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Julius, pilote de guerre - par Etienne
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Capu Rossu



Inscrit le: 22 Oct 2011
Messages: 2554
Localisation: Mittlemeerküstenfront

MessagePosté le: Mar Fév 28, 2017 18:59    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir,

Citation:
Commandant, je le savais pour une unité flottante, mais là, c'est à terre? Et une unité d'aviation, en prime?


Le terme de "commandant" est employé pour tous les officiers commandants une unité érigée en "unité administrative autonome", c'est à dire qui est responsable de la gestion administrative du personnel qui lui est affecté et de la comptabilité (matériel et financière).
Ainsi, outre les navires, rentrent dans cette catégorie, les flottilles de l'Aéronavale, les batteries de défense des côtes, les batteries de DCA, les unités de fusiliers marins, les diverses écoles.

Pour le LV Chancel, il s'est retrouvé, hasard du GD, commandant d'une unité de l'AA. On peut en effet penser que les "charognards", à part quelques individus un peu au fait des usages de la Marine, ne soient pas au courant des subtilités maritimes et lui donnent du "capitaine" du fait de ses trois galons.

@+
Alain
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Etienne



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Messages: 2837
Localisation: Faches Thumesnil (59)

MessagePosté le: Mar Fév 28, 2017 19:07    Sujet du message: Répondre en citant

Ma foi, c'est avant le GD qu'il s'est retrouvé là... Vérité OTL.

Bon, pour les grades, je serais moins bête ce soir. Wink
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GAULLISTE 54



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Messages: 799
Localisation: Nancy

MessagePosté le: Mar Fév 28, 2017 22:52    Sujet du message: Répondre en citant

Wil the Coyote a écrit:
FREGATON a écrit:
Pour peaufiner, "casque à boulons" n'a pas totalement supplanter l'expression "casque à pointe" utilisée dans le même sens... et son superlatif: "c'est un vrai casque à pointe avec la pointe à l'intérieur et des punaises pour tenir la jugulaire". Twisted Evil


En Belgique lorsque l on parle des casques a pointes...c est pour désigner nos voisins de l est....


Idem pour nous en Lorraine et certains désignent aussi avec ce terme les Alsaciens-Mosellans quand une conversation avec eux est plutôt "agitée"
_________________
Toute ma vie je me suis fait une certaine idée de la France !
Charles de Gaulle


"Qui s'y frotte, s'y pique !"
Devise des Ducs de Lorraine

"Non inultus premor"-"Nul ne me touche sans impunité"
Devise de la Ville de Nancy
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fhaessig



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Messages: 227
Localisation: leiden (NL)

MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 08:40    Sujet du message: Répondre en citant

GAULLISTE 54 a écrit:


Idem pour nous en Lorraine et certains désignent aussi avec ce terme les Alsaciens-Mosellans quand une conversation avec eux est plutôt "agitée"



... et voici comment on declanche immediatement une bagarre furieuse
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egdltp



Inscrit le: 07 Jan 2011
Messages: 475
Localisation: Cher

MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 08:56    Sujet du message: Usage de politesse Marine vs autres armes. Répondre en citant

La non utilisation du "Mon" avant un grade quand on s'adresse à un officier est une particularité de la Royale.
Effectuant mon service dans cette arme, en tant que scientifique, j'ai lors de mes classes fait cette erreur avec l'EV1 commandant la compagnie. Je lui ai donné du "mon Lieutenant", pas d'erreur sur l'appellation mais sur l'article et je me suis fait reprendre.
Je me suis laissé dire que pour les autres armes, ce "Mon" est la contraction de "Monsieur".
Pour moi l'erreur de Jules est tout a fait plausible pour un aviateur qui parle à un officier de la Marine.
Donc Etienne, ne te laisse pas "pourrir" la vie par les spécialistes des couleurs de passe-poil qui sévissent sur ce forum.
Bravo pour cette production qui laisse augurer d'une nouvelle production des éditions FTL.
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Casus Frankie
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Inscrit le: 16 Oct 2006
Messages: 13803
Localisation: Paris

MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 10:35    Sujet du message: Répondre en citant

