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Chasse de nuit par RAVEN
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delta force



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MessagePosté le: Mar Déc 03, 2019 11:43    Sujet du message: Répondre en citant

la flotte qui arrive en décembre à Darwin et le groupe de hiboux pas loin ...avec ses soutiens....et son infirmerie...

Je vois bien à la fin décembre 43 l'ouverture d'un carnet mondain FTL avec retrouvaille entre une certaine Anne-Marie et son YL...et un mariage... Very Happy je sais je divulgâche sans doute.... Arrow
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Alias



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MessagePosté le: Mar Déc 03, 2019 12:00    Sujet du message: Répondre en citant

Casus Frankie a écrit:
Mieux vaut ne pas trop s’installer, car on doit déménager incessamment sous peu


Pour la dernière, je sais bien que c'est du langage parlé qui autorise ce genre de pléonasme, mais je me demande juste si l'expression n'est pas passée dans le langage courant plus récemment que ça.
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Stéphane "Alias" Gallay -- https://alias.erdorin.org
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mar Déc 03, 2019 12:05    Sujet du message: Répondre en citant

Astucieux, Alias… Bien possible que tu aies raison !
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Casus Frankie

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Alias



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MessagePosté le: Mar Déc 03, 2019 13:22    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne serais pas étonné si elle avait été popularisée par San-Antonio – dans la bouche de Bérurier, "œuf corse".
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Stéphane "Alias" Gallay -- https://alias.erdorin.org
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Dirtyharry



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MessagePosté le: Mar Déc 03, 2019 13:32    Sujet du message: Chemin de fer de Townsville à Mt Isa Répondre en citant

Depuis 1929 une ligne de chemin de fer à voie métrique (1,067m) est ouverte entre Townsville et Mt Isa, rendant possible le trajet Brisbane-Mount Isa par le rail.
Charger le matériel sur des wagons plats devrait être possible, surtout en temps de guerre, et permettre de faire la moitié du chemin vers Darwin plus vite et sans prendre le risque de casser le matériel.
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 12:18    Sujet du message: Répondre en citant

Comme promis par ailleurs, la suite des aventures des Hellcat de chasse de nuit, par RAVEN.


21 novembre 1943
Gould Airstrip
– « Au départ, Gould Airstrip est juste une piste pour désengorger la base de Bachelor à 5 km plus au nord – le contrôle radar est d’ailleurs assuré de là-bas. En plus de nos avions, il y a donc une noria d’avions australiens et américains qui se posent ou décollent d’ici – principalement des transports et quelques avions de liaison.
Une piste, donc, en latérite (bien sûr), qui fait 1 800 mètres sur 50 environ. Taillée dans le bush à coups de bulldozer, elle est orientée sud-est / nord-ouest. Une route (enfin, ce qu’on appelle une route par ici), venant du sud et allant à Bachelor, passe à son extrémité nord. De part et d’autre de la piste partent de nombreux taxiways menant aux aires de parking où nos chasseurs sont rangés par deux sous des filets de camouflage tendus et accrochés dans les arbres. Aucun merlon de protection.
La DCA se compose seulement de quatre halftracks AA (des M13 avec un affût double de Browning M2/.50), stationnés consciencieusement dans un coin du parking avions, côté nord, à côté du camion radio, et prêts à… tout. Bien que théoriquement possible, un raid aérien est assez improbable, si loin à l’intérieur des terres. Jusqu’à présent, les bombardiers japonais ne sont jamais allés plus loin que Darwin, qui est autrement mieux protégé !
Autour du parking avions et derrière lui, de grandes tentes (magasins, mess, briefing, administration, infirmerie, etc.), plus les véhicules de service et de servitude (pas beaucoup…), trois ambulances, une vieille Austin avec des croix rouges sur les portes et le toit, quelques tracteurs agricoles qui servent à remorquer les avions sous leurs filets. En bout de piste nord, entre la “route” et le parking, un village de tentes où nous logeons et tâchons de vivre est planté au milieu des kékés, qui procurent un peu d’ombre à défaut de fraîcheur.
Le médecin a fait installer dès son arrivée une triple rangée de barbelés autour de son infirmerie et des tentes qu’il occupe avec son personnel (féminin…), juste entre les nôtres et le parking avions. Le tout est orné de jolis panneaux triangulaires marqués “MINES” accrochés sur l’extérieur du réseau… Un mot sur nos quatre infirmières, menées avec calme et autorité par la charmante, toujours souriante… et inaccessible Anne-Marie Horlaville. Elles vivent au milieu de nous mais dorment dans le camp retranché du toubib. La discipline fait le reste – après tout, elles sont militaires, comme nous !
Munitions, essence et huile viennent directement des dépôts installés entre Gould et Bachelor, service assuré à la demande par l’USAAF jusqu’au pied des avions. A noter que si nos monomoteurs sont en général rangés dans leurs alvéoles et remorqués par des tracteurs jusqu’au grand parking pour les départs en mission, afin d’éviter la poussière, la piste est suffisamment large pour que les PBJ1 restent parqués le long de celle-ci.
Non loin des Mitchell stationnent plusieurs camions-citernes d’eau équipés d’une rampe d’épandage pour arroser la piste et les taxiways. Ceux-ci vont être moins utiles dans les prochains mois.
Enfin, la garde de la base est assurée par une section de l’AMF (Australian Milita Force). Ce sont des vétérans de Nouvelle-Guinée plus ou moins au repos ou en convalescence ; ils arment aussi les half-tracks de DCA. »


