Fantasque Time Line

[Collectionneur]

Il y a déjà deux ans, sur le fil concernant la construction européenne, on avait imaginé une guerre des Malouines ou l'Europe s'engage du coté de Londres et Capitaine Caverne avait demandé que l'on avait imagine quelques ''ouvertures'' des hostilités.

J'ai un peu remanié et corrigé mon texte et l'ai posté sur le site suivant découvert il y 3 jours :

https://www.wattpad.com/257897996-premier-sang-pour-les-malouines

Mais j'aurais besoin d'un coup de pouce pour la grammaire, désolé...


Quand pensez vous. Pour vous dire la vérité, c'est le seul texte de fiction potable que j'ai j’écris cette décennie.
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"La défaite du fanatisme n'est qu'une question de temps"
"L'abus d'armes nucléaires est déconseillé pour la santé"
"La Démocratie est le pire des systèmes, à l'exception de tous les autres"

[solarien]

Je viens de lire rapidement et il y a une petite incohérence, en espérant que des professionnels de l'armée et surtout de la marine puisse venir confirmer ou infirmer mes propos.

Même si la construction peut être accélérer, permettant au navire d'être fini 6 mois a l'avance, surement mais il aura beaucoup de défauts.

Ensuite, il faut du temps pour qu'ils rejoignent l'Argentine, or Allemagne Argentine en sous marin, c'est pas 3-4 jours de voyage , plutôt 2 semaines voir plus, surtout dans un sous marin neuf que personne ne connait.

Enfin, même si il subit un entrainement intensif, 1 mois ne sera pas suffisant, sachant que tu considère qu'il arrive en Argentine prêt au service alors qu'OTL, il a fallut 2 ans pour qu'il entre en service actif.

Et heu, je suis pas sure que ses sous marins puissent naviguer sans problème à 1000 Km au large. Ce sont surtout des sous marins continentaux.

[Collectionneur]

Il faudra que je me renseigne exactement sur leurs possibilités, mais on a vu des sous-marins allemands lors de manœuvres de l'OTAN du coté du GIUK dans les années 70/80. Pour le court délai de mise en œuvre, le fait qu'il se fasse repéré le premier et que des pièces soit mal fixés ne suffisent pas ?

Sinon, après de nombreuses relectures et l'aide de ma maman et d'une collègue, j'ai supprimé une bonne trentaine de fautes d'accords et de grammaire Il doit être en français correct maintenant.
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[Olivier]

tu pourrais poster le texte sur le forum, j'ai du mal à accéder à l'intégralité du texte, et ça sera plus facile pour aider à la correction
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Olivier

"Le problème des citations sur facebook, c'est qu'on ne sait jamais si elles sont vraies..." (Napoléon Bonaparte)

[Collectionneur]

Entendu, le voici - je n'ai pas mit les photos qui déborde sur le forum - :

Suite à la course à l'armement accélérée avec le Chili et le Brésil depuis les années 1970, l'Argentine décide, malgré sa crise économique, d'avancer son programme de renouvellement de sous-marins.

Le premier sous-marin de la classe TR1700, le ARA Santa Cruz (S-41) voit donc sa construction accélérée dans le chantier naval ouest-allemand de Nordseewerke et sort en mer en mars 1982. Une période d'entrainement ''plus'' qu'intense a lieu pour qu'il soit opérationnel le plus tôt possible vu les objectifs qu'a cette époque la junte au pouvoir.

L'invasion des Malouines programmée à l'origine le 1er avril 1982 est retardée pour prendre en compte ces impératifs et améliorer l'équipement des troupes et a lieu finalement le 15 juin 1982. L'effet de surprise est total malgré ce retard.

Londres devant ce coup de force obtient le soutien politique, puis militaire de ses alliés de la Communauté Européenne de Défense dans ce conflit et Paris décide d'engager la Marine Nationale dans l'opération de reconquête pour démontrer qu'une tentative de ce genre sur ses propres territoires d'outre-mer ne resterait pas impunie.

Le 1er septembre 1982, le Santa Cruz est à 1000 km au large de Buenos Aires pour compléter son entrainement et surveiller l'avancée de l'armada européenne dont la position est donnée régulièrement à l'État-major argentin par l'ambassade soviétique. Il est accompagné par le ARA San Luis (S-32) du Type 209 qui est à 30 km de lui.

La frégate britannique HMS Scylla (F71) de classe Leander sortant directement du chantier naval après des travaux de remise à niveau (antinavire Exocet et SAM Sea Wolf) lancée en 1980 bâclée dans l'urgence est en conserve avec l'escorteur d'escadre anti-sous-marin français La Galissonnière (D638) et le HMS Sheffield (D80) de lutte antiaérienne en avant du gros de la flotte en mission d'éclairage encore loin de la zone d'exclusion qu'un sous-marin nucléaire d'attaque britannique et le premier SNA Rubis français doivent sécuriser. Un appui aérien est programmé de la part des porte-avions franco-britanniques mais le délai d'arrivée sur place est plusieurs dizaines de minutes au moins pour les Alizés de lutte ASM qui sont en permanence en vol, soit pour des faux buts engendrés par des cétacés, soit le plus souvent pour surveiller les 2 SNA soviétiques de classe Victor II et November (assez facilement repérés grâce aux informations des ''cousins'' d'Outre Atlantique) et la flottille de pèche du COMECON qui colle aux basques de la flotte depuis Gibraltar.

