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Siège d'Odessa
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 25, 2015 18:34    Sujet du message: Siège d'Odessa Répondre en citant

Voilà ma première simulation de bataille.

6 août 1942, Novokrasme (au nord-ouest d'Odessa)
Pour arrêter l'avance du XIème armeeKorps, Roumanie (von Kartfleisch), le 29ème corps d'infanterie soviétique avait déployé la 95e DI sur la rivière Kuchurhan. La localité de Strepanirka était stratégique. C'était l'emplacement d'un des seuls ponts enjambant le cours d'eau. De plus, la sécheresse de l'été avait baissé le niveau suffisamment pour passer à gué près de l'église du village. La capture du hameau avait été confiée au 4ème Rgt Motorisé.

Le major Dieter Schiller aurait apprécié la balade le long du cours d'eau. Il faisait beau, et la Kurchurhan était ombragé d'arbres magnifiques. Il se surprit à rêver de promenades en barque. Le grondement du moteur de son PZ Kfw III aufs. E de commandement le tira de ses pensées. Le véhicule remontait une colonne immobilisée au bord de la route. Un véhicule de réparation Sd.kfz 252, deux camions BMV R12, un PZ III J, deux PZ IV F1, un PZ III F, Un PZ II L et deux motos R-75 avec side-car. Un groupe d'officiers et de sous-officiers fumaient des cigarettes russes cartonnées à l'odeur désagréable, au bord de la route. Ils saluèrent leur supérieur et firent leur rapport.
Tout était calme... trop calme. Les reconnaissances avaient été poussées jusqu'au dernier bosquet avant le pont de la Kuchurhan. Penché sur une carte dessinée à la main, Schiller posa un doigt sur la colline que contournait le cours d'eau. Il fallait s'assurer que les Rouges ne l'occupaient pas.
Schiller ordonna au PZ II et à l'un des PZ III de monter la butte par sa pente la plus douce. Les deux engins ne tardèrent pas à rencontrer une faible opposition : Une auto-blindée BA-10 et quelques fantassins qui ne firent pas long-feu.
Les officiers se rapprochèrent pour faire une reconnaissance à la jumelle. Ils repérèrent un tracteur d'artillerie KhPZ Komintern. Il fut éliminé par les chars avant de pouvoir bouger.
La butte fut fouillée sans trouver de trace du canon que le Komintern avait tracté (1). Un camion monte également la colline pour décharger deux pelotons de soldats. Certains officiers en profitèrent pour s'approcher au plus près du versant qui domine la rivière et qui fait face à Strepanirka. Ils découvrirent la présence de deux lignes de tranchées, la première creusée dans le jardin d'une maison flanquant le pont, l'autre, un peu en retrait, coupant la route.
Malheureusement pour eux, ils furent découvert par un officier qui lui aussi surveillait la rive opposée, jumelles en main. Les Allemands durent décrocher sous un feu nourri, avec plusieurs blessés légers.
Pensant n'avoir à faire qu'à des défenses légères (fusils Mosin-Nagant, mitraillettes PPsh-41, fusil-mitrailleur Degtyaryov), Schiller ordonna aux PZ IV et à un des PZ III d'attaquer et de franchir le fleuve pour débusquer les défenseurs. Le PZ III fut détruit immédiatement après s'être engagé sur le tablier du pont et le major ne put sauver les chars restant qu'en ordonnant la retraite. Il y avait deux canons antichars bien dissimulés sur l'autre rive. L'assaut frontal se révélerait trop coûteux.
Après quelques reconnaissances effectuées sur la berge, l'existence d'un large gué plus au sud fut découvert. Bien entendu, les soviétiques avaient défendus ce passage. Deux réseaux de tranchées guère distants suivaient la rivière sur l'autre rive. On découvrit également deux caissons pour canons antichar et autant de postes d'observations.
Mené par quatre des cinq chars restants et appuyés par deux pelotons de soldats, l'assaut réserva une mauvaise surprise aux allemands sous la forme de deux tanks BT-7M. L'affrontement fut bref mais violent. Les deux blindés soviétiques et une pièce antichar M-37 furent détruits. Les soviétiques auraient pu résister un moment dans leurs tranchées, mais ils paniquèrent et prirent la fuite... se faisant massacrer à découvert et abandonnant une pièce antichar ainsi qu'une mitrailleuse Maxim M1910. Les Allemands perdirent le PZ II et l'un des PZ III fut endommagé.
Pendant que le Sd.Kfz de réparation remettait le tank en état, les fantassins et les deux side-cars firent une reconnaissance qui permit d'éliminer deux groupes d'ennemis dans les bois que traversait la route à destination d'Odessa.
L'infanterie s'empara également de l'église du village et de son cimetière, un peu à l'écart des autres maisons. C'est à partir de cette base qu'ils lancèrent l'assaut sur les deux premières maisons de Stepanirka proprement dit. Celles-ci, transformées en forteresses et défendues chacune par un canon antichar, furent difficiles à neutraliser. L'une fut prise d'assaut par l'infanterie et la seconde pulvérisée par les chars allemands.
En fait, pour économiser l'infanterie, les panzers doublèrent le village sur son flanc et pulvérisèrent l'une après l'autre les maisons, laissant aux fantassins le nettoyage. La bataille évoluait très favorablement pour les Allemands. Cependant, les Soviétiques avaient encore quatre chars légers T-26 en réserve. Leur ruée, largement déployée, pulvérisant les clôtures et les murets, pris les Allemands par surprise. Un peloton qui s'était réfugié dans une isba intacte fut enterré sous ses décombres. Les chars soviétiques furent finalement détruits, mais un PZ IV fut endommagé. On perdit encore un peu de temps à le réparer. Il ne devait plus rester que la ligne de défense qui gardait le pont... et les Allemands l'attaquèrent à revers. Cela paraissait facile... il n'en fut rien. Un PZ IV fut détruit, le second et un PZ III endommagés. Le véhicule de réparation fut une nouvelle fois mis à l'ouvrage.
Heureusement, des renforts (deux PZ III Ausf. J et deux pelotons d'infanterie) arrivèrent à ce moment par le pont. Pris en tenaille, les derniers soviétiques furent balayés.