La suite…

Kalamata
– Au grand regret de nombreux pilotes, le lieutenant-colonel Durieux décide d’affecter tous les H-87D neufs à mon escadrille, afin d’avoir une certaine uniformité. Il est vrai que beaucoup d’appareils sont usés, peut-être plus qu’ailleurs car le II/7 est le premier groupe à être arrivé ici. D’autres P-40F sont déjà sur place, y compris celui que j’avais convoyé en mars, mais les pilotes n’avaient guère prêté attention à son plafond pratique plus élevé. Il est vrai qu’en termes de performances pures, le gain produit par le Merlin est faible, entre 10 et 20 km/h. Mon arrivée et mon premier combat révèle un domaine de vol bien plus intéressant, d’autant plus que l’on dit que la 1ère EC risque de repartir avec ses Spit, ce qui priverait les opérations d’une couverture haute bien utile. Les récipiendaires de H-87D vont donc se retrouver attitrés aux postes du pigeonnier, ce qui n’est pas pour me déplaire, j’ai déjà suffisamment entendu parler de la Flak pour ne pas vouloir aller y voir de plus près. Ça ne m’empêchera pas bien entendu de faire des passages bas, voire très bas, et de mitrailler les troupes ennemies si l’occasion se présente en retour de mission, mais là n’est pas mon premier rôle.
D’ailleurs, mon rôle pour le moment est d’apprendre ! Je ne vais pas me glorifier de mes cinq victoires pour jouer les chibanis ou les divas. Je suis un élève-pilote sortant de l’école de chasse avec certes un carnet de vol plus copieux, mais c’est tout, je ne connais du combat aérien rien d’autre que ce que mes instructeurs m’ont enseigné, et même si l’instinct semble présent, il y manque l’expérience ô combien importante du contact fréquent avec l’ennemi.
J’ai la joie de retrouver Pierre Boillot, à présent adjudant et revenu en ligne après sa période d’instruction. Il regrette le D-520, mais le P-40 Merlin (entre pilotes, on utilise plus la désignation US, P-40, que l’étiquette française, H-87) lui semble meilleur que le modèle doté d’un Allison. Le capitaine me désigne comme son ailier. D’aucuns nous prédisent de beaux scores, entre sa science et ma chance…
Ma chance ? Ouais, si l’on veut. Devinez le code radio dont on m’a affublé…“César”, bien entendu ! Chanceux, d’accord, mais marqué au fer !
Les jours suivants sont calmes, pas de sorties de prévues au programme, le groupe panse ses plaies. Je fais néanmoins deux vols avec Pierre afin de repérer les secteurs du front, tout aussi tranquille en bas qu’en haut.
Le 8 mai n’a rien de spécial. En plus, le temps est plutôt couvert. Pourquoi faut-il donc que ces damnés Boches viennent jouer les trouble-pas-fête ? Le klaxon d’alerte retentit alors que nous en sommes au petit déj’, si on peut appeler ainsi les biscuits trempés dans un café pas vraiment noir. Mais bon, à cette heure-ci, je suis mal réveillé, et quand en prime on vient interrompre un moment important de mise en route, je suis colère !
Je fonce vers l’abri de mon avion, un ensemble de pierres et de fûts d’essence ou d’huile remplis de terre, couvert d’un filet de camouflage soutenu par des perches de bois résineux comme le vin local. Quand j’y arrive, Marceau a déjà mis le moulin en route, et Monbrausse m’aide à enfiler le parachute tandis que je mets mon casque, pas le temps d’en faire plus. Les patrouilles d’alerte ont déjà décollé quand je m’installe à bord, et peu à peu, d’autres avions s’alignent et décollent dans un apparent désordre indescriptible. Les mécanos enlèvent les cales, et je roule vers la piste, rejoignant Pierre devant moi. Un groupe de 4 Spitfire du GC I/1 décolle devant nous, deux autres P-40 nous rejoignent, dont le capitaine Hugo. A nous de prendre l’air à la fusée verte, tout en surveillant le ciel, s’agit pas de se faire tirer au décollage, c’est le moment le plus délicat, du moins celui où nous sommes les plus vulnérables.
