Fantasque Time Line

[Archibald]

Ah bordel, les Shibas Inus polonais ont encore frappés ! J'aurais du me douter qu'il étaient dans le coup, avec leurs potes les gerbilles tarées...

WTF. Je sais pas ce qu'il prends ce mec, mais c'est du niveau des Tontons, cette fameuse polonaise qui en prenait au petit déjeuner...

Sinon y a aussi ça... https://www.youtube.com/watch?v=xazJ2zN_roo
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"Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer. " (rasoir de Hanlon)
...
"C'est un asile de fous; pas un asile de cons. Faudrait construire des asiles de cons mais - vous imaginez un peu la taille des bâtiments..."

[loic]

«Mourir en mai» : et si les Américains avaient tué Charles de Gaulle ?

https://www.liberation.fr/culture/livres/mourir-en-mai-et-si-les-americains-avaient-tue-charles-de-gaulle-20230727_QOWMFJMULZHCVKM5GQVJY3HTV4/
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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...

[ChtiJef]

Parution ce jour en librairie de « Histoire totale de la seconde guerre mondiale », d’Olivier Wieviorka (Perrin/Ministère des armées, 1 072 p., 29 €)

Voici la critique qu'en fait "Le Monde" :
L’intelligibilité des faits, des causes et des enjeux de la seconde guerre mondiale
La réussite de certains livres tient parfois les promesses d’un genre tout entier. Elle lui rend sa pertinence et son éclat, que des travaux moins aboutis avaient pu ternir. A quoi sert une synthèse historique sur la seconde guerre mondiale ? Que peut-elle apporter de plus que des milliers de travaux sur le même sujet ? Il arrive qu’elle ne représente qu’un moyen commode d’y accéder, maigre avantage à l’ère des archives ouvertes. Il faut autre chose, un regard, une capacité de rendre vivante et proche la richesse des savoirs accumulés, qu’Olivier Wieviorka met en œuvre avec une puissance rare dans Histoire totale de la seconde guerre mondiale.

Ne serait-ce que parce que cette somme possède, sinon l’exhaustivité, impossible à atteindre en la matière, du moins l’ampleur d’un récit structuré par la volonté de laisser le moins de connaissances possible dans l’ombre. Une forme d’acharnement illustré, d’abord, par le plan du livre, qui, en multipliant les angles par l’alternance entre chapitres narratifs – la guerre du désert, la Shoah, les opérations japonaises, les grandes batailles à l’Est… – et thématiques – stratégies, idéologies, économie, expériences combattantes… –, accroît à mesure l’intelligibilité des faits, des causes et des enjeux.

Mais ce maillage se montre d’autant plus efficace qu’il constitue la trame des chapitres, construits sur des jeux d’analogie et de différenciation dans le temps et l’espace, à partir de sources diverses – archives croisées, témoignages, analyses. Chaque aspect de la guerre passe ainsi tour à tour par des tamis variés, sans donner au lecteur un sentiment de répétition, tant cet approfondissement lui fait au contraire découvrir des dimensions neuves, ou redécouvrir sous une lumière différente ce qu’il connaît déjà.

C’est cette fluidité, rendue possible par une écriture rythmée, intense, d’un doigté virtuose dans les changements de focale – des comportements individuels aux tableaux d’ensemble et aux méditations sur les enjeux politiques et moraux de la mémoire –, qui constitue la plus grande force du livre. Elle ne permet pas seulement à Olivier Wieviorka d’engranger une quantité vertigineuse de données. Elle contribue à créer une unité, du récit, bien sûr, mais surtout de son objet.

Le lecteur se retrouve face à l’énigme que continue de représenter cette guerre. L’auteur ne feint pas de nous aider à lever ce mystère : il nous invite à l’affronter avec lui.
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"Les armes ne doivent pas être utilisées dans des guerres" - Alain Berset, président de la Confédération helvétique