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Un épisode maritime en 1940, par Capu Rossu

 
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Ven Oct 13, 2017 22:48    Sujet du message: Un épisode maritime en 1940, par Capu Rossu Répondre en citant

18 octobre 1940
La destruction du Sidi Bel Abbes
Mer d’Alboran, 07h1
0 – Alors que le soleil vient à peine de se lever, un convoi britannique se paumoie dans une mer d’est assez formée au large du cap Falcon [Une dizaine de kilomètres dans l’ouest d’Oran.]. Dans la huitième colonne, la deuxième sur le flanc bâbord du convoi, le paquebot Sidi Bel Abbes de la SGTMV (4 421 tx) occupe le poste 82, le deuxième de la colonne, suivi à huit cent mètres par le pétrolier Lorraine de la SFTP. Ce sont d’ailleurs les deux seuls navires français du convoi. La Lorraine doit livrer sa cargaison de mazout à Bizerte tandis que le Sidi Bel Abbes amène de Dakar la quasi-totalité du 4e Régiment de Tirailleurs Sénégalais, son état-major et son drapeau, soit 1 182 hommes. Le régiment doit compléter la 9e DIC, qui a pour mission d’occuper la région de Cagliari en Sardaigne. Le paquebot, commandé par le C.L.C. Besançon, a chargé dans les cales avant 542 tonnes d’huile de palme en fût et 50 tonnes de munitions à destination d’Alger.
Soudain, deux torpilles sont aperçues par bâbord à moins de 200 mètres. Elles viennent de manquer le cargo britannique Clan Campbell qui, avec le numéro 92, se trouve à 200 mètres par le travers bâbord du Sidi Bel Abbes. Avant qu’aucune manœuvre ne puisse être tentée, la première frappe à hauteur de la cale II, là où sont les munitions, tandis qu’une poignée de secondes plus tard, la seconde explose dans la chaufferie avant. L’effet conjugué des deux explosions est terrifiant : la première fait détoner le stock de munitions et enflamme l’huile de palme, les flammes montant à hauteur du mât, et l’explosion des chaudières achève de disloquer le château, tuant, outre le personnel de quart dans la chaufferie, les occupants de la passerelle.
Les explosions ont détruit une partie des embarcations du paquebot et, pire, ont décimé l’équipage, dont la poignée de survivants ne peut mettre assez vite les embarcations restantes à la mer. Certains matelots parviennent néanmoins à couper les saisines de trois ou quatre radeaux avant la disparition du navire. Les officiers et gradés de la Coloniale s’emploient à faire évacuer les tirailleurs. Cinq sergents descendent dans les entreponts des cales arrière pour faire hâter l’évacuation. Nul ne les reverra plus ! Les autres rudoient leurs hommes pour qu’ils se jettent à l’eau car, peu familiers avec la mer, beaucoup de tirailleurs hésitent à sauter. Quelques uns sautent et, encouragés par cet exemple, d’autres les imitent. Hélas, les derniers à le faire sont happés par les hélices qui tournent encore.
A bord du Clan Campbell, on observe avec horreur l’agonie du paquebot frappé à mort. La partie avant, en flammes, chavire sur bâbord et disparait quasi instantanément sous les flots tandis que la partie arrière se mâte et coule. Les escorteurs de bâbord ne parviennent pas à localiser le sous-marin assaillant et les autres navires du convoi s’enfuient à toute vapeur vers l’est car aucun navire ne doit stopper, c’est la terrible loi des convois. Cependant, la Lorraine, qui déboite sur la gauche pour éviter l’épave, largue au passage plusieurs radeaux pour les naufragés qui n’ont, pour la plupart, que des débris pour s’agripper. Son commandant a chronométré le drame : entre l’explosion de la première torpille et la disparition de la partie arrière, il ne s’est passé qu’une minute et trente secondes.
Les survivants ont vu avec désespoir les navires amis s’éloigner au loin. Les tirailleurs se regroupent auprès de leurs cadres qui les encouragent de leur mieux. Cependant, le froid a raison des moins endurants et le nombre de survivants diminue inexorablement au fur et à mesure des minutes. Deux heures vont s’écouler avant qu’un groupe de trois escorteurs britanniques puissent revenir sur les lieux du naufrage. Le dragueur HMS Felixstowe (classe Bangor), et les chalutiers armés HMS Foxtrot et HMS Stella Carina s’emploient à repêcher les survivants. Certains sont trop épuisés pour se hisser par les filets disposés le long du bord des navires sauveteurs ou pour se saisir des filins qui leur sont lancés. Des matelots britanniques n’hésitent pas à se jeter à l’eau afin de les aider. Le dernier survivant repêché, les trois navires font un dernier passage au milieu des cadavres qui flottent entre deux eaux pour s’assurer qu’ils n’ont oublié aucun survivant puis mettent le cap sur Oran. Ils croisent d’autres navires qui vont inspecter la zone du naufrage – vain effort, ils ne découvriront que des morts.
A Oran, les autorités maritimes vont s’employer à la lugubre tâche du dénombrement des survivants et des disparus. Pour le personnel de la Coloniale, 25 officiers sur 41, 77 sous-officiers et gradés européens et 662 tirailleurs sur 902 sont portés manquants. L’équipage a lui aussi payé un lourd tribut : 8 officiers sur 10 et 62 membres d’équipage sur 95 ont disparu avec leur navire. Pour la Société Générale des Transports Maritimes à Vapeur, ces 70 morts en une seule journée dépassent le nombre des officiers, marins et sédentaires tombés durant la Grande Guerre (52 noms inscrits sur la plaque de marbre ornant le hall de la Compagnie à Marseille).
Le Sidi Bel Abbes est cité à l’Ordre de la Division tandis que trois mécaniciens et graisseurs sont cités à l’Ordre du Régiment pour avoir cédé volontairement l’épave sur laquelle ils s’étaient réfugiés à d’autres naufragés en difficulté.
D’après les recherches effectuées après la guerre, il semble que le sous-marin responsable de la destruction du paquebot ait été l’Italien Veniero (CC Buonamici).

