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Archibald
Inscrit le: 04 Aoû 2007 Messages: 9242
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 13:29 Sujet du message: |
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FREGATON a écrit: | Citation: | Flight Lieutenant « Branse » Burbridge |
Un as du Mossie (puis Messie)...! |
Comme on chantait à la prison de Amiens "venez divin Mossie, nous rendre espoir et nous sauver..." au passage, la plupart des prisonniers tués dans le raid en effet on plutôt vue le Messie que les Mossies... _________________ Sergueï Lavrov: "l'Ukraine subira le sort de l'Afghanistan" - Moi: ah ouais, comme en 1988.
...
"C'est un asile de fous; pas un asile de cons. Faudrait construire des asiles de cons mais - vous imaginez un peu la taille des bâtiments..." |
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requesens
Inscrit le: 11 Sep 2018 Messages: 1641
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 13:34 Sujet du message: |
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Au fait baron ( ) ou en sommes-nous du jeu?. Combien d'éléments sont encore à decouvrir ? _________________ "- Tous les allemands ne sont pas nazis, monsieur !
- Oui, je connais cette théorie, oui." |
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Clappique
Inscrit le: 05 Mar 2017 Messages: 212 Localisation: Sud de la Durance
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 16:46 Sujet du message: |
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[quote="requesens"]Au fait baron ( ) ou en sommes-nous du jeu?. Combien d'éléments sont encore à decouvrir ?[/quote
La score-card : Fregaton et Requesens au coude à coude à 6 points chacun, Casus à 2 points, Dronne et La Mineur à 1 point
Vous avez à ce jour tout trouvé, hormis le couple de personnages auxquelles je fais cacher le manuscrit à Mdina. Il s'agit bien du roman "La Religion" de Tim Willocks, donc il ne vous reste plus qu'à le lire .... et pas de Wikipedia pour aller plus vite, ça serait dommage _________________ Si on ne croit à rien, surtout si on ne croit à rien, on est obligé de croire aux qualités du coeur quand on les rencontre, ça va de soi. |
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Clappique
Inscrit le: 05 Mar 2017 Messages: 212 Localisation: Sud de la Durance
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 19:44 Sujet du message: |
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La Porte
Salzkammergut
Mallory se balançait sous ses suspentes dans un air glacial. Premier du stick, il leva les yeux et fit tourner sa voilure pour repérer ses compagnons, à la lumière de la lune. Le marin avait sauté derrière lui, et visiblement n’avait pas traîné ; son parachute était à moins de 100 m du sien. Nettement plus loin, il lui semblait voir deux corolles groupées – certainement Raspoutine et Miller. Par contre, il ne voyait pas Irène. Il ferma les yeux à la pensée d’un corps percutant la terre gelée à deux cent km/h ; au-delà de ça, si la jeune femme n’avait pas survécu, leur mission était fichue.
Le largueur connaissait son métier, le vent était nul, il atterrit dans la neige à quelques dizaines de mètres du signal lumineux improvisé, déboucla son harnais, s’accroupit et dégaina son arme.
Il y eut des bruits de pas autour du signal, et un appel :
« Por vuestra libertad !
- Y la nuestra ! » répondit le marin
Mallory respira plus lentement, baissa son arme, sans toutefois rengainer. Au moins étaient-ils tombés sur le bon comité d’accueil.
Miller et Raspoutine avaient atterri à trois cent mètres, sans trop de dégâts ; tout le monde se rejoint autour de la balise, éteinte entretemps. Mallory allait demander, la mort dans l’âme, de commencer les recherches du corps d’Irène Adler lorsqu’il la vit, assise sur son sac de parachute, en train de bavarder paisiblement avec un autrichien, un jeune gars tout rosissant devant une si belle dame qui parlait si parfaitement le dialecte.
Mallory soupira. Le marin lui présenta Sepp, le groupe ramassa son matériel, on siffla le rappel des guetteurs, il était de bon ton de ne pas traîner. Ce n’est qu’atteint le couvert des arbres que Mallory se demanda comment Irène avait pu plier son parachute si vite.
