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Sous-marins italiens à Bordeaux ?
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loic
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MessagePosté le: Sam Mai 14, 2011 23:34    Sujet du message: Répondre en citant

folc a écrit:
Personne ne l'avait relevé mais ce n'est pas une excuse Whistle .

Ben tiens, on te fait confiance Twisted Evil
_________________
On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...
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folc



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MessagePosté le: Sam Juin 25, 2011 21:11    Sujet du message: Répondre en citant

Vie, succès et fin des sous-marins de Betasom posté cum permissu Casus Frankii, qui a dûment revu ma prose.
J'ai adapté les faits OTL pour les faire plus ou moins aisément entrer dans la FTL.
Par exemple, les victoires du Cappellini en mars 1941 sont les victoires OTL du Michele Bianchi. J'ai attribué à ce dernier les deux victoires OTL du Brin qui, en FTL, ne quitte pas la Méditerranée.
En mars 42, les victoires FTL du Veniero sont des victoire OTL du Finzi. J'ai partagé les victoires OTL du Leonardo Da Vinci entre les Torelli et Guglielmotti. Etc. (évidemment, pour le Tazzoli j'ai pu presque complètement coller à l'OTL, sauf le départ "arrangé" de Fecia di Cossato dont j'avais naguère "fait cadeau" à Laurent pour régler le sort de l'Adua au moment de l'armistice italien).
Au 25 décembre 1942, le passage en vert se trouvait déjà dans l'histoire des forceurs de blocus italiens.
Comme d'habitude, les notes de bas de page ont été ramenées, en bleu, sous chaque paragraphe.


30 janvier 1941
La bataille de l’Atlantique
Rome
– Compte tenu des résultats positifs du premier transfert (malgré le silence prolongé du Glauco, qui laisse craindre sa perte), Maricosom décide d’envoyer un second groupe de sous-marins opérer dans l’Atlantique. Les unités retenues devront partir de La Spezia ou de Naples entre le 13 et le 16 février prochains de façon à se présenter en Mer d’Alboran après le déclenchement de l’opération Merkur/Mercurio, dont on peut espérer qu’elle détournera quelque peu du détroit de Gibraltar l’attention des Franco-Britanniques. Cette seconde vague se composera de cinq submersibles. D’une part, trois bateaux basés à La Spezia : un classe Marconi, le Michele Bianchi (CC Adalberto Giovannini) ; un classe Marcello, le Veniero (CC Manlio Petroni), en remplacement d’un second Marconi, le Maggiore Baracca, malencontreusement endommagé le 22 janvier par « une canonnière française » ; enfin l’Otaria (CC Giuseppe Vocaturo), jumeau du Glauco. D’autre part, deux classe Marconi basés à Naples : les Guglielmo Marconi (CC Giulio Chialamberto) et Luigi Torelli (CF Primo Longobardo).


4 mars 1941
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux
– Le Comandante Cappellini a été le premier des sous-marins italiens passé en Atlantique à repartir en mission. Sorti le 10 février de La Rochelle, le bon avancement des travaux de remise en état du port de Bordeaux lui permet de rejoindre la base définitive du XIe Groupe. Retour victorieux : son commandant, le CC Salvatore Todaro, ne revendique pas moins de quatre succès, obtenus entre le 14 et le 27 février dans des engagements contre trois convois, pour un total d’environ 20 000 GRT .

Il s’agissait du SC.21 (Canada – Grande-Bretagne 21) et des OB.288 et 290 (convois Liverpool-Atlantique, les navires se dispersant à 750 nautiques dans l’ouest de Lands End). Les recherches les plus récentes, notamment sur l’engagement très confus des 23 et 24 février contre le convoi OB. 288, ont ramené ce palmarès à trois navires coulés et un endommagé, mais confirmé l’importance du tonnage détruit. Le 14 février, le Cappellini a coulé le cargo britannique Belcrest (4 517 GRT) du convoi SC. 21 ; le 23, il a endommagé l’un des escorteurs du convoi OB. 288, l’arraisonneur de haute mer (ocean boarding vessel) HMS Manistee (5 360 GRT, 13,5 nœuds), qui sera coulé le lendemain par l’U-107 (Günter Hessler) ; le 24, il a achevé un cargo du même convoi, le gros Huntingdon (11 509 GRT), endommagé la veille par l’U-96 (KKpt Lehmann-Willenbrock) ; enfin, le 27, il a coulé le cargo Baltistan (6 083 GRT) du convoi OB.290. Soit au total 21 749 GRT coulées et 5 360 endommagées.