23 novembre 1943
Gould Airstrip, 17h10
– « Le radar de Melville Island vient de détecter un intrus à environ 200 km dans l’est-nord-est de Darwin, au-dessus de la mer de Java ! Vu l’heure et le retour de nuit assuré, le contrôle aérien de Bachelor nous demande d’aller voir de quoi il retourne, si toutefois on a un zinc prêt… Evidemment qu’on a un zinc prêt !
Un quart d’heure plus tard, je décolle avec un ailier sous le nez des PBJ1 de la 18F qui rentrent de mission. La distance relativement faible (moins de 200 km au moment où nous décollons) nous lance à 450 km/h au-dessus de l’océan et nous sommes sur zone en à peine une demi-heure…
En vain ! Même en volant en cercles, largement espacés, radar allumé, le ciel est vide dans l’obscurité croissante et l’écran reste obstinément vierge de tout contact hostile. Le contact radio épisodique avec le radar longue portée de Melville Island ne nous aide pas du tout. Cependant, nous insistons pendant plus d’une heure sans rien détecter ni rien voir, sauf les étoiles dans la nuit maintenant tombée. Nous reprenons finalement le chemin de Darwin vers 19h00 en faisant de larges S sans découvrir quoi que ce soit d’autre, sauf le trafic à l’approche de la côte.
Nous nous posons vers 20h30 à la lueur de bidons d’huile en feu… »