Train et volets rentrés, nous prenons de la vitesse puis grimpons en prenant le cap crachoté par la radio. Rapidement, les formations ennemies sont en vue, les bombardiers vers 4-5 000 mètres déjà engagés par les avions des patrouilles de couverture, et les chasseurs au-dessus. Les Spit devant nous grimpent vers les chasseurs, et crânement nous les suivons, inhalateur sur le nez et lunettes sur les yeux. Un groupe de 109 fonce sur nos chasseurs qui sont en train de disloquer la formation de bombardiers, des Ju 88. Un autre groupe, une douzaine d’avions au nez blanc, vient vers les Spit donc vers nous. Je me dis que s’ils virent pour engager les Spit après les avoir croisés, ils seront à notre portée… Mais c’est trop beau, seuls quatre d’entre eux prennent les Spit en combat tournoyant, les autres nous dégringolent dessus. Nous sommes trop vite pour ajuster notre tir, mais eux aussi, et si le ciel se remplit de traçantes, c’est carrément du jugé, et le résultat du hasard si l’une d’entre elles atteint quelque chose. Match nul cette fois, aucun coup au but. “Victor”, indicatif radio du capitaine, et “Devie” (Pierre) poursuivent néanmoins sur le schwarm allemand qui a attaqué les Spit, nous les suivons et ensemble nous dégageons ceux-ci d’adversaires collants. A leur tour, les Spit s’en prennent aux 109 qui revenaient vers nous. La mêlée est confuse, et je m’efforce se suivre Pierre à distance tout en gardant la tête montée sur roulement à billes. Un 109 F solitaire sortant d’un nuage à notre droite pointe son nez sur Pierre qui poivre consciencieusement un de ses collègues en train de prendre feu. Je hurle à la radio « Devie, dégage à gauche ! », ce qu’il fait aussitôt. Le 109 s’encadre devant moi, je fais feu à courte distance, j’ai le temps d’identifier un 4 rouge sur le fuselage. Mes balles pulvérisent son aileron droit et sa verrière, l’avion bascule sur le dos et tombe en vrille, mais je prends des éclats dans la tronche, heureusement sans effet apparent. Je ne vérifie pas la chute du Messer, car un autre a pris place dans ma queue, et cette fois, c’est moi qui dégage en spirale ascendante, pendant que Pierre vient me sortir d’affaire. Nous achevons cette première sortie en mitraillant un Ju 88 qui file au ras du sol vers le nord après sa passe de bombardement sur le port, mais il s’éloigne en fumant après que nous ayons tiré nos dernières cartouches, et nous rentrons au terrain pour ravitailler.
Notre Ju 88 est compté comme endommagé. Je confirme la victoire sûre de Pierre sur le 109 en feu et j’en déclare un probable pour moi. Il sera confirmé le surlendemain, des soldats ayant découvert la carcasse d’un 109 “4 rouge” vers Anthia.
Par contre, les dégâts sur mon P-40 sont plus importants que je ne le pensais. Outre le fait que les débris du 109 ont arrosé tout l’avion d’impacts, le radiateur est endommagé, il faut le changer. Le hic, c’est qu’il est d’un type différent de celui des Allison, et bien évidemment, aucun dans le stock. Je n’irai pas dans l’après-midi intercepter le raid sur Tripolis, ni le lendemain sur Sparte.
Le 10, on remonte le nouveau radiateur, mais le 11, temps maussade. Ainsi va la vie, on ne fait jamais comme on veut !
Le 12, malgré un temps plutôt pourri, les Allemands attaquent Gythion. Forte bagarre, mais à mon avis, il y a plus de pertes dues au mauvais temps qu’à nos armes. Toujours en ailier de Pierre, je l’aide à descendre un Ju 88 qui s’écrase sur le port et j’endommage un 109 qui part s’enfuir dans les nuages bas assez nombreux.
La routine s’installe… Alertes, patrouilles, le plus souvent sans résultat.
Le 15, on apprend que les gars du II/1 et du III/1 rentrent en AFN, en laissant leurs Spit V aux Anglais. Il paraît qu’on va les équiper du fameux Mustang. Mais il se murmure que la 7e pourrait elle aussi repartir bientôt pour en faire autant. Moi qui vient juste d’arriver au combat, ça ne m’arrange pas trop, mais je comprends le soulagement et la joie des autres, un peu de repos et du matériel neuf, ça stimule !