…………………………………………………………………………..
Mallory dépassa la crête, en avançant lourdement dans la couche de neige – depuis la veille, le vent s’était levé, et la progression dans la neige soufflée était épuisante, et dangereuse. A deux reprises, une plaque à vent avait bougé sous leur passage. Tous les deux cent mètres, il alternait la position de tête avec leur guide autrichien – un gars du coin mais qui travaillait à Salzbourg avant la guerre – donc à l’allemand compréhensible. Le groupe était épuisé par la marche et la fatigue accumulée des derniers jours, mais leur itinéraire les amenait maintenant juste au-dessus de leur destination, Bad-Ischl, sans jamais avoir pris le risque d’approcher une route.
A leurs pieds, la station thermale, ancienne résidence d’été de l’empereur François-Joseph était noire, black-out oblige, mais Mallory repéra facilement la villa Léhar. Là, ils étaient attendus par le contact d’Irène Adler, un aristocrate roumain bien en cour auprès du Reich. Ils se joindraient à son entourage, ce qui leur fournirait la couverture et les moyens de transport pour rejoindre Melk. Ils commencèrent leur descente en baissant la tête sous les rafales glacées
Bad-Ischl était déserte à cette heure très avancée, et si loin des zones de combat, il n’y avait pas de mesures de sécurité particulières. Juste la surveillance de tous par tous, le lot des pays totalitaires.
Le groupe se faufila silencieusement à travers les rues, coupa par le cimetière, s’agenouilla derrière une tombe pour écouter et observer. Irène caressa tendrement la pierre, épousseta la neige.
« Un cousin germain ? » grinça Raspoutine
« Hm ? Non, un homme qui parlait du hasard, du destin, du temps où les espagnols pillaient l’or des Incas et les cavaliers suédois écumaient l’Europe »
- De l’or et des pillages – voilà un mort sympathique
- ce n’était pas tout à fait votre genre, mais vous l’auriez certainement intéressé, Raspoutine.
- Bien, on y va. D’abord Irène et moi, puis vous autres à mon signal » commanda Mallory
Ils se glissèrent à l’arrière de la villa Léhar, tapèrent doucement à une porte de service.
« Der Mond scheint hell » murmura Irène
« Und die Toten reiten schnell » leur répondit-on. Quelques instants plus tard, le groupe secouait leurs bottes glacées sous les stucs de la villa Léhar.
« Ah ma très, très chère amie. Bienvenue dans ma demeure !
- Prince Bassarab, je suis si heureuse de vous revoir. Cela fait une éternité. Je sais que nous devons hélas le plaisir de cette rencontre à la menace soviétique sur vos domaines de Valaquie, croyez bien je regrette de vous voir privé de vos terres
- Ce n’est rien ! Nous savons qu’il est sage de laisser passer la fureur et la rage des conquérants, puis de revenir. Vous connaissez les hommes, il est toujours possible de s’entendre avec eux, ils ont des appétits si simples ! Mais je crois qu’il faut que je vous appelle « Comtesse Széchenyi » dorénavant ?
- Pour nos quelques jours d’aventure, ce serait préférable, Prince
- quel que soit votre titre, vous serez toujours la suzeraine de mon âme » et l’homme, brun, grand, un profil d’aigle, s’inclina dans un salut qui étrangement ne parût plus être un simple badinage. Pendant une seconde fugace, il y eut dans la pièce de la gravité, des océans de temps, une étrange suggestion d'amour perdue, de fidélité et de cruauté.
« Mais nous bavardons, tandis que vous devez être gelés, fatigués et affamés. Vous devez vous reposer, nous avons fort à faire demain. Laissez mes gens vous conduire à vos appartements – une collation vous y attend. Vous me permettrez de ne pas me joindre à vous ; j’ai déjà copieusement diné et je ne bois jamais … de vin » _________________ Si on ne croit à rien, surtout si on ne croit à rien, on est obligé de croire aux qualités du coeur quand on les rencontre, ça va de soi.
