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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Ven Mar 03, 2017 09:57 Sujet du message: |
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Wardog1 a écrit: | j’attends avec impatience l'arrivé du HMS vogue merry et son équipage! |
Pardon ? _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe. |
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Colonel Gaunt
Inscrit le: 26 Mai 2015 Messages: 1924 Localisation: Val de Marne
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Posté le: Ven Mar 03, 2017 10:11 Sujet du message: |
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Là par contre, introduire One Piece dans l'histoire, sera un peu plus compliqué. _________________ Les guerres de religion consistent à se battre pour savoir qui a le meilleur ami imaginaire
Citation vue sur le net |
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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Ven Mar 03, 2017 12:53 Sujet du message: |
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Ah, d'accord... _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe. |
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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Sam Mar 04, 2017 18:28 Sujet du message: |
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13 janvier
Hôtel métropole Hanoi, QG des forces japonaises en Indochine.
La salle de conférence n'était qu'à moitié occupée par les officiers supérieurs et leur ordonnance. La fumée des cigarettes épaississait l'air. Les rideaux étaient tirés et seul le léger bourdonnement du projecteur de diapositive se faisait entendre.
- Ce cliché est plus clair, général.
Andou Rikichi lissa sa moustache en se rencognant dans son fauteuil. Ses yeux foudroyaient le long serpent d'hommes qui sinuait dans les collines au sud-ouest de Cao Bang.
- Très bien, ça suffit ! Rallumez la lumière.
Tandis que les militaires de moindre rang se précipitaient pour exaucer le général, ses subordonnés directs tournèrent leurs chaises pour faire face aux documents ouverts sur leurs sous-mains. Le colérique gouverneur militaire de l'Indochine se mit à grogner comme l’otarie dont il avait le faciès.
- Alors, l'un d'entre vous va-t-il encore prétendre que nous avons anéantis la moitié des effectifs des colonisateurs ?
Les officiers restèrent droits dans leurs fauteuils, laissant passer l'orage. Aucun ne voulait prendre la parole. Toutefois, Le général Andou Rikichi ne l'entendait pas ainsi !
- Et bien personne ne s'exprime plus quand il ne s'agit pas de se vanter ? ! Dois-je vous donner l'ordre de répondre ?
Le colonel Kitaï Ishibashi se redressa.
- Mon général, il n'y a que deux possibilités. Soit votre ire est justifiée et nous ne savons plus compter les corps et les fusils. Ou alors nous nous sommes trompés sur les capacités des colonisateurs à former et équiper des troupes.
Son voisin, le major Wuriu Sengu, un colosse, prit à son tour la parole.
- Mon respecté supérieur a bien résumé la situation. J'aimerais toutefois soulever un point, si vous me le permettez général.
- Faites !
- Et si nous ne nous étions pas trompés dans l'évaluation des moyens de l'ennemi comme dans leur rapidité à remplacer les armes perdues au cours des trois derniers mois ?
Andou Rikichi fronça les sourcils derrière ses lunettes rondes.
- Expliquez-vous, Sengu-san. S'ils sont aussi affaiblis que vous le pensez, cet assaut est absurde.
- Votre excellence, la bonne question à se poser consiste à se demander pourquoi ils tiennent tellement à attaquer Cao Bang !
Les officiers discutèrent encore un moment, mais ils furent incapables d'avancer la moindre hypothèse.
Même jour,
Base Épervier
Le colonel Devèze toqua et attendit que le secrétaire du chef d'état-major l'introduise auprès du général Alessandri. Ce dernier eu l'air d'avoir mordu dans en citron en découvrant l'air préoccupé du commandant des forces aériennes en Indochine.
- Que se passe-t-il colonel ? Vous avez votre tête des mauvais jours.
- Je vous amène le rapport des observateurs aériens qui accompagnent le 4ème RAC.
- Depuis quand jouez-vous les courriers ?
- Depuis que les nouvelles me préoccupent. Je trouve que l'on tire un peu trop sur la corde ! Les Japonais ne sont pas idiots, ils vont bien finir par comprendre que nous laissons passer leurs appareils de reconnaissance.
Alessandri prit un air patient.
- Colonel, nous ne risquons pas grand chose. Au pire, les buveurs de saké n'avaleront pas l'hameçon. Ce ne sera pas la fin du monde. Si vous m'expliquiez ce qui vous chagrine tant ?