(un autre épisode suit… en 1941)
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DMZ



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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 08:59    Sujet du message: Répondre en citant

Flanc gauche du convoi et non flanc bâbord. Il me semble qu'on n'utilise tribord-bâbord que pour le navire, pas pour un ensemble de navires.

Deux cent mètres entre les navires : trop peu me semble-t-il. Au moins cinq cent, surtout avec un aussi grand convoi (27 navires).

Chapeau au CC Buonamici pour avoir attaqué un tel convoi si près de la côte et si loin de l'Italie. Il est décoré pour ça, je présume ?

À 07h10 en octobre à Oran, le soleil se lève à peine (au fait quel fuseau horaire TU+1 ou TU+2 ?), je pense que la visibilité dans une mer formée ne permet même pas de voir une torpille à 200 m. Ça aurait laissé 12 à 15 secondes pour manoeuvrer :
"Torpilles travers bâbord ! (trois secondes)
- Bâbord toute !" (trois autres secondes)
Restent 6 à 10 secondes d'évolutions, suffisantes pour être tangeant aux torpilles et en éviter une ou même les deux (cf. le même, 1941 Wink ).

Je propose de dire que les torpilles n'ont été vues qu'au dernier moment par une vigie.

Huit cent mètres, douze noeuds : deux minutes ; la Lorraine n'aura même pas à manoeuvrer pour éviter l'épave...

À huit milles du port de Mers-El-Kebir, les secours peuvent être sur zone en une demi-heure. Mais compte tenu de la rapidité du naufrage, les pertes ne changeront pas, je les trouve presque trop légère.
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 09:16    Sujet du message: Répondre en citant

DMZ a écrit:
Chapeau au CC Buonamici pour avoir attaqué un tel convoi si près de la côte et si loin de l'Italie. Il est décoré pour ça, je présume ?


Le Veniero était "affecté" au guet près d'Oran depuis des semaines (dans la Chrono).
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Casus Frankie

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Capu Rossu



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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 10:52    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

Pour ce texte, comme pour les deux autres, j'ai transposé les évènements OTL en FTL avec quelques mini-modifications pour les faire rentrer dans le cadre, date principalement et pour le troisième non mis en ligne à cette heure, de lieu.

DMZ a écrit :

Citation:
Flanc gauche du convoi et non flanc bâbord. Il me semble qu'on n'utilise tribord-bâbord que pour le navire, pas pour un ensemble de navires.


Suite à divers accidents au XIXe siècle, le Ministère de la Marine avait édicté une nouvelle règle, règle reprise par le Ministère de la Marine Marchande, pour que les ordres de barre soient donnés en gauche et droite.
Ce qui n'empêcha pas la perte du contre-torpilleur Framée éperonné par le Brennus en 1900. Jusqu'à la guerre de 1914, des prescriptions ministérielles seront édictés périodiquement pour rappeler cette édiction initiale.
Elle n'entrera vraiment dans le mœurs qu’après 1918.

Citation:
"Torpilles travers bâbord ! (trois secondes)
- Bâbord toute !" (trois autres secondes)
Restent 6 à 10 secondes d'évolutions, suffisantes pour être tangeant aux torpilles et en éviter une ou même les deux


Oui mais tu oublies trois secondes avant que l'officier de quart réagisse : "à gauche toute, stoppez bâbord, tribord en avant toute" et idem pour l'homme de barre sans compter le temps pour que les machines puissent répondre.
N'oublions pas que ce personnel est en fin de quart (4 heures à 8) et qu'une certaine fatigue peut "ralentir" la réactivité.

Pour le délai d'intervention des secours, en OTL le torpillage a eu lieu à 6h50 et les secours ne sont arrivés que sur zone qu'à 10H00.

Quant aux pertes, ceux sont celles OTL.
Au fait Frank, il faut écrire :
Citation:
77 sous-officiers européens sur 241


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Alain
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 11:42    Sujet du message: Répondre en citant

Capu Rossu a écrit:
Pour ce texte, comme pour les deux autres, j'ai transposé les évènements OTL en FTL avec quelques mini-modifications pour les faire rentrer dans le cadre, date principalement et pour le troisième non mis en ligne à cette heure, de lieu.