Bilan :

Soviétiques :
Quatre canons anti-char M-37 (45 mm) et une mitrailleuse Maxim M1910 capturés
Une automitrailleuse BA-10, Un tracteur d'artillerie KhPZ Komintern, deux canons M-37, deux chars BT-7M et quatre chars T-26 détruits.
133 morts
537 prisonniers.

Allemands :
Un PZ II L, Un PZ III J et un PZ IV F1 détruits
25 morts
261 blessés.

(1) En fait, le tracteur avait abandonné sa pièce lors d'un précédent affrontement.
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dado



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MessagePosté le: Dim Oct 25, 2015 23:19    Sujet du message: Répondre en citant

fin du 5ème paragraphe:
Citation:
Ils découvrirent la présence deux lignes de tranchées, la première creusée dans le jardin d'une maison flanquant le pont, l'autre, un peu en retrait, coupant la route.

la présence de deux lignes

début du 7ème paragraphe:
Citation:
Pensant n'avoir à faire qu'à des défenses légères (fusils Nosin-Nagant, mitraillettes PPsh-41, fusil-mitrailleur Degtyaryov), Schiller ordonna aux PZ IV et un des PZ III d'attaquer et de franchir

ordonna aux PZ IV et à un des PZ III d'attaquer et de franchir

Fin du dernier paragraphe, avant le bilan:

Citation:
Pris entre en tenaille, les derniers soviétiques furent balayés.

Pris en tenaille.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 25, 2015 23:26    Sujet du message: Répondre en citant

A l'origine, j'avais écris "pris entre deux feux", mais cela faisait une répétition de deux (déjà présent dans la ligne précédente). j'ai oublié de supprimer "entre".
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dado



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MessagePosté le: Dim Oct 25, 2015 23:34    Sujet du message: Répondre en citant

Je me doute, ce sont des fautes de frappe, d'inattention ou de changements entre deux versions. Ce n'est pas du tout une critique de ma part d'un texte qui est très bien écrit Wink
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 25, 2015 23:37    Sujet du message: Répondre en citant

Merci.
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ViKing



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MessagePosté le: Dim Oct 25, 2015 23:50    Sujet du message: Répondre en citant

Petites corrections : il s'agit probablement d'une balade (avec un seul L), et d'un fusil Mosin-Nagant (avec un M) Wink
Texte très bien écrit, bravo !
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marc le bayon



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MessagePosté le: Ven Oct 30, 2015 15:43    Sujet du message: Répondre en citant

petite correction aussi.
Compte tenu de l'époque, je verrai plutôt des BMW R12 ou des K800 que des R-75 qui parait trop moderne pour le lieu et la période...
Mais c'est juste un détail...