Devèze se sentit percé à jour et fit contre mauvaise fortune bon cœur.
- Je me sens mal à l'aise que tant d'énergie soit dépensée dans une diversion. Toute l'opération "Année de la Victoire" me rend nerveux.
Alessandri croisa ses mains sous son menton.
- Ou alors vous ne supportez pas que le nom de code soit une idée de l'oncle Hô et que les Viethminhs aient le rôle le plus important.
- Peut-être...
- Laissez la politique à Jean Sainteny. Si tout se passe bien, une grande partie du Vietnam pourrait être libérée en économisant le sang de nos hommes. Pour cela, il faut que les Japonais continuent de regarder dans la mauvaise direction. Colonel ?
- Oui mon général ?
- Renforcez la couverture aérienne au-dessus du 4ème RAC. Vous avez raison, les avions d'observation ont ramené assez de photos... des appareils qui ne reviennent pas les convaincront davantage que nous préparons quelque chose.
14 janvier
Quelque part sur la route entre Cao Bang et Ngan-s'on
Le caporal Kazuya Kujo s'abrita derrière le mur de sac de sable et tira avec son fusil Arisaka Type 38. Il avait jeté le FM pour pouvoir fuir l'embuscade deux jours plus tôt. Savoir que sans munition, il s'agissait plus que d'un poids inutile ne l'empêchait pas de rager d'être à présent démuni de sa puissance de feu.
Les claquements des carabines utilisées par les assaillants, et les rafales des mitraillettes terrifiaient le voisin de Kujo, un jeune soldat qu'il ne connaissait pas.
- Les Américains ont débarqué en Indochine.
Malgré la violence de l'affrontement, le caporal sourit. Comme il avait achevé de changer de magasin, Kujo se releva. Le fusil se cabra deux fois. Il avait visé le soldat qu'il avait repéré près de l'arbre. Il vit distinctement le sang jaillir sur la vareuse près de la grenade accrochée à la poche de poitrine.
- Aidez-moi, m*rde, je suis touché...
L'homme qu'il avait blessé parlait français, mais avec un accent qu'il n'avait jamais entendu au cours de ses études. L'uniforme, le casque... même leurs armes devaient avoir été fabriquées par les Américains. Mais ces hommes n'en étaient pas. Il ne s'agissait pas non plus de Vietminhs, qui n'auraient jamais osé attaquer un fortin en plein jour !
Tout autour de l'avant-poste, parmi les arbres et les rizières, Japonais et Français s'affrontaient. Les assaillants formaient un arc de cercle du sud-est au nord est mais le groupe le plus importants tenait une colline à l'est. Les soldats impériaux avaient lancé une contre-attaque dans cette direction, toutefois les choses ne se passaient pas particulièrement bien. Au moins deux équipes d'armes collectives - probablement des BAR- hachaient la végétation. De nombreux morts et mourants étaient couchés entre le mur de sacs de sable du fortin et le bas de la butte tenue contre eux. Plus haut, des Français tiraient en contrebas avec leurs carabines US-M1 ou leurs mitraillettes Thompson.
Les FM Japonais et leurs fusils ripostaient, tentant de contenir l'assaut. Seulement, les adversaires se révélaient particulièrement tenaces. Kujo venait de se redresser tirant coup sur coup les trois dernières balles de son magasin quand une grenade explosa près de lui. Il s'était baissé juste à temps... pas son camarade.
Le soldat s'effondra, crachant du sang. Kazuya Kujo le tira à l'abri puis regarda la poitrine mais le sang coulait de la gorge... ce n'était pas très joli... un éclat avait coupé l'aorte. L'hémorragie allait le vider, peut-être pire... il fallait comprimer la plaie mais aussi éviter d'obstruer l'aorte ce qui serait tout aussi mortel. Alors que les coups de feu continuaient autour de lui, Kujo s'acharna à sauver le soldat. Seulement, il n'était pas médecin...
Si Victorique était là, elle lui dirait quoi faire, elle le savait toujours... mais il était seul. Depuis le commencement de cette guerre il était seul.
Miséricordieusement, le jeune blessé ne reprit pas conscience et mourut en seulement quelques minutes. Autour d'eux, les combats s'affaiblissaient. Les infirmiers français récupéraient leurs blessés et les équipes de feu les couvraient. Mais les Japonais mourraient sans soin alors que leurs officiers continuaient à ordonner l'attaque.
