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front d'Ukraine du Sud et de la mer Noire
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Andrew



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MessagePosté le: Lun Oct 10, 2016 13:57    Sujet du message: Répondre en citant

En effet,dans l'Armée Rouge on parle de Front ce qui équivaut à une armée ou un groupe d'armées dans les armées occidentales.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 11:10    Sujet du message: Répondre en citant

Comment est organisé une division mécanisée soviétique ?
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ciders



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 11:44    Sujet du message: Répondre en citant

Un corps mécanisé plutôt ? La nouvelle annexe sur l'Armée Rouge entre 1942 et 1944 donne l'ordre de bataille de ce type de formation, pages 19 et 20. En gros, trois brigades d'infanterie mécanisée, une brigade blindée et les formations qui vont avec.

OTL, la brigade mécanisée de fusiliers type 1944-1945 ressemble à ça : http://www.niehorster.org/012_ussr/45_organ/45_brigade_mech.htm

Et la division mécanisée type 1941 à ça : http://www.niehorster.org/012_ussr/41_organ/div_mech/mech-div.html
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 12:13    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne trouve pas de renseignement sur l'automoteur anti-char Su-45... je suppose qu'il n'a jamais existé OTL (le Su-45 est OTL une... locomotive)

Logiquement en FTL, c'est le châssis d'un T-50 avec un canon 53 k de 45 mm.
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ciders



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 12:28    Sujet du message: Répondre en citant

La postface du tome 2 mentionne un chasseur de chars léger équipé d'un canon de 45 mm Obr.1934-1938. On pourrait aussi envisager des conversions à partir de vieux châssis de T-26 obsolètes.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 12:29    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, j'ai lu tout ça....
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le poireau



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 13:40    Sujet du message: Répondre en citant

ciders a écrit:
Un corps mécanisé plutôt ? La nouvelle annexe sur l'Armée Rouge entre 1942 et 1944 donne l'ordre de bataille de ce type de formation, pages 19 et 20. En gros, trois brigades d'infanterie mécanisée, une brigade blindée et les formations qui vont avec.

OTL, la brigade mécanisée de fusiliers type 1944-1945 ressemble à ça : http://www.niehorster.org/012_ussr/45_organ/45_brigade_mech.htm

Et la division mécanisée type 1941 à ça : http://www.niehorster.org/012_ussr/41_organ/div_mech/mech-div.html


Oui mais FTL les corps mécanisés nouvelle formule n'apparaissent qu'au second semestre 43, fin 42 ce sont encore les corps blindés (ob dans la même annexe : en gros 3 brigades blindées + 1 brigade d'infanterie motorisée + éléments organiques type artillerie, génie...)
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ciders



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 13:45    Sujet du message: Répondre en citant

Effectivement mais la question d'Anaxagore portant sur les corps mécanisés, je pensais qu'il s'agissait d'une projection pour des unités devant intervenir plus tard dans la campagne, peut-être pour la future offensive destinée à "libérer" la Roumanie (avec un an d'avance sur les combats OTL).

Pour les SU-45, je n'ai rien trouvé non plus qui y ressemble OTL. Mais ce n'est pas bien grave puisqu'il ne devrait plus y en avoir beaucoup en service après la chute d'Odessa. Peut-être que certains auraient pu tomber dans les mains des Roumains, mais ça ne devrait pas aller beaucoup plus loin.
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le poireau



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 14:46    Sujet du message: Répondre en citant

ciders a écrit:
Effectivement mais la question d'Anaxagore portant sur les corps mécanisés, je pensais qu'il s'agissait d'une projection pour des unités devant intervenir plus tard dans la campagne, peut-être pour la future offensive destinée à "libérer" la Roumanie (avec un an d'avance sur les combats OTL).

Pour les SU-45, je n'ai rien trouvé non plus qui y ressemble OTL. Mais ce n'est pas bien grave puisqu'il ne devrait plus y en avoir beaucoup en service après la chute d'Odessa. Peut-être que certains auraient pu tomber dans les mains des Roumains, mais ça ne devrait pas aller beaucoup plus loin.