"le troisième non mis en ligne à cette heure,"

Si si ! Mais dans le cadre de "Octobre 1943 - Suites de Dragon". Very Happy
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DMZ



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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 19:51    Sujet du message: Répondre en citant

Capu Rossu a écrit:
Suite à divers accidents au XIXe siècle, le Ministère de la Marine avait édicté une nouvelle règle, règle reprise par le Ministère de la Marine Marchande, pour que les ordres de barre soient donnés en gauche et droite.
Ce qui n'empêcha pas la perte du contre-torpilleur Framée éperonné par le Brennus en 1900. Jusqu'à la guerre de 1914, des prescriptions ministérielles seront édictés périodiquement pour rappeler cette édiction initiale.
Elle n'entrera vraiment dans le mœurs qu’après 1918.

Tiens, je croyais que cette prescription était beaucoup plus tardive et ne s'était imopsée qu'après le seconde guerre mondiale. On en apprend tous les jours.

Capu Rossu a écrit:
Pour le délai d'intervention des secours, en OTL le torpillage a eu lieu à 6h50 et les secours ne sont arrivés que sur zone qu'à 10H00.

Oui mais on est FTL avec beaucoup plus de monde, de navires et d'avions dans les parages à l'époque ; une armée mobilisée et motivée. Il doit y avoir une bien meilleure réaction pour le sauvetage et la chasse au sous-marin.
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Capu Rossu



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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 20:28    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir,

DMZ a écrit :

Citation:
Oui mais on est FTL avec beaucoup plus de monde, de navires et d'avions dans les parages à l'époque ; une armée mobilisée et motivée. Il doit y avoir une bien meilleure réaction pour le sauvetage et la chasse au sous-marin.


Il y aurait dû mais après la fin des opérations en Sardaigne, les forces françaises se sont redéployées en Méditerranée Orientale pour prendre les îles du Dodécanèse et en chasser les Italiens.

@+
Alain
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loic
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MessagePosté le: Sam Oct 14, 2017 20:44    Sujet du message: Répondre en citant

Il me semble qu'on a écrit jusque là Abbès (avec l'accent).

Par contre, il y a un souci, car la chrono et l'appendice de septembre donnent le 4e RTS impliqué dans les combats de Sardaigne !
Le paquebot pourrait donc transporter des recrues pour ce régiment (et d'autres).
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Capu Rossu



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MessagePosté le: Dim Oct 15, 2017 16:35    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

Loïc a écrit :

Citation:
Par contre, il y a un souci, car la chrono et l'appendice de septembre donnent le 4e RTS impliqué dans les combats de Sardaigne !
Le paquebot pourrait donc transporter des recrues pour ce régiment (et d'autres).


Entre septembre 1940 et février 1941, la 9e DLIC (20e RIC - 4e RTS) intègre le 5e RTS pour devenir la 9e DIC.

On peut remplacer le 4e par le 5e ?

@+
Alain
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loic
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MessagePosté le: Dim Oct 15, 2017 20:13    Sujet du message: Répondre en citant

Pas évident : en juillet 1940 (et c'est aussi historique à priori), le 5ème RTS est affecté à la Région Fortifiée Sud Tunisien.
Il serait plus raisonnable de parler de recrues / relève pour divers RTS ?
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Capu Rossu



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MessagePosté le: Dim Oct 15, 2017 20:29    Sujet du message: Répondre en citant

Bon,
C'est d’accord pour moi.

Citation:
La Lorraine doit livrer sa cargaison de mazout à Bizerte tandis que le Sidi Bel Abbes amène de Dakar la quasi-totalité du 4e Régiment de Tirailleurs Sénégalais, son état-major et son drapeau, soit 1 182 hommes. Le régiment doit compléter la 9e DIC, qui a pour mission d’occuper la région de Cagliari en Sardaigne.


A remplacer par :

Citation:
La Lorraine doit livrer sa cargaison de mazout à Bizerte tandis que le Sidi Bel Abbes amène de Dakar un fort contingent de tirailleurs sénégalais soit 1 182 hommes. Ces hommes, de nouvelles recrues pour la plupart, doivent compenser les pertes des régiments en opérations.


ou par

Citation:
La Lorraine doit livrer sa cargaison de mazout à Bizerte tandis que le Sidi Bel Abbes amène de Dakar un fort contingent de tirailleurs sénégalais soit 1 182 hommes. Ces hommes, de nouvelles recrues pour la plupart, doivent recompléter les régiments après les pertes de la Bataille de France, et des opérations Scipion, Marignan et Ravenne.

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BelliludisteFou



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MessagePosté le: Mar Nov 26, 2019 12:10    Sujet du message: Evolutions d'un navire Répondre en citant

Et bien non, je ne suis pas d'acccord. Un bateau de cette taille met plusieurs minutes à répondre à la barre. Avec une mer formée où la torpille est repérée au dernier moment il n'avait aucune chance.
Avec votre raisonnement le Titanic aurait pu échapper à l'iceberg.......
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