés par Moscou, il faut répondre avec sévérité aux attaques dont elle est l’objet, quels qu’en soient les auteurs !
– Messieurs, conclut Chiappe, s’adressant en particulier à Oberg et à Touvier, nous avons déjà plusieurs pistes pour retrouver nos suspects et nous comptons bien y parvenir, c’est une question d’honneur pour la Police de Paris. Comprenez donc que si vos offres de service nous touchent, nous allons nous efforcer de régler la question sans faire appel à… des institutions externes. Je vous tiendrai bien sûr informés régulièrement des progrès de l’enquête. Il va sans dite que je serai ravi de bénéficier des renseignements que vous pourriez obtenir de votre côté selon vos propres méthodes.
Ou comment éconduire en quelques mots, le plus poliment du monde, le haut du panier des forces collaborationnistes et occupantes du pays. Oberg ne croit pas un instant à la volonté de la PP de trouver les coupables et compte bien enquêter à sa manière. Touvier est vexé que Chiappe l’ait regardé en parlant des « institutions externes ». Abetz continue de se demander qui va pouvoir maintenir l’ordre ou plutôt contrôler le désordre dans le panier de crabes dont il a plus ou moins la charge depuis quatre ans. Barthelemy a toujours l’impression de porter un costume trop grand pour lui mais se demande si ce Chiappe est un ennemi de l’Etat doriotiste, un tourne-casaque opportuniste ou simplement un serviteur rétif ? Comme beaucoup de Français haut placés qui sont restés en Métropole depuis Quarante, c’est sûrement un peu des trois, mais le mélange a dû évoluer au fil du temps. Le tout est de savoir où il en est à présent…


25 avril


26 avril

Des exécuteurs amateurs
Rue Louis-Guespin, Clamart
– Au petit matin, il n’est guère difficile aux trois hommes de mettre hors d’état de nuire d’un coup de matraque l’agent de la PSE posté devant la résidence privée du ministre de la Santé du NEF, Georges Montandon. Il est encore moins difficile de sonner tout simplement à la porte. Montandon est censé être seul et le réseau de Résistants plus ou moins improvisé qui a décidé de faire le coup n’a pas l’intention de se compliquer la vie, comme d’autres ont pu le faire avec Henriot. Eliminer un ministre du NEF et ficher le camp, du gâteau ! Aussi, quand la porte s’entrebaille, les trois Pieds Nickelés ouvrent le feu sans attendre… mais sur Mme Montandon. Maria Konstantinovna Zviaguina, Russe (jadis ?) communiste, rencontrée et épousée en 1919 à Vladivostok par Montandon, est tuée sur le coup. Ça se complique… D’autant plus qu’au bruit des détonations, le ministre, malgré ses 65 ans et la maladie qui l’obligeait à garder la chambre, s’est retranché à l’étage, d’où il riposte aux assaillants avec son arme personnelle. Entre le gestapiste le crâne fracassé qui agonise sur le pas de la porte, la maîtresse de maison liquidée dans l’entrée et le vieux qui défouraille à tout va, le gâteau devient un sac de nœuds, ils n’avaient pas signé pour ça ! La fusillade se poursuit quelques instants, puis les exécuteurs autoproclamés s’enfuient avant l’arrivée de la police. Laquelle finit par se montrer, alertée par un voisinage pas vraiment habitué à une scène semblant sortir tout droit du Chicago de la décennie précédente.
Les secours vont découvrir un George Montandon dans un triste état – il a été touché au cours de la fusillade. Les deux filles et le fils Montandon, entre 18 et 22 ans, sont retrouvés cachés au sous-sol. Le ministre est transféré à l’hôpital Lariboisière. Malgré son caractère maladroit, l’agression va intimider plus d’un Collaborateur… d’autant que les armées alliées progressent.


27 avril
Sauve qui peut
Château de Châteldon (Puy-de-Dôme)
– Le président théorique du NEF reçoit en début de soirée un télégramme de l’ambassadeur allemand, Otto Abetz, qui a troqué son habituelle diplomatie pour un ton beaucoup plus autoritaire. « En raison des récents développements militaires, dit notamment Abetz, la personne du Chef de l’Etat court dans sa résidence actuelle les plus grands dangers. Le gouvernement du Reich, en conséquence, m’a donné pour instruction d’opérer le transfert de la résidence de cette personnalité, si besoin contre sa volonté ». Abetz n’a pas pris de gants.
D’autant moins que, s’agissant de Laval, il est un peu inquiet : depuis quelques semaines, on lui transmet discrètement les échos de projets chimériques de l’ancien Président du Conseil pour rassembler les députés et sénateurs présents en Métropole (enfin, dans la partie de Métropole encore occupée) afin de mettre en scène une sorte de transition politique entre “Africains” et “Métropolitains”. Abetz n’en revient pas que Laval semble s’accrocher à ce projet, eu égard (entre autres !) au sort réservé à Henriot, fusillé quelques semaines plus tôt. Déjà que la sédition de la FST aurait pu avoir sa peau s’il n’avait, à l’époque, été à Paris !
L’ambassadeur pousse un grand soupir et décide de ne pas prendre de risque. Une « garde d’honneur » allemande ira cueillir Laval dans son fief auvergnat le lendemain au petit matin.