24 novembre 1943
Gould Airstrip
– « A défaut de navires à couvrir, ce soir mission d’intrusion de nuit (night intruders pour le contrôle allié). En effet, sauf à lancer à l’aveugle des bombardiers bimoteurs, on est les seuls à pouvoir faire ce genre de boulot de nuit grâce à nos radars – les Australiens n’auront aucun appareil équipé avant quelques mois.
Nous devons aller jusqu’à l’île d’Amboine, grosse base locale de l’IJN afin de perturber le trafic aérien nocturne – au cas où il se passe quelque chose la nuit. Si c’est le cas, à nous de convaincre les japonais que voler de nuit est aussi dangereux que de jour. Amboine étant à près de 1 000 km d’ici, pour gagner en autonomie et en temps sur l’objectif, on commencera par un déplacement jusqu’à Kupang en début d’après-midi. Ainsi, chaque patrouille de deux avions devrait pouvoir patrouiller une bonne heure et demie au-dessus du secteur Amboine/Céram.
………
Kupang, 17h45 – Décollage dans les dernières lueurs du soleil couchant. Neuf cents km jusqu’à Amboine, trois heures d’un vol rythmé par le ronronnement régulier du Pratt. Montée à 9 000 pieds tranquillement, formation en échelon mais relâchée… On garde juste le feu de reconnaissance supérieur allumé pour ne pas se perdre de vue… et ne pas se percuter ! La deuxième patrouille nous suivra dans deux heures.
………
Mer de Timor – En bas à droite, le ressac sur les côtes d’une île, Wetar, nous permet de recaler notre navigation une dernière fois. Encore 500 km, presque deux heures… Obscurité complète, juste atténuée par la lueur des étoiles dans ce ciel totalement vide de nuages – quoique, en regardant au loin, devant nous, il y a beaucoup moins d’étoiles sur une large zone…
Silence radio, juste quelques crachotements dans les haut-parleurs. Seule une série de trois clics rompt le silence tous les quarts d’heure pour signifier RAS… Sur l’écran radar en mode recherche, pas la moindre interférence, pas le moindre plot, énorme différence, une fois encore, avec la Méditerranée.
………
Amboine – Droit devant, en bas, la ligne blanche des vagues qui déferlent sur une côte. Quelques rares lumières… Presqu’en même temps, le radar s’anime. Sur l’écran se dessinent en face de nous les contours d’une partie de l’île (l’APS6 le permet). Une lueur dans le rétroviseur droit : les échappements de mon ailier qui a resserré sur moi à mon appel. Il est temps de redevenir chasseurs !
Presque une heure se passe à faire des S au-dessus d’Amboine, sans même s’attirer un seul tir de DCA ! Pas une lumière au sol dans la zone estimée de l’aérodrome. Coup d’œil à la jauge – d’ici un quart d’heure, il sera temps de mettre cap au sud…
Un bip dans les écouteurs, en même temps un plot apparaît sur l’écran du radar, toujours en mode recherche ! 5 000 yards, sur la droite, plus bas…
On accélère à 210 nœuds – trop vite, on risquerait de le dépasser et de le perdre… 4 000… 3 000… 2 000 yards… La cible est maintenant clairement accrochée, le radar en mode interception…
Là… 1 500 yards… Toujours plus bas, dit l’écran. Descendre… Encore un peu à droite… Ralentir, cible pas très rapide, pas plus de 150 mph. Distance 1000 yards, descendre encore… Altitude 1 500 pieds… 500 yards, corriger à droite. Un coup d’œil dehors – Nom de… !
Allumer le collimateur, 250 yards droit devant. Lueurs d’échappements… Un bimoteur, pas très gros, s’encadre dans le cercle à peine éclairé du viseur. Feu ! A moins de 200 yards de distance, la rafale est sans pitié. Presque toutes les balles font mouche. Elles remontent de la mi-fuselage vers l’avant et ravagent le cockpit. Le zinc s’engage dans un piqué de plus en plus prononcé. Je le perds de vue… Pas d’explosion, pas de flammes… Rien d’autre, il a disparu. « Tombé à la baille » dit mon ailier.
On est bien bas, moins de 500 pieds. Remonter à 5 000 pieds… Un coup d’œil à l’écran… Rien, le vide. Sur notre gauche, quelques rafales de traçantes montent vers le ciel, inoffensives pour nous.
« Va être temps de rentrer » dit la radio. Coup d’œil à la jauge, à la montre – 22h15. En effet… « On fait un dernier tour et on rentre. »
Darwin est à 1 000 km/620 milles, mais d’avoir volé à l’économie depuis le décollage de Kupang nous permet de rentrer directement. Au pire, on se posera sur une des pistes de Melville Island pour ravitailler. Donc cap plein sud, et là c’est facile à prendre : la Croix du Sud nous montre le chemin, pas même besoin de regarder le compas, ou juste pour confirmer !
Radar éteint, on monte à 9 000 pieds, 200 mph au badin, cap au 180. Encore trois heures, trois heures de vol monotones dans la nuit étoilée… Au-dessus de la mer de Timor, le radar de Melville nous prend en compte et nous guide jusqu’à notre piste où on se pose en visuel dans la lueur des bidons d’huile enflammés.
Malgré la fatigue, atterrissage sur la pointe des pieds. Les zincs au parking… moteurs coupés… Satisfaction bruyante des mécanos quand ils s’aperçoivent que mes armes ont parlé. On laisse les avions à leurs bons soins. Débriefing rapide à la station radio, il est temps d’aller dormir !
Au réveil, on apprendra que l’autre patrouille a endommagé au-dessus de l’île un zinc identifié comme un Nell (Mitsubishi G3M). Mais comme ils ne l’ont pas vu percuter, il sera considéré comme “probable”. »


28 novembre 1943
Gould Airstrip
– « Un des C-47 de liaison nous apporte des nouvelles de notre convoi routier, arrivé hier soir à Mount Isa. Deux jours de repos et d’entretien des véhicules à l’atelier ad hoc (c’est long, mais ils ne sont pas tous seuls sur la piste, dans les deux sens, malgré l’ouverture d’une ligne de chemin de fer sur une partie du trajet). Ils devraient donc être là d’ici le 10 décembre – il leur est difficile de faire plus de 200 km par jour. »