Le 17, je suis d’alerte l’après-midi. On nous envoie sur Sparte, déjà matraqué ce matin par des bombardiers. En approchant de la ville antique maintenant en feu, on aperçoit au loin une vague de Stuka qui approche. Les Anglais sont déjà au travail et le ciel est rempli de traînées diverses, blanches ou noires, ainsi que d’éclatements de DCA, sans que l’on sache qui tire sur quoi. Nous avons pris notre place en altitude. Je suis aujourd’hui l’ailier du capitaine et nous fonçons plein pot vers les chasseurs en couverture, dont un groupe nous a repérés et oblique dans notre direction. Ce sont à nouveau les nez blancs du III/JG 27 – on m’a dit de me méfier d’un “14 jaune” comme de la peste. Passe frontale, mais cette fois nous avons plus de temps les uns et les autres pour ajuster nos tirs. “Victor” affronte un 109 pleine face, je reste à ses côtés, m’efforçant de ne pas être trop de face justement, et au dernier moment, un coup de palonnier et sans vraiment ajuster ma cible, le voisin du 109 de mon chef, je fais feu d’une courte rafale des six Browning. Tandis que « Victor » frôle son adversaire, je vois le mien s’enflammer au niveau du moteur en le croisant sur la tranche. Nous dégageons en spirale ascendante par la droite, ce qui surprend sans doute quelque peu les pilotes des 109, peu habitués à voir des P-40 à cette altitude ! Cela me permet aussi de voir “mon” 109 tomber en vrille et bien en feu. Deux Messer sont également partis en ascendante, nous les croisons de près sans que personne puisse se mettre en position de tir, mais cela suffit pour constater la présence du “14 jaune”… Je frissonne. Nous poursuivons notre virage en serrant plus fort, mais les deux 109 ont piqué à présent en se retournant. On essaye de les suivre un instant, mais ils nous larguent avec une facilité dérisoire, et le capitaine n’insiste pas, surtout que les cibles potentielles sont nombreuses. On reprend de l’altitude et on fonce dégager un Curtiss en difficulté, poursuivi par trois 109. “Victor” se place en situation idéale, fait feu à 150 m et sa cible part en vrille, queue déchiquetée. Les traçantes ont réveillé ses coéquipiers qui dégagent brusquement. L’un d’eux passe dans mon collimateur, une courte rafale fait des étoiles sur ses ailes et son plan fixe, il pivote sur l’aile et pique. Je ne tente pas de le suivre, non seulement c’est inutile, mais en prime je perdrais mon chef de vue !
Mon chef, justement, essaye de s’accrocher aux basques du troisième élément, qui semble en connaître un bout en acro de combat. Je les suis, quelque peu distancé par mon tir d’opportunité peu fructueux, jusqu’à ce que l’Allemand fasse un tonneau déclenché en sortant les volets et réduisant tout ! “Victor” est surpris et passe devant le Messer qui commence à lui tirer dessus. Sauf qu’il n’a pas regardé ses six heures, et je pointe ma casserole dans sa queue par-dessous à moins de 100 m. Le plomb américain ne pardonne pas, surtout à cette distance ! Ailes et radiateurs percés, le Messer pique en fumant, la verrière s’ouvre et le pilote saute. « Ave César ! Merci beaucoup ! » Entends-je à la radio… Je m’abstiens de lui répondre « De rien, grandes oreilles » car j’ignore s’il connaît la blague.
Comme toujours, le ciel se vide d’un coup. De part et d’autre, des avions s’éloignent en fumant, le plus souvent au ras du sol. On pourrait certes en poursuivre un, mais ce serait aussi se soumettre au tir des batteries de Flak de l’ennemi, l’enjeu n’en vaut pas la chandelle, surtout que l’épuisement soudain nous prend après la tension de la bataille. Alors on se regroupe, et on rentre au terrain. La routine…
Comme le capitaine se permet un tonneau au retour, j’en boucle deux à mon arrivée. J’ignore encore que l’A/C Passemard a achevé le 109 que j’avais égratigné et qu’il me sera compté en collaboration, habitude de l’AdA que je ne saisis pas trop. Deux croix s’ajouteront sous mon habitacle, ce qui n’est déjà pas si mal.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 10:59    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Le 8 mai n'a rien de spécial
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Archibald