Vacillant sur ses jambes, Kujo se laissa tomber contre un mur et regarda ses mains poissées d'écarlate, même ses bras et ses jambes étaient couverts d'hémoglobine. Il n'avait pas de blessure... encore une fois, quelqu'un avait fini sa vie à côté de lui, sans qu'il ne soit blessé. Depuis l'âge de quinze ans cette malédiction le suivait. Lorsqu'il était en France on le surnommait "Le sombre ange de la mort du printemps". Il s'était retrouvé accusé de meurtre et une camarade de classe l'avait sauvé grâce à son incroyable esprit de déduction... Il ne l'avait côtoyé que pendant quelques mois, et cinq ans s'était écoulés. Mais tous les jours il pensait à elle. Où pouvait-elle bien être ?
15 janvier
Myitkyina (Birmanie)
La ville était stratégique à cause de son port, de ses routes et de son chemin de fer. C'était un carrefour important pour ravitailler Kunming en Chine mais aussi Dien Bien Phu au Vietnam.
Son aérodrome accueillait des chasseurs, des bombardiers et beaucoup d'avions cargos venus faire le plein avant d'affronter "the Hump" (la Bosse) surnom que les aviateurs donnaient à l'Himalaya. La plus grande partie du trafic des DC-3 se faisait donc sur la ligne Calcutta-Myitkyina-Kunming... mais pas tous.
Donald Harver, américain et pilote civil avant guerre avait transporté de tout entre Casablanca et Dien Bien Phu. Des hommes, des bombes, des munitions, même un radar anglais. Pourtant il lui arrivait encore de recevoir des chargements surprenants.
Il la regarda une nouvelle fois de bas en haut et de haut en bas.... Une gamine habillée comme une infirmière, avec le tablier blanc et la coiffe. Le visage de porcelaine rougissait et les yeux verts jetèrent des éclairs. Harver n'aurait même pas été étonné si de la fumée s'était mis à lui sortir par les narines. La petite évoquait irrésistiblement une marmite sous pression !
Le pilote savait qu'il allait dire quelque chose de stupide, seulement son esprit était vide....
- C'est mardi-gras aujourd'hui à Myitkyina ?
Le bras de la petite se détendit si vivement qu'il recula craignant d'être frappé. Il comprit avec un temps de retard qu'elle venait de lui mettre ses papiers d'identités sous le nez.
- J'ai vingt ans ! (puis elle rougit d'embarras) je n'y peux rien si je suis toute petite.
- D'accord, d'accord... mais il me faut...
- Une autorisation d'embarquement.
La jeune femme déplia un papier qu'elle montra au pilote. Ce dernier abdiqua.
- Bon montez à bord, mais je vous préviens ce n'est pas très confortable.
- Enfin !
Refermant l'ombrelle de broderie noire, elle remonta d'une main le bas de sa robe et gravit l'échelle de coupée avec la gravité hautaine d'une reine regagnant son trône.
- Et bien qu'est-ce que vous attendez pour prendre mes bagages ? !
Dès qu'ils eurent décollés, la poupée - Harver n'arrivait pas même en pensée à la qualifier de "naine", elle était trop jolie- changea encore d'attitude. Elle courut d'un hublot à un autre, l'air émerveillée, pour regarder les nuages qui défilaient sous l'appareil. Une nouvelle fois, l'infirmière ressemblait à une petite fille.
- Jamais monté à bord d'un avion ?
- Non... j'ai fais le voyage en bateau, puis en train.
- Et vous êtes parti d'où ?
- De Lisbonne il y a trois ans. J'allais au Japon, mais la déclaration de guerre après l'invasion nippone a détourné mon navire jusqu'aux États-Unis ! Je suis allée ensuite en Algérie, puis à Ceylan... moi qui n'avais jamais quitté la région où je suis née.
- Vous alliez au Japon ?
- Oui !
Au ton, l'Américain comprit que le sujet était sensible et que l'infirmière n'en dirait pas plus.
- Et... qui vous êtes ?
- Vous aviez ma carte d'identité sous les yeux et vous n'avez pas regardé ? Je m'appelle Victorique de Blois. _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.