14 mars 1941
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux
– Arrivée du Luigi Torelli, troisième et dernier des cinq sous-marins de la deuxième vague de submersibles italiens à avoir réussi la traversée du détroit de Gibraltar pour opérer à partir de Bordeaux. Seuls les Veniero et Guglielmo Marconi l’ont précédé à Betasom. Contrairement à ce qu’espérait l’amiral Falangola, malgré Merkur, les Alliés faisaient toujours bonne garde.
Le 20 février, l’Otaria a été intercepté peu après Ceuta par un groupe de surveillance franco-britannique comptant notamment les avisos MN Commandant-Rivière et La Gracieuse. Abondamment grenadé, le bateau a subi des avaries telles qu’il a dû reprendre le chemin de La Spezia.
Le jour suivant, le Michele Bianchi n’a pu dépasser la longitude de Tanger. Traqué par des destroyers britanniques, il s’en est tiré de justesse et les dommages reçus l’ont lui aussi contraint à faire demi-tour.
Des trois unités qui ont réussi leur tentative, le Marconi du commandant Chialamberto a dû, pour passer, s’ouvrir une brèche dans le barrage adverse en coulant, le 21 février, le chalutier ASM HMS Kingston Sapphire (352 GRT). Un autre (modeste) succès a été remporté par le Torelli de Primo Longobardo, lequel, une fois sorti du détroit, a rencontré et envoyé par le fond un adversaire isolé, l’arraisonneur-dragueur Loup de mer (AD187).


30 avril 1941
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux
– A la demande du ministre de la Marine – Mussolini lui-même – Maricosom s’obstine à démontrer la volonté italienne de s’impliquer dans le conflit en dehors de la Méditerranée. Pour cela, un troisième transfert de sous-marins en Atlantique a été mis sur pied. Il ne porte cependant que sur deux bateaux, partant de La Spezia : un classe Calvi, l’Enrico Tazzoli (CC Carlo Fecia di Cossato), sorti le 25 mars de deux mois de travaux d’entretien, et un classe Marconi, le Maggiore Baracca (CC Enrico Bertarelli), remis de sa mésaventure de janvier.
Parti le 5 avril de La Spezia, le Tazzoli est le premier à rejoindre Bordeaux, en ayant coulé en route un cargo allié. Il sera suivi deux jours plus tard par le Baracca.


5 juillet 1941
La bataille de l’Atlantique
Au large de l’embouchure de la Gironde
– Maricosom a finalement décidé d’envoyer à Betasom le sous-marin Michele Bianchi, dont les dommages subis en février ont été réparés. Désormais commandé par le CC Franco Tosoni Pittoni, le Bianchi, parti le 30 mai de La Spezia, a franchi sans encombre le détroit de Gibraltar. Atteignant les parages des Açores, il s’en est pris avec succès au convoi SL. 76 , lui coulant le 13 juin deux cargos chargés de minerai de fer, le français Djurdjura (3 460 GRT) et le grec Eirini Kyriakides (3 781 GRT). Sur ces deux victoires, le Bianchi a mis le cap sur Bordeaux.
Ce 5 juillet, il n’est plus très loin de l’embouchure de la Gironde quand il est repéré par le sous-marin HMS Tigris (Cdr Bone), qui le torpille et le coule. Tout l’équipage est perdu.

Les convois SL sont des convois Sierra Leone (Freetown) – Grande Bretagne.