@+

M.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Sam Oct 31, 2015 18:55    Sujet du message: Répondre en citant

7 août 1942, Région de Pavlika et Kuchurha (au nord-ouest d'Odessa)
Les forces de l'Axe lancent une puissante attaque frontale sur Kuchurha ainsi qu'une tenaille depuis l'ouest et le nord afin de s'emparer de Pavlika. Des unités diverses participent à cette offensive, dont des éléments de la 1ère brigade de montagne (roumaine), la 6ème et la 76ème division d'infanterie (allemandes), la 1ère division blindée (roumaine). Ils font face à des unités du 29ème corps d'infanterie soviétique (l'équivalent de deux divisions d'infanterie, plus des canons antichars)
Le Premier régiment de char, sur Pz IV E et D, ainsi que R-2 se rue dans les plaines poussiéreuses d'Ukraine. Dans le ciel les bombardiers soviétiques essaient de frapper, mais les chasseurs roumains IAR-80 couvrent l'avance des forces de l'Axe.
Les rares éminences qui dominent les champs ont été transformées en autant de forteresses. Des hérissons tchèques les entourent, leurs flancs sont semés de mines et de barbelées. Des tranchées et des bunkers de sac de sable les couronnent. Chacun de ces fortins est centré sur une pièce antichar légère.
Les chars tournent autour des obstacles, les matraquent de leurs canons. L'infanterie doit les nettoyer l'un après l'autre, couvert par des mitrailleuses.

Même jour, Palanca (ouest d'Odessa)
En Bessarabie se trouve la petite ville de Palanca, séparée de la mer Noire par une étroite bande de terre. L'endroit était depuis des semaines l'enjeu de combats sporadiques... mais meurtriers entre la 421ème division d'infanterie soviétique et les roumains de la 2ème brigade de montagne et la 7ème division d'infanterie.
Le maréchal Antonescu, conducator de Roumanie était venu la veille serrer des mains, remettre des médailles. Les Roumains sont motivés. Aujourd'hui, c'est le grand assaut, le moment de gloire...
L'affrontement a lieu dans un environnement verdoyant, des champs à perte de vue, des fermes, des silos, des villages. Pourtant c'est l'enfer. Le moindre chemin bordé d'arbres est battu par des mortiers et des mitrailleuses. Des observateurs invisibles guident une artillerie puissante sur la plus insignifiante fermette où les Roumains ont le malheur de s'attarder.
Des chars BT-7M chargés de fantassins déplacent des renforts d'un point d'appuis à un autre. Les tankettes et automitrailleuses qui accompagnent l'infanterie roumaine ne peuvent sortir à découvert sans se faire prendre pour cible par leurs canonniers. Les soldats à pied se déplacent par petits groupes, longeant les murets de pierres sèches, courant au milieu des balles qui sifflent.
Le front passe à proximité d'une grande ferme, qui est le centre du Kolkhoze local, et d'une ancienne église orthodoxe. Les deux bâtiments sont sans cesse attaqués par l'Armée Rouge, acharnée à les reprendre.
Tout autour, c'est un cache-cache mortel. On se cherche entre les arbres et les fourrés, le doigt sur la détente la bouche sèche. Depuis une ferme transformée en fort, un canon AT roumain de 45 mm tire sur les BT-7M qui tournent autour des positions. Plusieurs de leurs épaves fumantes témoignent de la férocité des combats.


8 août 1942, Région de Pavlika et Kuchurha (au nord-ouest d'Odessa)
La manœuvre en tenaille des Roumains, autour de Pavlika permet d'encercler une partie des effectifs soviétiques. Le reste retraite vers l'est.
Les Stukas plongent sur les défenses soviétiques, mais le ciel est mortel, strié de balles de traçantes et les nuages abritent des prédateurs frappés de l'étoile rouge.
Dans les plaines d'Ukraine, les combats s'apparentent à une guerre navale. Tels des croiseurs cinglant sur la mer, les blindés des deux camps se déplacent sur la mer dorée des herbacées mûrie par le soleil de l'été. Ici, des colonnes de fumée signalent des épaves qui se consument. Là, le canon tonne au milieu du rugissement des bombardiers en piqués plongeant sur leurs objectifs.

Même jour, Suvorove, Bessarabie.
Aux premières heures du jour, la piste d'aviation occupée par les forces aériennes roumaines et par la Luftwaffe, se réveille dans le ronflement des moteurs. Des avions de tous types décollent. Des bombardiers légers et moyens, ainsi qu'une forte escorte de chasseurs. Leur cible est Palanca. Sévèrement bombardé toute la journée, la petite ville est réduite à un amoncellement de décombres fumant.