Dernière édition par Anaxagore le Dim Mar 05, 2017 10:23; édité 9 fois |
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Imberator
Inscrit le: 20 Mai 2014 Messages: 5467 Localisation: Régions tribales au sud-ouest de Nîmes.
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Posté le: Sam Mar 04, 2017 18:35 Sujet du message: |
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Citation: | Quelque part sur la route entre de Cao Bang et Ngan-s'on |
_________________ Point ne feras de machine à l'esprit de l'homme semblable ! |
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Imberator
Inscrit le: 20 Mai 2014 Messages: 5467 Localisation: Régions tribales au sud-ouest de Nîmes.
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Posté le: Sam Mar 04, 2017 18:39 Sujet du message: |
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Citation: | La ville était stratégique à cause de son port, de ses routes et de son chemin de fer. |
_________________ Point ne feras de machine à l'esprit de l'homme semblable ! |
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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Sam Mar 04, 2017 18:49 Sujet du message: |
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Merci ! _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe. |
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bonatti
Inscrit le: 05 Sep 2010 Messages: 301 Localisation: haute savoie
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Posté le: Sam Mar 04, 2017 22:47 Sujet du message: indochine 1944 |
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ah ah oui enfin une douce présence feminine et j espére qu on entendra beaucoup parler |
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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Sam Mar 04, 2017 22:59 Sujet du message: |
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Douce... ** manque de s'étouffer ** ... oui, on en entendra encore parler. _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe. |
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Wardog1
Inscrit le: 29 Aoû 2015 Messages: 1050 Localisation: Puy de Dome,France
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Posté le: Dim Mar 05, 2017 00:38 Sujet du message: |
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En fait les seuls japonais qui ne devaient pas commettre de crime de guerre et respecter la convention de genéve c'étaient ceux du 442 régiment...de l'us army! |
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Casus Frankie Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 13804 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Mar 05, 2017 01:48 Sujet du message: |
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@ Anaxagore : une question et une observation.
1) C'est bien Ngan-s'on ? Il n'y a pas de coquille ??
2) C'est Jean Sainteny (pas "de" Sainteny). _________________ Casus Frankie
"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire) |
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Capu Rossu
Inscrit le: 22 Oct 2011 Messages: 2554 Localisation: Mittlemeerküstenfront
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Posté le: Dim Mar 05, 2017 09:20 Sujet du message: |
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Bonjour,
Citation: |
J'ai vingt ans ! (puis elle rougit d'embarras) je n'y peux rien si je suis toute petite. |
Citation: | mais la déclaration de guerre après l'invasion nippone a détourné mon navire jusqu'aux États-Unis ! |
@+
Alain |
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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Dim Mar 05, 2017 10:11 Sujet du message: |
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Casus Frankie a écrit: | @ Anaxagore : une question et une observation.
1) C'est bien Ngan-s'on ? Il n'y a pas de coquille ??
2) C'est Jean Sainteny (pas "de" Sainteny). |
1) Je prends les noms sur les cartes (française des années 20-30) que l'on trouve sur ce site http://belleindochine.free.fr/Carte.htm l'orthographe des noms asiatiques était anarchique à l'époque, mais c'est celle adoptée sur les cartes d'époque...
2) Je corrige _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe. |
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Anaxagore
Inscrit le: 02 Aoû 2010 Messages: 10079
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Posté le: Dim Mar 05, 2017 10:15 Sujet du message: |
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Capu Rossu a écrit: | Bonjour,
Citation: | mais la déclaration de guerre après l'invasion nippone a détourné mon navire jusqu'aux États-Unis ! |
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ça c'est d'avoir réécris plusieurs fois la phrase. _________________ Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe. |
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FREGATON
Inscrit le: 06 Avr 2007 Messages: 4052 Localisation: La Baule
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Posté le: Dim Mar 05, 2017 10:17 Sujet du message: |
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Anaxagore a écrit: |
Le caporal Kazuya Kujo s'abrita derrière le mur de sac de sable et tira avec son fusil Arisaka Type 38. ..... Comme il avait achevé de changer de chargeur, Kujol se releva.....Kujo venait de se redresser tirant coup sur coup les trois dernières balles de son chargeur |
Infime petit détail: magasin serait plus adapté que chargeur dans le cas d'un Arisaka type 38. _________________ La guerre virtuelle est une affaire trop sérieuse pour la laisser aux civils. |
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