Dernière édition par Clappique le Mer Mai 08, 2019 21:39; édité 2 fois |
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demolitiondan
Inscrit le: 19 Sep 2016 Messages: 9250 Localisation: Salon-de-Provence - Grenoble - Paris
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 20:02 Sujet du message: |
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Clappique Voyons ... Avait-il une belle photo de Sa Comtesse au moins ? Et une tendance à changer d'apparence ? Je doute que le Comte soit privé de terre par les soviets. .. Quant au mort, ca ne serait pas un grand noble du Saint-Empire ? _________________ Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste |
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requesens
Inscrit le: 11 Sep 2018 Messages: 1641
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 20:08 Sujet du message: |
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Clappique a écrit: | [b]
« Hm ? Non, un homme qui parlait du hasard, du destin, du temps où les espagnols pillaient l’or des Incas et les cavaliers suédois écumaient l’Europe »
- De l’or et des pillages – voilà un mort sympathique
- ce n’était pas tout à fait votre genre, mais vous l’auriez certainement intéressé, Raspoutine.
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Lui je le connais Leo Perutz ! _________________ "- Tous les allemands ne sont pas nazis, monsieur !
- Oui, je connais cette théorie, oui." |
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Casus Frankie Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 13715 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 20:16 Sujet du message: |
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Là, Demo Dan enfonce deux portes aimablement ouvertes par Clappique. 8)
L'hôte de la petite bande préfère évidemment un autre liquide que le vin, et je doute que ce soit l'eau de source.
Et le défunt date bien entendu de la Guerre de Trente ans - un ancêtre d'Irène ?
Ah - à moins que Requesens n'ait raison et que le mort n'ait pas vécu cette époque, mais en ait parlé. La phrase d'Irène est à double sens.
Sinon, en ce qui concerne Irène, je crois qu'elle peut se passer de parachute. Elle a bien changé depuis qu'elle dissimulait une lettre aux agents du gouvernement anglais… Ou peut-être, justement, n'a-t-elle pas changé du tout…
Bref - je crains que ce récit soit irrémédiablement en marge de la FTL - il n'en est pas moins de qualité !
Evidemment, vous me direz, quand on sait pourquoi la FTL existe (ou peut-être pourquoi OTL existe…) (cf le "testament" de l'Oncle Arsène]. _________________ Casus Frankie
"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire) |
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Capu Rossu
Inscrit le: 22 Oct 2011 Messages: 2530 Localisation: Mittlemeerküstenfront
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 20:27 Sujet du message: |
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Bonsoir,
Citation: | Miller et Raspoutine avaient atterri à trois cent mètres |
Citation: | les recherches du corps d’Irène Adler lorsqu’il la vit, |
Citation: | une si belle dame qui parlait si parfaitement le dialecte. |
@+
Alain |
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requesens
Inscrit le: 11 Sep 2018 Messages: 1641
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 20:33 Sujet du message: |
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Casus Frankie a écrit: |
Ah - à moins que Requesens n'ait raison et que le mort n'ait pas vécu cette époque, mais en ait parlé. La phrase d'Irène est à double sens.
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Attendons de voir ce que dira Clappique mais j'ai un ouvrage de Leo Perutz intitulé "Le cavalier suedois" et je viens de verifier sur Wiki, il est enterré à... Bad Ischl ( cela je l'ignorais ). _________________ "- Tous les allemands ne sont pas nazis, monsieur !