Pour le secteur roumain nous avons prévu à l'avenir quatre opérations successives : Saturne fin 42-debut 43 qui aboutira à la libération d'Odessa, Molot au printemps 43 qui emportera la moitié de la Moldavie, Iasi-Izmail à la fin de l'été 43 qui entrera certes en Roumanie mais butera sur les contreforts des Carpathes (quoi que la Dobroudja soit prise à cette occasion) et l'offensive finale du printemps 44 qui emportera Bucarest et tout le reste.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 15:26    Sujet du message: Répondre en citant

12 novembre, Nikolaïev, Ukraine

La gare de Nikolaïev-Vantazhnyi se trouvait non loin de l'hôpital. Les trains qui venaient de l'est débarquaient un flot continu de civières et de blessés, entourés d'infirmières épuisées. Ils venaient du front à l'ouest. Par une cruelle ironie, une locomotive crachant des rubans de vapeur noire arrivait de l'est sur la voie d'en face. Les deux premiers wagons derrière le tender de charbon consistaient en un local blindé garni de meurtrières et un plateau entouré de sacs de sable d'où pointait un canon antiaérien 72-K de 25 mm.
Les voitures qui venaient ensuite abritaient de nombreux passagers qui regardaient les blessés que l'on sortait de l'autre train avec un mélange de tristesse, de répulsion et d'effroi. Il s'agissait de jeunes soldats, juste incorporés, n'ayant reçu que le minimum d'instruction militaire. Ils avaient passé l'essentiel du voyage à rire, à se chamailler et faire assaut de bravades... comme les adolescents qu'ils étaient encore.
Le silence s'était brutalement abattu sur les jeunes gens. Ils regardaient de tous leurs yeux et comprenaient soudain que le vrai visage de la guerre était là sur ce quai de gare. Les mutilés... les brûlés... ces hommes vêtus de loques d'uniformes qui gémissaient. Ils avaient un jour été comme eux, bravaches, sûrs de leur immortalité ! Et puis ils avaient rencontré l'ennemi.
Étaient-ils chanceux d'avoir survécu ? Quelle serait leurs vies ? Quelle femme épouserait un homme au visage ravagé ? Comment retourner à l'usine quand il vous manque un bras ou une jambe...
C'était des questions d'adultes, des questions qui reflétaient une maturité soudaine, gagnée d'un coup au contact de la réalité.
Alors que le train s'arrêtait dans le sifflement de la vapeur et le halètement des pistons, les officiers se mirent à crier des ordres... trop fort... trop cinglants... il fallait houspiller les bleus ne pas leur laisser de temps pour mémoriser la scène... commencer à réfléchir... commencer à avoir peur.
On lâcha les jeunes soldats par paquets, casque à la ceinture, calot sur la tête, fusil en bandoulière, les épaules alourdis du havresac réglementaire. Puis au pas de gymnastique, ils gagnèrent le hall central.
Entre deux groupes de soldats, un jeune lieutenant mit pied à terre. Son uniforme était neuf, à peine froissé par l'interminable voyage en train. Cependant, son visage maigre, émacié, ses yeux gris trahissaient une expérience qui dépassait de loin les quelques années qui le séparaient des conscrits. Il regarda les blessés et les infermières, hochant lourdement la tête... déjà blasé par la souffrance humaine.
Il se retourna pour aider une femme sergent. Cette dernière, appuyée sur une béquille, ne pouvait poser le pied gauche au sol.
Marchant au même rythme lent, les deux jeunes gens atteignirent le hall de gare. La lumière qui tombait des fenêtres quadrillées de bandes adhésives révélait une cohue d'uniformes en tout genre. Des colonnes allaient des guichets aux quais, des quais aux portes, des portes aux guichets, canalisés par des soldats du NKVD, arrogants, fiers de la peur qu'ils inspiraient.