6 août 1941
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux et Rome
– Au terme de six mois d’existence de Betasom, l’amiral Parona dresse à l’intention de son chef direct, l’amiral Falangola et, au-delà, de l’amiral Riccardi et du Duce lui-même, un premier bilan de l’activité du XIe Groupe de sous-marins. Celui-ci est franchement encourageant. Compte tenu des sept victoires obtenues durant les voyages de transfert (deux petits navires de guerre et cinq cargos), les huit sous-marins disponibles et le malheureux Michele Bianchi revendiquent avoir détruit pas moins de trente à trente-deux bateaux (deux navires de guerre et vingt-huit à trente de commerce). Le dernier mois écoulé aurait été le meilleur avec au minimum sept succès, apparemment à égalité en nombre avec juin mais pour un tonnage détruit bien supérieur.
En fait, après recherches et vérifications, le bilan s’établit aujourd’hui à vingt-quatre bateaux coulés et deux endommagés. Mais juillet et juin restent bien les mois de plus grande réussite, avec respectivement sept succès pour 44 030 GRT coulées et six victoires pour 20 426 GRT détruites. Le palmarès rectifié des sous-marins place en tête le Marconi, 5 victoires , dont 4 remportées au cours de sa deuxième mission. Suivent le Malaspina (4) , les Cappellini, Dandolo et Tazzoli (3 chacun) , enfin les Maggiore Baracca, Torelli et Veniero (2 chacun).

Une victoire obtenue sous le commandement du CC Giulio Chialamberto, le 21 février 1941 ; les quatre autres sous celui de son successeur, le LV Mario Paolo Pollina. Parmi ces dernières, le pétrolier militaire de la Royal Navy Cairndale (8 129 GRT) le 30 mai, les cargos britannique Baron Lovat (3 395 GRT) et suédois Taberg (1 442 GRT), tous deux du convoi OG. 63 (Liverpool-Gibraltar), le 6 juin. Le LV Pollina coula aussi ce même 6 juin un chalutier portugais (318 GRT) qui semblait renseigner les Britanniques.
Outre un succès obtenu durant son voyage vers La Rochelle (CF Mario Leoni), le Malaspina a coulé, sous son nouveau commandant, arrivé en mars 1941, le LV Giuliano Prini : le 14 mars le cargo américain Western Chief (5 759 GRT) du convoi SC. 24 ; le 14 juillet le cargo grec Nikoklis (3 756 GRT) et le 17 le cargo britannique Guelma (4 402 GRT). Il a aussi endommagé le 3 mai le cargo britannique Lycaon (7 552 GRT).
Le Cappellini a également à son actif un navire endommagé, le HMS Manistee (cf. ci-dessus).


8 septembre 1941
La bataille de l’Atlantique

Parti de Bordeaux le 31 août, le Maggiore Baracca, désormais commandé par le LV Giorgio Viani, a coulé, trois jours plus tôt, le petit cargo panaméen Trinidad (434 GRT), allant de Lisbonne à Dublin avec une cargaison de vin et de liège. Arrivé la veille dans sa zone de patrouille au large des Açores, il est repéré et grenadé par le destroyer HMS Croome. Le commandant Viani peut ramener à la surface son bateau gravement endommagé mais c’est pour le saborder. Le Croome recueillera trente-deux survivants (sur un équipage de cinquante-sept officiers et marins), dont Viani lui-même.


28 octobre 1941
La bataille de l’Atlantique

Ce jour est considéré comme étant probablement celui de la destruction du sous-marin Marconi. Parti en mission le 5 octobre pour la zone de Gibraltar, le bateau, désormais commandé par le CC Livio Piomarta , s’est retrouvé engagé, avec plusieurs sous-marins allemands, contre le convoi HG. 75 . Il n’a plus donné signe de vie après une dernière communication avec Betasom .

Le CC Piomarta était un évadé un de la Mer Rouge, comme passager du sous-marin Archimede. Commandant du sous-marin Ferraris, il n’était pas à bord, pour raisons de santé, lors de la fatale mission de septembre 1940.
Les convois HG sont des convois Gibraltar-Grande Bretagne.
Depuis le 6 juin, le Marconi n’avait pas coulé de nouveau navire. Il avait tout de même endommagé au canon, le 14 août 1941, le cargo yougoslave Sud (2 598 GRT), dont l’envoi par le fond fut crédité au sous-marin allemand U-126 (Ernst Bauer).