28-29 avril


30 avril

Simplification
Paris
– Les Détachements du Guet Aérien et les Détachements de Défense du Littoral sont supprimés et leurs effectifs sont reversés – toujours sur la base du « volontariat » – soit dans la PSE, soit dans la Légion Tricolore, soit dans la Charlemagne. Leurs fonctions étaient en théorie de prévenir les parachutages clandestins et de surveiller les côtes jugées de moindre importance par les Allemands. Elles seront dorénavant remplies par la toute-puissante PSE doriotiste.
Les chefs de ces deux polices vont connaître des destins différents. Le lieutenant-colonel Bridoux, fils de l’ultra de la Collaboration, va rejoindre Papa à la Légion Tricolore alors que le pseudo-général Knipping, ancien ministre de l’Air pendant la période lavaliste du NEF, est expédié rejoindre Darnand sur le front de l’Est… avec son véritable grade de la (première) Campagne de France, à savoir celui de capitaine !
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Etienne



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:15    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Il n’a aucune envie d’être rappelé en Allemagne après cet énième “accident” touchant un de ses protégés…

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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:20    Sujet du message: Répondre en citant

Bien sûr ! Merci.
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Casus Frankie

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Anaxagore



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:22    Sujet du message: Répondre en citant

Quand j'entends un Barthélemy parler du grand soir, j'ai peur qu'il se sente pousser une auréole... Saint Barthélemy ça fait bien pour une occasion de la sorte..; certes..; mais c'est déjà pris. Laughing
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Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.
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demolitiondan



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Messages: 9219
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:27    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
de citoyens de moins en moins docile


Au pluriel non ?[/code]
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:43    Sujet du message: Répondre en citant

Oui !
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Casus Frankie

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Alias



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Messages: 792
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:49    Sujet du message: Répondre en citant

Ce bout d'historique ne devrait pas être dans le dossier "France occupée", plutôt qu'Asie-Pacifique?
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Stéphane "Alias" Gallay -- https://alias.erdorin.org
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 11:56    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, il y est à présent !
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Pendjari



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 12:20    Sujet du message: Répondre en citant

On parle peu du rôle prépondérant de Super Résistant, alias "Sparadrap" et qui n'est d'autre que l'illustre Guy-Hubert Bourdelle, ancien Ministre des Anciens Combattants sous Pompidou...

Dommage, on avait déjà Adolfo Ramirez dans la FTL Very Happy
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loic
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 13:46    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Mais le meurtre de deux représentants de l’ordre ne devait pas rester impuni.

Pourquoi deux ?

Une suggestion :
Citation:
Abetz continue de se demander qui va pouvoir maintenir l’ordre ou plutôt contrôler le désordre dans le panier de crabes dont il a plus ou moins la charge depuis presque quatre ans.


Sinon bravo !
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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...
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Tyler



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 14:55    Sujet du message: Répondre en citant

@Loic : Bucard est en prison parce que fin mars, lui et une petite bande de franquistes ont tués deux policiers lors d'un braquage.

Et merci Very Happy
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delta force



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 16:14    Sujet du message: Répondre en citant

bientôt cela sera "Sigmaringen nous voilà"....
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Pendjari



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 16:22    Sujet du message: Répondre en citant

Faudra pas oublier d'embarquer Louis Ferdinand Céline et son chat Bébert Razz
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requesens



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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 16:26    Sujet du message: Répondre en citant

Tyler a écrit:
@Loic : Bucard est en prison parce que fin mars, lui et une petite bande de franquistes ont tués deux policiers lors d'un braquage.

Et merci Very Happy


Franquistes Shame on you ...je crois plutôt il s'agit de francistes. Mais de toute façon c'est presque pareil, mème la couleur bleue de la chemise est identique !.
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"- Tous les allemands ne sont pas nazis, monsieur !
- Oui, je connais cette théorie, oui."
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mar Nov 06, 2018 16:37    Sujet du message: Répondre en citant

Je pense que Tyler s'est fait piéger par le correcteur orthographique automatique.
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Casus Frankie

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