Le Lynx HAS1 du Sheffield plus performant que l'Alouette III de La Galissonnière est l'hélicoptère mit en alerte en ce jour ou l'ultimatum des Européens demandant le retrait des forces argentines des îles occupées se termine.

Les officiers de la flottille sont fébriles. Ils ont reçus au cours de la traversée des dossiers sur la marine argentine qui bien que modeste par rapport aux vieilles puissances d'Europe s'est modernisée depuis les années 1970 et suite aux accrochages avec le Chili à un personnel ayant connut le baptême du feu.

Le sonar DUBV 43 de La Galissonnière détecte un contact sur son bâbord à 20 km, il s'agit du Santa Cruz qui manœuvre ne pensant pas que l'avant garde était si proche. La petite flottille naviguant loin de la force principale en zigzaguant à échappée ce jour là au repérage satellitaire.

Le Lynx décolle quatre minutes après et les équipages des navires sont mit en alerte. Toute l'attention est dirigée sur bâbord alors qu'à tribord, le San Louis qui à repéré également la flottille se met silencieusement en position.

Les capitaines des sous-marins sont également inquiets avec l'expiration de l'ultimatum. Le Lynx arrivé sur zone, lance son sonar et tente de repérer ce contact inconnu. Le Santa Cruz tente de se dérober mais malgré les travaux continus depuis sa livraison à toujours des soucis; lors d'une plongée à grande vitesse, une pièce métallique se détache lourdement de la coque le faisant signaler à touts les sonars du secteur. L'équipage du Lynx lance des grenades d'exercice pour le harceler et l'obliger à faire surface pendant près d'une heure.

Le San Luis de l'autre coté de la formation entend ses détonations et le vacarme du sous-marin et pense que le Santa Cruz subit une attaque en règle de la part des franco-anglais.

Le capitaine du San Luis, qui a réussi pendant que tout le monde se focalisait sur son confrère, à se placer à portée de tir du HMS Scylla (F71) qui est l'arrière de la formation, décide de lancer une salve de quatre torpilles SST-4. Une de celles ci arrive à toucher la poupe et à détoner, des vérifications sur les torpilles ont eu lieu au début des opérations et quelques anomalies - pas toutes- réparées. (Dans la réalité, aucune de la dizaine de torpilles allemandes tirées contre divers navires par les argentins en 1982 n'ont fonctionné), les cloisons étanches mal fixées ne remplissent que partiellement leur rôle et le navire commence à s'enfoncer lentement. 14 machinistes meurent à leur poste, une dizaine d'autres sont blessés.

Pris par surprise, le commandant de La Galissonnière riposte en tirant un Malafon sur le sous-marin déjà repéré. Le Santa Cruz qui est arrivé en larguant tout ses leurres à évité la torpille lâchée par le Lynx n'a pas le temps de se retourner que la torpille L4 lâchée par le Malafon entre dans l'eau à moins d'un mille marin et percute son hélice.

Le Santa Cruz qui est arrivé en larguant tout ses leurres à évité la torpille lâchée par le Lynx n'a pas le temps de se retourner que la torpille L4 lâchée par le Malafon entre dans l'eau à moins d'un mille marin et percute son hélice

Il parvient à faire surface et à évacuer 20 de ses 29 membres d'équipage avant de sombrer par le fond. Le capitaine, le timonier et des mécaniciens s'étant sacrifiés pour maintenir le bateau en surface le maximum de temps permettant cette évacuation.

De son coté, le San Luis en immersion périscopique voyant arrivé les Alizés décide de plonger profondément et d'évacuer la zone avant que les recherches ne s'organisent...

Le Sheffield aide son compatriote et le prend en remorque tandis que La Gallissionére monte la garde et que les avions de lutte ASM traque le San Louis. Les survivants du Santa Cruz sont secourus et deviennent les premiers prisonniers de guerre argentins de ce conflit.

Le premier sang à coulé, chacun pensant que l'autre camp à tiré le premier...
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[solarien]

Je viens de relire le texte et je trouve une incohérence.

OTL, le HMS scylla qui part après une remise a niveau bâclée, c'est compréhensible, FTL, avec le soutien de la MN, la RN peux se permettre d'attendre un peu pour envoyer des navires sur place, surtout des navires qu'on viens juste de remettre a niveau.

Et je maintiens toujours que le Santa Cruz ne pourra pas participer au Malouines, si la guerre commence en 1982.

[JPBWEB]

HMS Scylla F71 et La Galissonniere D638:

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"L'histoire est le total des choses qui auraient pu être évitées"
Konrad Adenauer