- Oui, je connais cette théorie, oui." |
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Clappique
Inscrit le: 05 Mar 2017 Messages: 212 Localisation: Sud de la Durance
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 21:24 Sujet du message: |
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Merci Capu pour l'orthographe
Oui, Leo Pérutz - vraiment un de mes auteurs préférés, dont les intrigues se nouent superbement en boucle - est l'auteur du Cavalier Suédois, et est enterré à Bad Ischl ; là j'ai triché, Léo Pérutz n'est mort qu'en 1957 et sa tombe ne peut pas se trouver sur le chemin de nos héros. La tentation était juste irrésistible - Léo Pérutz est un peu passé de mode, alors si mes âneries peuvent donner ne serait-ce qu'à une personne l'envie de le lire, beaucoup me sera pardonné
+ 1 pt pour notre catalan
Et + 1 pt pour Demo Dan et Casus, qui ont reconnu Vlad "Tepes" Dracul, de son vrai nom (du moins suppose-t-on) Vlad Bassarab, ici présenté dans sa version Bram Stoker.
Le bouquin de Bram est un pavé éthylico-gothique un peu difficile à digérer, je crois que pour une fois le film est meilleur (Coppola, forcément ...)
Casus, cet affaire de testament aux sources de la FTL m'intrigue, je vais aller essayer de trouver çà !
Et comme je crois que tu aimes bien Irène, effectivement née sous la plume de Conan Doyle, je peux te réveler que l'incarnation présentée dans mon récit est celle de l'Irène Adler du "Club Dumas", de Perez-Reverte. Merci aux ceusses qui connaissent le livre de ne pas spoiler _________________ Si on ne croit à rien, surtout si on ne croit à rien, on est obligé de croire aux qualités du coeur quand on les rencontre, ça va de soi. |
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Clappique
Inscrit le: 05 Mar 2017 Messages: 212 Localisation: Sud de la Durance
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 21:34 Sujet du message: |
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Ai trouvé le testament d'Arsène- Superbe texte. Et ça me touche aussi. Ma grand-mère, immigrée piémontaise installée à Marseille, vouait un culte à Arletty ... _________________ Si on ne croit à rien, surtout si on ne croit à rien, on est obligé de croire aux qualités du coeur quand on les rencontre, ça va de soi. |
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Casus Frankie Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 13715 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 21:53 Sujet du message: |
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Club Dumas ! Bon sang mais c'est bien sûr !!
(j'ai trouvé le film bon, mais nettement inférieur au livre)
Mais alors… ah oui, carrément !
Merci pour Les Visiteurs du Soir et le Testament d'Arsène…
Texte de votre serviteur, inspiré par une histoire authentique de Fantasque, dont la mère travaillait à l'époque avec l'équipe du film d'une part, comme porteuse de messages pour la Résistance d'autre part.
"J'aime le feu… et le feu m'aime…!" _________________ Casus Frankie
"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire) |
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raven 03
Inscrit le: 20 Mar 2009 Messages: 1164 Localisation: loire (42)
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 22:30 Sujet du message: |
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heu j'avoue ne pas avoir entendu parler de la majorité des livres ou des auteurs ....... (ah si Conan Doyle)...mais bon je suis legerement "nekulturny" dés qu'on sort des aeronefs e tde leurs histoires....
...
par hazard Irene ne serait pas la Mina Harper de la Ligue des gentelmen extraordinaires....??? |
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requesens
Inscrit le: 11 Sep 2018 Messages: 1641
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Posté le: Mer Mai 08, 2019 23:18 Sujet du message: |
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Et cette Irene Adler est-elle aussi une brune aux cheveux courts et aux yeux verts ? _________________ "- Tous les allemands ne sont pas nazis, monsieur !
- Oui, je connais cette théorie, oui." |
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raven 03
Inscrit le: 20 Mar 2009 Messages: 1164 Localisation: loire (42)
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Posté le: Jeu Mai 09, 2019 09:15 Sujet du message: |
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requesens a écrit: | Et cette Irene Adler est-elle aussi une brune aux cheveux courts et aux yeux verts ? |
parce que ta chere et tendre ne change pas de coupe 2 à 3 fois par an et de couleur à chaque fois qu'elle va chez le coiffeur...?????
quant aux yeux verts...là , ......!!!
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