9 août 1942, Région de Pavlika et Kuchurha (au nord-ouest d'Odessa)
Le nettoyage des dernières positions soviétiques se termine... non sans une mauvaise surprise : la présence de T-34.
Récit du caporal Traian Constantinu : " Nos chars avançaient en phalange, nous les fantassins nous les suivions par petits groupes derrière chaque engin. Chaque R-2 avançait une dizaine de mètres, puis s'immobilisait pour tirer vers la colline. Là-bas, les lignes soviétiques ressemblaient à un volcan en irruption. Pourtant on voyait passer des balles de mitrailleuse en riposte. Elles ressemblaient à des étoiles filantes dorées, mais leur sifflement, et le bruit des impacts, lorsqu'elles frappaient le blindage du tank devant nous, était terrifiant.
Et puis soudain un char énorme a surgi de la fumée, faisant trembler le sol sous ses chenilles. Un R-2 qui avançait devant nous fut frappé. Ce fut très soudain... il parut sursauter et sa tourelle tomba sur le côté ! Le T-34 tira une nouvelle fois, visant le char suivant. Il explosa et prit feu, noircissant presque instantanément."
Il fallu recourir aux canons de campagne et aux bombardiers en piqué pour arrêter les puissants blindés. Les survivants parviennent cependant à crever l'encerclement, suivis par l'infanterie. Les pièces d'artillerie russes sont abandonnées... mais sabotées.
Les affrontements ont été très durs pour les Roumains, près d'un tiers des chars du Premier régiment ont été perdus.

Même jour, Palanca (ouest d'Odessa)
Deuxième jour de bombardement sur la petite ville. Les Roumains montent une nouvelle fois à l'attaque mais sont repoussés derechef.

10 août 1942, à l'est de Pavlika et Kuchurha (au nord-ouest d'Odessa)
Pendant qu'une partie des forces continuaient à combattre les Soviétiques encerclées, le reste avait avancé presque sans opposition.

Même jour, Palanca (ouest d'Odessa)
La ville tombe enfin après une journée d'affrontements sanglants. Les pertes roumaines sont effrayantes. Aucune unité n'est encore intacte. Certaines, ont près d'un tiers de pertes. Un régiment de la 7ème division doit être dissous.


11 août 1942, Rozdil'na (au nord-ouest d'Odessa)
La petite ville tombe aux mains des forces de l'Axe, sans combat. Les Soviétiques continuent à retraiter.
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Dernière édition par Anaxagore le Sam Nov 21, 2015 11:06; édité 3 fois
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loic
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MessagePosté le: Dim Nov 01, 2015 19:05    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Les chars tournent autour des obstacles, les piétinent de leurs canons.

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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...
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Capu Rossu



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MessagePosté le: Dim Nov 01, 2015 19:58    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir,

Les affrontements ont été très durs pour les Roumains, près d'un tiers des chars du Premier régiment ont été perdus.

@+
Alain
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Anaxagore



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MessagePosté le: Lun Nov 02, 2015 09:40    Sujet du message: Répondre en citant

loic a écrit:
Citation:
Les chars tournent autour des obstacles, les piétinent de leurs canons.

Drôle d'image Shocked


Il faut que je vous avoue, c'est moi qui écris les discours du maire de Champignac


"les matraquent" ce serait mieux ?
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Finen



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MessagePosté le: Lun Nov 02, 2015 11:10    Sujet du message: Répondre en citant

"les écrasent de leurs feux" si tu veux garder l'image
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Anaxagore



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MessagePosté le: Lun Nov 02, 2015 11:15    Sujet du message: Répondre en citant

Non, ça va merci...
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le roi louis



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MessagePosté le: Lun Nov 02, 2015 15:27    Sujet du message: Répondre en citant

... Ou "de leur chenilles"?
Comme cela on reste dans l'imagerie champètre, il n'y manquerai plus que les fleurs et les petits papillons
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dado



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Localisation: Lille

MessagePosté le: Mer Nov 04, 2015 03:16    Sujet du message: Répondre en citant

5ème ligne:
Citation:
Dans le ciel les bombardiers soviétiques essaient de frapper, mais les chasseurs IAR-80 couvrent leur avance.

Il vaut mieux préciser: "mais les chasseurs IAR-80 roumains couvrent leur avance" (aux troupes roumaines). sinon, on ne comprends pas pourquoi le mais (et plus généralement le sens de la phrase est incertain): des bombardiers soviétiques, mais ils sont couverts par des chasseurs soviétiques, donc ne peuvent pas bombarder?

Je remarque que l'offensive est surtout soutenue par les forces aériennes roumaines, qui contestent apparemment avec succès la supériorité aérienne aux soviétiques et appuient fortement les troupes au sol. Par contre, dès mi-août, les forces aériennes roumaines auront d'autres chats à fouetter, avec l'opération Blowlamp qui va leur causer de lourdes pertes. L'offensive sera alors beaucoup moins soutenue par les forces aériennes de l'axe, et les soviétiques reprendront sans doute la supériorité aérienne, ne se serait-ce que temporairement.
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