18 novembre 1941
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux
– Betasom déclare officiellement perdu, dans des circonstances inconnues, le sous-marin Alessandro Malaspina (LV Giuliano Prini), parti en mission le 7 septembre et qui aurait être de retour à la fin octobre. On admet aujourd’hui que le sous-marin a été coulé dès le 10 septembre, par un Sunderland du 10th Squadron RAAF qui l’avait surpris en surface.
Le XIe Groupe va donc finir l’année avec cinq bateaux disponibles en attendant le retour en ligne du Guglielmotti.


23 janvier 1942
La bataille de l’Atlantique

C’est le Dandolo, commandé depuis mai 1941 par le LV Walter Auconi, qui remporte le premier succès du XIe Groupe de l’année 1942 en coulant le cargo espagnol Navemar (5 301 GRT).


15 mars 1942
La bataille de l’Atlantique
Lorient
Radoubé et modernisé entre novembre 1941 et février 1942 dans la base des 2e et 10e Flottilles de U-Boote grâce l’appui de l’amiral Doenitz, le sous-marin Guglielmotti reprend la mer sous le commandement du LV Federico Tamburini. Betasom peut ainsi compter sur six unités.


26 avril 1942
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux
– Arrivée du Guglielmotti. Au cours de sa première patrouille, il a coulé deux navires, dont, le 29 mars, le cargo britannique Tredinnick (4 589 GRT).


7 juin 1942
La bataille de l’Atlantique
Sud-ouest des Açores
- Le sous-marin Veniero (LV Elio Zappetta) est coulé corps et biens par l’attaque successive de deux avions britanniques. Durant les premiers mois de 1942, plus précisément au cours du mois de mars, il avait remporté trois nouveaux succès s’ajoutant aux deux obtenus en 1941 .
Les forces de Betasom se trouvent désormais réduites à cinq submersibles.

Le Veniero a coulé successivement : le 6 mars, le pétrolier français Melpomène (7 011 GRT), le 7 le cargo suédois Skane (4 528 GRT), enfin, le 10, le pétrolier norvégien Charles Racine (9 957 GRT).


15 septembre 1942
La bataille de l’Atlantique
Bordeaux
– Alors que son Tazzoli est en cours de remise en état après sa seconde longue mission (71 jours à compter du 24 juin) de l’année 1942, le CC Carlo Fecia di Cossato est appelé à prendre le commandement de l’un des sous-marins affectés à la Xa MAS, l’Adua. Lorsqu’il quitte Betasom, son palmarès « atlantique » est de douze victoires : aux quatre obtenues en 1941 , Fecia di Cossato en a ajouté huit au cours de ses deux missions de l’année (six puis deux). C’est le CC Giuseppe Caito qui le remplace sur le Tazzoli.

Le palmarès personnel de Fecia di Cossato est de quatorze succès car il en avait obtenu deux en 1940 en Méditerranée comme commandant du Ciro Menotti.
Aux trois victoires décomptées à la fin juillet 1941, Fecia di Cossato en a ajouté une quatrième le 19 août, en coulant le pétrolier norvégien Sildra (7 313 GRT).
Parmi ces six victoires, remportées entre le 6 et le 15 mars 1942, figure le cargo uruguayen Montevideo (5 785 GRT), ex-italien Adamello saisi le 1er septembre 1941. C’est le second navire ex-italien coulé par Fecia di Cossato, après le Fortunata (devenu Sainte-Jacqueline) coulé le 5 septembre 1940 en Méditerranée.


