Fantasque Time Line

[Chasseur Corse]

cette analyse sont des opinions personnel sur ses hommes.

Patton: pour moi ce général était atteint de plusieurs maladie, il avait les Chevilles qui enfle(expression française qui dit que la personne veut montrée son sens du commandement alors qu'elle n'en est pas capable. car ce général ne fesait aucun cas de ses hommes c'est pour cela que l'on avait surnommée "Sang et Tripes" on peut en voire un apercu lors de l'affaire de la giffle Ike a commis une monumentale erreur de ne pas le sanctionnée(personnellement je l'aurait renvoyée au Etats Unis avec dégradation et arret de forteresse, et passage devant un tribunal militaire, excuse public filmée devant les médecins et les blessés de l'hopital) car on ne giffle pas un Blessés ce n'est plus un combattant mais un homme qui souffre. j'aurait assorit sa peine d'un refus de commandement et l'aurait condamée a un service administraf.

Staline: pour lui les hommes qu'il envoyait au combat n'était que de "La Chair A Canon" et il se souciait fort peu du nombre de perte et de l'état des blessés et il ne visita jamais un hopital car il avait peur du sang, il était aussi d'une lacheté extrahordinaire car lors des offensives allemandes sur moscou il fut totalement invisible, car un bon chef doit être au milieux de ses troupes pour leur donnée du courrage. et puis il fesait vivre son état major dans la peur de la déportation(le général Joukov avait une valise qui le suivait partout, un jour un de ses officiers lui demanda "pourquois cette valise" et Joukov lui répondit "c'est dans le cas ou je serait arreté" et puis lors d'une conversation d'aprés banquet alors que Molotov lui disait une argumentation qui lui était contraire a sa politique staline lui répondit en riant "Molotov attention ce sera la Sibérie" cela montre qu'il n'avait pas d'écoute avec ses conseillers.

Murat: c'était le meilleur cavalier de l'armée napoléonienne, si il aurait vécu a notre époque il aurrait fait un bon général de blindée(personnellement il aurrait ete supérieur a Patton) mais hélas il avait un amour immoderée de l'argent aussi les anglais et les autrichiens en profitairent pour le forcer a un double jeux et trahir Napoléon. il essaya de se racheter mais napoléon le chassa a la vieille de Waterloo(personnellement si il avait éte présent sur le lieu de bataille la cavalerie aurrait ete mieux utilisé, car le maréchal qui le remplacea n'y connaissait rien)
quel est l'avis des membres
amitiés
Chasseur corse

[Andrew]

Il me semble que le sujet fut abordé mais en ce qui concerne Patton,Ike ne pouvait faire ce qui aurait dû se faire en temps normal tout simplement parce-que Patton malgré ses défauts était un bon général,aimé voir adulé par les GI's et le peuple américain et de plus il avait le bras plus long que la Statue de la Liberté même s'il ne manquait d'ennemis au sein du Pentagone,du Congrès et de l'Establishment.

[Dimitri Jerzmanowski]

Même si je n'aime pas Staline,je ne sais pas si on peut l'accuser de lâcheté,il a quand même fait un grand discours lors de l'anniversaire de la Révolution d'Octobre 1941 appelant les soviétiques à défendre la Sainte-Mère Russie (et non la Patrie du Socialisme comme c'était l'habitude avant 1941),après qu'un chef soit au milieu de ses troupes nous ne sommes plus au temps de Napoléon 1er et aller visiter le Front comporte un risque: celui de se faire tuer et sachant que Staline avait tout les pouvoirs s'il était mort en pleine guerre ça aurait déstabilisé grandement l'Union Soviétique et de toute façon ce n'était pas quelqu'un qui aimait le contact avec le peuple.

Pour ce qui est de la condition du peuple et des soldats,il est tout à fait exact qu'il n'en avait rien à faire,un soldat blessé ne sert plus à rien et que dire du sort des soldats faits prisonniers par les forces de l'Axe et qui furent déportés au Goulag en 1945 pour trahison.