Le lieutenant regarda autour de lui, incertain.
Il avait voyagé avec les nouvelles recrues, mais il n'en était pas une... normalement, quelqu'un devait l'attendre. Ses yeux parcoururent la foule cherchant... là, un groupe immobile d'officiers. L'un d'eux brandissait un panneau avec un seul nom en alphabet cyrillique. Ils fouillaient la cohue du regard. Eux aussi cherchaient quelqu'un.
Le lieutenant joua des coudes et des épaules pour traverser les rangs pressés des militaires, entrainant le sergent dans son sillage.
- Excusez-moi, camarade, je suis prioritaire, attention au sergent derrière moi, elle a été blessée.
Comme un soldat du NKVD voulait l'empêcher de passer, il montra les officiers rassemblés près de la porte.
- Camarade, c'est moi qu'ils attendent.
L'incident n'était pas passé inaperçu du groupe et des ordres fusèrent. Les tchékistes écartèrent brutalement les recrues pour permettre le passage du jeune officier. Brutaliser... ils savaient faire, l'officier les avait vu tirer sur des miliciens qui fuyaient des chars allemands.
- Lieutenant Aksonov, je suis le commissaire politique Bolotchinov, voici le camarade colonel Poulounine. Soyez le bienvenu à Nikolaïev.
Le colonel Poulounine répondit au salut d'Aksonov puis tendit la main.
- C'est une joie de rencontrer un véritable héros de guerre, camarade capitaine.
Aksonov répondit à la poigne herculéenne de son supérieur, construit comme un ours sibérien, bien conscient que deux des officiers subalternes prenaient des photos au flash.
- Vous faites erreur camarade colonel, je ne suis que lieutenant...
Poulounine l'interrompit d'un gros rire avant de sortir un étui plat de sa poche. Il l'ouvrit pour révéler les pattes d'épaules d'un capitaine.
- Félicitation pour votre promotion, camarade. Vous avez également reçu deux décorations pour votre comportement héroïque lors du siège d'Odessa. D'abord, la médaille militaire de la défense d'Odessa... Je ne peux malheureusement pas vous la remettre tout de suite, cette récompense n'existe que depuis quelques jours et aucun exemplaire physique n'a été fabriqué. Sachez, cependant, que vous êtes la première personne à l'avoir reçu camarade capitaine. Le général Kostenko vous a proposé pour cette décoration au cours du conseil de guerre qui a décidé de sa création.
Le colonel s'interrompit pendant qu'Aksonov échangeait ses pattes d'épaules de lieutenant pour celle de capitaine, puis il ouvrit un écrin. Une médaille frappée de la faucille et du marteau, ornée des lettres cyrilliques CCCP était posée sur le velours.
- Félicitation, camarade Dimitri Ivanovitch Aksonov, vous avez reçu l'Ordre de la Bannière Rouge pour votre héroïsme.
Tandis que le nouveau capitaine se raidissait au garde à vous, le colonel accrocha la médaille suspendue à son ruban bleu à sa boutonnière gauche. Les photographes immortalisèrent la scène. Poulounine se tourna ensuite vers le sergent Ieletcheva.
- Je vous félicite également, sergent-chef Darya Arseniovna Ieletcheva. Vous êtes dès à présent promue au grade supérieur, vous recevez aussi comme votre supérieur, la médaille militaire de la défense d'Odessa. Et vous êtes également décorée de l'Ordre de la Gloire de troisième classe.
Le colonel épingla une étoile argentée sur la poitrine de la jeune femme, suspendue à un ruban jaune et noir.
Les "héros d'Odessa" furent pris en photo côte à côte, avec en fond la foule des recrues