2 décembre 1943
Gould Airstrip
– « Surprise, ce midi. Anne-Marie Horlaville est venue vers moi sous notre tente mess avant l’affluence du repas et m’a confié… une lettre, dont le nom du destinataire m’a plus qu’étonné ! A remettre « quand l’occasion se présentera »… Comment refuser de rendre ce petit service, quand il est demandé avec un si charmant sourire ?
Dans la soirée, j’investis dans quelques verres tirés d’une bouteille de Bourbon (arrivée ici par un circuit que je préfère ignorer) pour me concilier les bonnes grâces du médecin, avec qui je suis venu de Nouméa en même temps que Mlle Horlaville. Les antécédents sentimentaux de celle-ci n’étant pas couverts par le secret médical, je suis bientôt édifié ! Me voici désormais officiellement désigné “facteur du courrier du cœur” ! »

(suite et fin de l'épisode demain)
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Etienne



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 13:27    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Jusqu’à présent, les bombardiers japonais ne sont jamais allés plus loin que Darwin, qui est autrement mieux protégé !

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Casus Frankie
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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 13:46    Sujet du message: Répondre en citant

Dieu est une femme, certes, mais le sexe ou plutôt le genre des villes est toujours incertain…
J'ai considéré Darwin comme masculin, puisque Darwin était un homme (sauf erreur de ma part - je veux dire, sauf si la ville n'a pas été baptisée en l'honneur de Charles Darwin).
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Casus Frankie

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Capu Rossu



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 13:52    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

Frank a écrit :

Citation:
Dieu est une femme, certes, mais le sexe ou plutôt le genre des villes est toujours incertain…


Et dire qu'on nous accuse à nous autres marins de pinailler sur le sexe des anges à propose de l'article devant le nom du navire !

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@+
Alain
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Imberator



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 13:53    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Enfin, la garde de la base est assurée par une section de l’AMF (Australian Milita Force).

Milita ou militia ?
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 14:03    Sujet du message: Répondre en citant

Militia, bien sûr.
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raven 03



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 14:14    Sujet du message: Répondre en citant

Casus Frankie a écrit:
Dieu est une femme, certes, mais le sexe ou plutôt le genre des villes est toujours incertain…
J'ai considéré Darwin comme masculin, puisque Darwin était un homme (sauf erreur de ma part - je veux dire, sauf si la ville n'a pas été baptisée en l'honneur de Charles Darwin).



et comme , à cette epoque , Darwin est juste un gros village d'environ 2000 habitants avant les evacuations de mars 1942....... Laughing Laughing Laughing

bon, fin 1943 c'est plus un gros camp de toile de quelques milliers "d'habitants " ( et quelques habitantes ) en majorité habillés de short kaki et de chapeaux de brousse..... Laughing Laughing Laughing

donc ......
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houps



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 15:51    Sujet du message: Répondre en citant

Casus Frankie a écrit:
Dieu est une femme, certes, mais le sexe ou plutôt le genre des villes est toujours incertain…
J'ai considéré Darwin comme masculin, puisque Darwin était un homme (sauf erreur de ma part - je veux dire, sauf si la ville n'a pas été baptisée en l'honneur de Charles Darwin).


Tiens, j'ai toujours cru que "la ville de..." était sous-entendu.
Paris est une blonde, et Limoges en est éloignée, Brest est mouillée, et Marseille, poissonnière...
Bon, ça ne marche peut-être que pour les villes françaises. C'est de la galanterie, ou du mysogynisme. Au choix.
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Une presbyte a mauvaise vue, pas forcément mauvaise vie.
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Etienne



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 15:57    Sujet du message: Répondre en citant

houps a écrit:

Tiens, j'ai toujours cru que "la ville de..." était sous-entendu.


Bin moi aussi, d'où ma réaction Question
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FREGATON



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MessagePosté le: Sam Déc 14, 2019 16:35    Sujet du message: Répondre en citant

Capu Rossu a écrit:

Et dire qu'on nous accuse à nous autres marins de pinailler sur le sexe des anges à propose de l'article devant le nom du navire !


Exactement, c'est injuste!
Et quid du sexe des villes dont le nom commence par "Le" ou par "La" voire même par "Les"...
Que dire alors: Le Havre est protégé? La Flèche est protégée? Les Sables d'Olonnes sont protégés? mais Les Sablettes sont-elles protégées elles??

Bon moi aussi Arrow ce n'est pas une discussion pour des marins... Rolling Eyes
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