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Messages: 9410

MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 12:11    Sujet du message: Répondre en citant

Toujours aussi bon ! Le P-40 est quelque peu mal aimé (vrilles traitres, performances limitées) mais ici il retrouve ses lettre de noblesse...
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Wardog1



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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 12:15    Sujet du message: Répondre en citant

Julius va il abattre un pilote portant le nom d'une de nos ville du sud de la France?
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 12:29    Sujet du message: Répondre en citant

Wardog1 a écrit:
Julius va il abattre un pilote portant le nom d'une de nos ville du sud de la France?

Négatif - celui-ci a son destin scellé (et il est quelques crans au dessus des premières victimes de "César".
_________________
Casus Frankie

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Capu Rossu



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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 12:33    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

Wardog1 a écrit :

Citation:
Julius va il abattre un pilote portant le nom d'une de nos ville du sud de la France?


Non, dans la chrono Méditerranée, mais j'ai oublié le mois et l'année, le dit pilote est victime d'un accident : son appareil prend feu au retour d'une patrouille sur le Péloponnèse et en se parachutant il est heurté par la dérive de son appareil et s'écrase car il n'a pu ouvrir son parachute.

@+
Alain

PS : dans divers sites, j'ai vu les deux orthographes : Marseille et Marseilles. Quelqu'un peut-il trancher ?
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Wardog1



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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 12:33    Sujet du message: Répondre en citant

le pilote français james denis va apparaitre dans la ftl?Car OTL je crois que c'est le seul pilote allié qui ai abattu Marseille deux fois!
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Etienne



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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 13:32    Sujet du message: Répondre en citant

OTL, James Denis est au II/3 fin 40, donc FTL il devrait y rester, sauf cas particulier. Or FTL la 3e EC ne va pas en Grèce, du moins, d'après mes notes; difficile donc de rencontrer Marseille

Capu Rossu a écrit:

Non, dans la chrono Méditerranée, mais j'ai oublié le mois et l'année, le dit pilote est victime d'un accident : son appareil prend feu au retour d'une patrouille sur le Péloponnèse et en se parachutant il est heurté par la dérive de son appareil et s'écrase car il n'a pu ouvrir son parachute.

30 août 42, c'est le même scénario qu'OTL.

Pour le nom, moi je l'ai toujours cru sans S, c'est ici que je l'ai découvert avec.
Il me semble d'ailleurs avoir vu aussi "2 jaune" à la place du "14 jaune", mais je n'ai pas retrouvé (ni vraiment cherché)
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loic
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MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 13:48    Sujet du message: Répondre en citant

Etienne a écrit:
OTL, James Denis est au II/3 fin 40

Houlà, je sais bien que Wikipedia est à prendre avec des pincettes, mais là on a quelque chose de très différent et surtout repris du site de l'Ordre de la Libération :
Citation:
Engagé volontaire dans l'aviation par devancement d'appel en 1925, [James Denis] est d'abord mitrailleur avant d'obtenir son brevet de pilote de chasse en 1929.

Affecté ensuite avec les troupes d'occupation en Allemagne au 33e Régiment d'Aviation à Mayence, il demeure dans son unité, rebaptisée 3e Groupe du 3e Régiment de Chasse et basé à Châteauroux à partir de 1930, jusqu'en 1936.

Affecté ensuite à Dijon à l'escadrille 2/3 "les Lévriers", James Denis doit quitter la chasse en raisons de problèmes de santé et rejoint sa nouvelle affectation d'instructeurà l'Ecole des radio-navigants de Saint-Jean-d'Angély.

Il entend l'Appel du 18 juin. Dès le lendemain, refusant la défaite, il s'empare d'un Farman 222 sortant des ateliers de réparations de La Rochelle et, le 20 juin, décolle du terrain de Saint-Jean-d'Angely, avec à son bord 19 passagers, parmi lesquels le capitaine Goumin, André Cantès, Roger Speich, Louis Ferrant et des jeunes élèves de l'Ecole de Radio.

Il atterrit le matin même en Angleterre où il s'engage dans les Forces françaises libres.

_________________
On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...
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Etienne



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Messages: 2837
Localisation: Faches Thumesnil (59)

MessagePosté le: Mer Mar 01, 2017 13:55    Sujet du message: Répondre en citant

Quelle différence entre II/3 et 2/3? Laughing

Au 20 juin, on est déjà FTL.

Donc après, il peut très bien reprendre sa place, à moins qu'on ne l'ait affecté ailleurs?
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