[zipang1]

et puis ,il ne faut pas oublier que Staline bien qu'il soit chef des armées russes est avant tout le chef de l'état et n'a de fait rien a faire sur le front

[JPBWEB]

Au contraire de Lenine et de Hitler, Staline n'était pas dépourvu de courage physique, et a passe plusieurs années de sa jeunesse a faire le coup de feu. Par contre, il était très, tes prudent, et ne s'exposait jamais. En outre, il avait une aversion pour les déplacements en avion, et n'a pou ainsi dire jamais quitté l'URSS, sauf par voie terrestre (ferroviaire), a Teheran et a Berlin.
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"L'histoire est le total des choses qui auraient pu être évitées"
Konrad Adenauer

[Caulaincourt]

Pas du tout d'accord avec le pseudo argument "nous ne sommes plus sous l'époque napoléonienne". Rommel et Guderian étaient en première ligne en France, une fois, Rommel s'est retrouvé avec quelques chars à plusieurs dizaines de kilometres du front, il a dû " charger" à l'envers pour retrouver ses lignes, donnant des sueurs froides à l'OKW qui l'a immobilisé pendant quelques temps... Un chef en première ligne, c'est des yeux, un cerveau et des ordres en temps réel, énorme avantage. Un chef qui "s'eloigne de l'émotion du front", pour reprendre l'expression de joffre, -dans un château par exemple- n'est qu'un lâche qui envoie ses hommes à une mort certaine, sans pouvoir profiter des occasions qui se présentent. (Ces critiques visent la majorité des généraux français depuis la première guerre mondiale, déconnectés de toute réalité du front, mais je suis sûr que ce ne sont pas les seuls et je sais qu'il y a -heureusement- des exceptions notoires...)

Pour Murat, il avait un courage sans limites, savait employer son arme, mais il manquait un peu d'une " vision d'ensemble ", d'un plan à appliquer au cours de la bataille... Un peu " chargeons d'abord, avisons ensuite"... Je verrait bien un homme comme lui diriger une dlm (pour le matériel plus que pour la mission : il s'en serait servi comme d'une dcr).

Enfin, pour Waterloo, Ney n'est pas un incapable, il a été l'un des plus brillants maréchaux de l'Empire, et son nom imposait le respect à ses hommes et la crainte à ses ennemis... Il a participé à suffisement de campagnes, fréquenté suffisement d'excellents cavaliers pour comprendre comment s'en servir... Soumis à une pression intense (il savait très bien que cette bataille déciderait du sort de l'Empire, mais aussi de sa tête -il a retourné sa veste lors des cents jours, suite aux vexations subies par les émigrés de retour à la cour...), il a tenté de se "racheter" aux yeux de Napoléon, qui se souvenait bien de sa promesse de "ramener l'empereur dans une cage de fer"... Il a voulu prouver son courage en menant cette charge, qui aurait pu passer dans d'autres batailles, mais pas dans la configurations terriblement favorable aux anglais de Waterloo... Je pense plutôt qu'il a subi un drame psychologique, confronté entre le point de vue arriéré d'un pouvoir monarchique qui refuse de voir que le peuple n'en veut plus, et d'un réel soutient populaire pro-Empire, qui, malgré tout ce qu'on a pu en dire, signifiait le calme et l'ordre retrouvé après l'anarchie et les crimes qui ont fait suite à la révolution. Il a donc cherché à s'excuser, en militaire, de son erreur de jugement.

Enfin, pour Staline, même si je réprouve l'homme et ses methodes, il savait qu'il aurait plus à gagner en utilisant l'image de la Russie que du communisme, lui permettant du même coup d'utiliser l'héritage tsariste (du moins sa partie glorieuse...). Par contre, en temps que chef d'État totalitaire, je suis d'accord qu'il ne doit en aucun cas risquer sa peau : l'exemple des Napoléons en France montre que, lorsque la chute est brutale, sous le coup d'un facteur extérieur, le régime créé s'effondre avec son chef.
D'ailleurs, est-ce que le régime communiste était suffisement stable pour perdurer si Staline etait mort ? Parce que je pense que la victoire l'a adoubé
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J'ai entendu vos points de vue. Ils ne rencontrent pas les miens. La décision est prise à l'unanimité.

[Dimitri Jerzmanowski]

@caulaincourt

"Pas du tout d'accord avec le pseudo argument "nous ne sommes plus sous l'époque napoléonienne"


Vous n'avez pas bien lu car je ne parlais que du chef de l'état en l’occurrence Staline,pas des généraux.

Et oui en 1941,nous ne sommes plus à l'époque napoléonienne avec la tradition qui consiste à marcher à pied au milieu de ses troupes pendant une bataille mais je n'ai jamais dis qu'un général devait être à 100 km en retrait de la ligne de Front dans un palais.

[Anaxagore]

A l'époque moderne (et la seconde guerre mondiale fait déjà parti de l'époque moderne) être au milieu d'un centre de communication relayant les informations des services secrets, des interrogatoires de prisonniers, des avions de reconnaissances, des patrouilles, des rapports des officiers supérieurs etc... a une plus nette compréhension de ce qui se passe qu'un officier qui se trouve en première ligne.
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Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.

[Caulaincourt]