25 décembre 1942
La bataille de l’Atlantique


A Bordeaux, le pétrolier Clizia et les cargos Atlanta, Capo Lena, Fusijama, Himalaya et Monbaldo tombent au pouvoir des Allemands. Le contre-amiral Romolo Polacchini (qui avait succédé à Parona à la tête de Betasom le 18 septembre 1941) est fait prisonnier avec son état-major et toute la garnison de Betasom. Mais surtout, quatre des cinq sous-marins encore à disposition du 11e Groupe se retrouvent germanisés : les Comandante Cappellini, Dandolo et Luigi Torelli, en cours d’entretien avant des missions prévues en janvier 1943, et l’E. Tazzoli (CC Giuseppe Caito), tout juste rentré de sa dernière croisière, du 2 novembre au 21 décembre 1942 (trois navires coulés). Le cinquième sous-marin, le Guglielmotti (LV Federico Tamburini), est en mer : obéissant aux ordres reçus de Supermarina, il ira se rendre aux Alliés dans les parages de l’Islande.
Betasom a vécu. Grâce à l’expérience et l’habileté de leurs commandants et équipages, ses maigres effectifs (jamais plus de huit bateaux en ligne) ont pourtant tiré honorablement leur épingle du jeu. Après vingt-six victoires remportées en 1941 (pour la perte de cinq submersibles), trente-sept succès supplémentaires ont été acquis en 1942, en échange d’un seul sous-marin coulé. Plus des deux tiers de ces succès (26 sur 37) sont dus à trois bateaux : Tazzoli, 11 ; Torelli, 8 ; Guglielmotti, 7 [5 pour ses deux premières missions plus 2 sans doute pour la dernière, pour laquelle aucune trace écrite ne subsiste]. Les Cappellini et Dandolo ont obtenu chacun quatre nouvelles victoires et le Veniero trois.

Parmi les victimes du Cappellini figure le paquebot français Porthos (12 633 GRT), coulé le 11 septembre 1942 alors que, venant des Antilles, il avait rejoint un convoi Recife-Casablanca.
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Dernière édition par folc le Lun Juin 27, 2011 13:40; édité 3 fois
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MessagePosté le: Sam Juin 25, 2011 22:13    Sujet du message: Répondre en citant

Mmh, il faudra que je pense à mettre à jour la liste des pertes Think
Le taux de pertes est-il supérieur à l'OTL comme l'est celui des U-boots ?
Citation:
[...] le 14 mars le cargo américain Western Chief (5 759 GRT) du convoi SC. 24 [...]

Ceci pourrait entraîner une réaction américaine (cela fut-il le cas OTL ?) ?
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MessagePosté le: Sam Juin 25, 2011 22:40    Sujet du message: Répondre en citant

loic a écrit:
Le taux de pertes est-il supérieur à l'OTL comme l'est celui des U-boots ?

Les Italiens perdent 2 bateaux avant leur arrivée à Bordeaux et 4 en opérations, soit plus de la moitié des bateaux engagés (6 sur 11).

loic a écrit:
Citation:
[...] le 14 mars le cargo américain Western Chief (5 759 GRT) du convoi SC. 24 [...]

Ceci pourrait entraîner une réaction américaine (cela fut-il le cas OTL ?) ?


Ma foi, bien qu'aucune des sources italiennes que j'ai consultées pour l'histoire des forceurs de blocus et des "navires-otages" n'ait fait le rapprochement, les saisies de fin mars 41 OTL (et donc FTL) pourraient bien être la réponse du berger à la bergère (bien que le cargo US ait voyagé en convoi).
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MessagePosté le: Sam Juin 25, 2011 23:50    Sujet du message: Répondre en citant

Pour les pertes, je cherche à savoir, à activité comparable, les pertes italiennes en Atlantique sont plus importantes qu'OTL.
Pour l'Allemagne en 1941, on est - à un ou deux près - à 48 U-boots perdus contre 35 OTL, tous théâtres confondus.
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MessagePosté le: Dim Juin 26, 2011 11:10    Sujet du message: Répondre en citant

Une petite modification après avis technique de Capu Rossu et Frégaton : le Guglielmotti ne va pas à Kiel pour grand radoub et modernisation mais s'arrête à Lorient. Modif en rouge sombre au 15 mars 1942.
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