14 novembre, à proximité de Serbka, nord-est d'Odessa.

Le sergent Nataniel Comenaci couvait la pièce antichar Skoda de 37 mm d'un regard possessif. Certes, l'arme était dépassée technologiquement, elle était inefficace contre les T-34 et les KV-1, et peu efficace contre les T-50.... Mais c'était son canon. Heureusement beaucoup d'unités russes (Comenaci ne disait jamais "soviétique") étaient encore dotées de T-26 ou de BT-7M qui restaient vulnérable à ce petit canon aux roues de bois et au minuscule bouclier à peine capable d'arrêter les balles de fusil.
Pour l'heure tiré par un cheval, la pièce était inclue dans le long serpent d'hommes et de charrettes qui progressait à travers champ, longeant la voie ferrée.
À ses côtés, le soldat Moldovan faisait la moue en regardant le même canon.
- Dites, c'est vrai que l'on va remplacer notre canon ?
Comenaci ne put s'empêcher de ricaner. Ils avançaient plus vite que l'intendance, embourbée dans cette boue puante.
- C'est ce que nos chefs ont dit. Mais j'y croirais lorsque je le verrais ce nouveau canon !
Pas vraiment impressionné par le manque d'enthousiasme de son supérieur, le soldat continuait.
- J'ai entendu dire que les Allemands cédaient des canons antichars à leurs alliés !
- Oui.
L'enthousiasme du jeune soldat agaçait le sergent, mais il n'osa pas doucher la bonne humeur du son compagnon. Oui, les Allemands donnaient des PaK 40 à leurs alliés... parce que ce canon de 47 mm était incapable de percer le blindage des T-34. Enfin il n'allait pas se plaindre... c'était toujours une amélioration de leur situation.
- Je pense cependant que l'on recevra plutôt un canon russe, murmura-t-il plus pour lui-même que pour Moldovan.
Pas un ZiS-2 malheureusement.... les quelques canons de ce type à avoir été capturés avaient soit été envoyé en Roumanie pour étude, soit utilisé sur les chasseurs de char TACAM T-50. Ils recevraient sans doute un canon de 45 mm, 53-K ou M-42...
Entendant un bruit de moteur, Commenaci leva les yeux vers le ciel. Des avions émergèrent les nuages bas. De lourds monomoteurs au fuselage noir, marqué de l'étoile rouge.
Soudain, le sergent ne s'inquiétait plus du manque d'arme antichars efficace dans l'armée roumaine... car ils manquaient aussi d'armes antiaériennes.
Les Il-2 Sturmovik plongèrent, il s'agissait d'une version monoplace, armée de canon de 20 mm et de mitrailleuses. Au premier passage, les avions noirs déversèrent leurs bombes sur la colonne. Ils revinrent et vidèrent leurs munitions dans le chaos.
Déjà, ils repartaient !

17 novembre, Mishchanka, à l'est d'Odessa
La 11ème Armée du général von Schobert a terminé de se ravitailler et de se réorganiser. Elle se met en marche vers l'est en empruntant la route de Kobleve. Le premier jour de son avancée, l'ennemi se caractérisa par son absence. Seul un avion de reconnaissance Kharkov R-10 vint tourner au-dessus d'eux à plus de 5000 mètres. La Luftwaffe est appelée pour chasser l'importun, mais le général von Schobert joint par radio un officier épuisé qui lui répond que tous les chasseurs disponibles sont engagés pour protéger l'avance de la XI. ArmeeKorps de von Kortzfleisch. Les avions qui tournent au-dessus d'eux ne sont pas aussi bénins qu'un unique appareil de reconnaissance. Inoffensif ou pas, le R-10 ou un de ses frères reviendra toute la journée prendre des photos de la longue colonne avançant péniblement sur le chemin boueux.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 15:27    Sujet du message: Répondre en citant

le poireau a écrit:

Pour le secteur roumain nous avons prévu à l'avenir quatre opérations successives : Saturne fin 42-debut 43 qui aboutira à la libération d'Odessa, Molot au printemps 43 qui emportera la moitié de la Moldavie, Iasi-Izmail à la fin de l'été 43 qui entrera certes en Roumanie mais butera sur les contreforts des Carpathes (quoi que la Dobroudja soit prise à cette occasion) et l'offensive finale du printemps 44 qui emportera Bucarest et tout le reste.


Pour Saturne, jke ne pense pas que les divisions qui se rassemblent sur le Boug soient capables d'actions offensives avant février.
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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 15:31    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis d'accord. Elles pourraient peut-être fixer des unités roumaines via des attaques locales et/ou un peu de maskirovka mais sans doute pas davantage. Après, si le front se débloque au nord, il y aura peut-être des opportunités à saisir au sud, surtout si les forces germano-roumaines doivent décrocher pour se stabiliser sur une ligne de défense plus à l'ouest.
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 15:35    Sujet du message: Répondre en citant

En fait, toutes les divisions blindées présentes sur le Boug sont en pleine conversion du modèle 1942 au modèle 1943. remplacement des pertes, modernisation des équipements, formation des bleus etc...
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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 16:39    Sujet du message: Répondre en citant

Les troupes sur le Boug peuvent servir à fixer la 11ème armée pendant que l'offensive viendra plus au nord (car à un endroit il y aura un trou entre le Boug et le Dniepr).
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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...
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Anaxagore



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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2016 16:48    Sujet du message: Répondre en citant

J'y pensais. Je travaille sur Carte et le flanc est bien ouvert.
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